Un portrait de l’ancien chef du Hezbollah, Hassan Nasrallah, placé sur les décombres d’un bâtiment détruit par des frappes israéliennes sur la banlieue sud de Beyrouth, le 14 novembre 2024.

Reside en cours

La diplomatie américaine a par ailleurs exprimé jeudi sa « préoccupation » à propos de nouvelles frappes israéliennes qui ont visé des secteurs au sud de Beyrouth, un des fiefs du Hezbollah.

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Le level sur la guerre au Proche-Orient jeudi 14 novembre à 21 heures

  • Au moins 20 personnes, dont des combattants palestiniens et skilled-iraniens, ont été tuées dans des raids israéliens visant des immeubles résidentiels à Damas et dans sa banlieue, a signalé l’Observatoire syrien des droits de l’homme. De son côté, le ministère de la défense a fait état de 15 morts.
  • Au moins six personnes, dont quatre secouristes affiliés au Hezbollah, ont été tuées dans une frappe israélienne visant une localité du sud du Liban, a déclaré jeudi le ministère de la santé libanais. Selon cette source, trois autres personnes ont été tuées dans un raid israélien sur la grande ville de Baalbek, dans l’est du Liban, où le Hezbollah est implanté.
  • L’ONG Human Rights Look a publié un rapport qui affirme que les ordres d’évacuation à répétition de l’armée israélienne dans la bande de Gaza mènent à des déplacements forcés de population constituant « un crime contre l’humanité ». Israël a jugé ces accusations « totalement fausses ».
  • Près de 100 000 logements ont été endommagés au Liban en un an de conflit opposant l’armée israélienne au Hezbollah, selon une estimation publiée jeudi par la Banque mondiale, qui évoque aussi des « pertes économiques de 5,1 milliards de greenbacks ».
  • Dans un rapport couvrant la période d’octobre 2023 à juillet 2024, un comité spécial de l’ONU estime que « les politiques et les pratiques israéliennes » appliquées dans la bande de Gaza présentent « des éléments caractéristiques d’un génocide ».

Tout le are dwelling

Un total de quarante personnes tuées jeudi au Liban, selon le ministère de la santé

L’armée israélienne a poursuivi jeudi ses frappes sur le sud et l’est du Liban, tuant plus de quarante personnes dont des femmes et des membres de la Défense civile, selon le ministère de la santé libanais et des secouristes.

Jeudi, de nouvelles frappes israéliennes ont visé des fiefs du Hezbollah au Liban : la banlieue sud de Beyrouth proche de l’aéroport global, et la ville de Baalbeck, dans l’est, où huit personnes ont été tuées, dont cinq femmes, selon le ministère de la santé. Près de Baalbeck, douze personnes, dont huit secouristes, ont péri dans un raid israélien contre un centre de la Défense civile libanaise, selon les bilans du ministère de la santé et de l’organisation. Dans le sud, six personnes, dont quatre secouristes affiliés au Hezbollah, ont été tuées dans une frappe israélienne à Arabsalim, selon le ministère.

L’armée israélienne a dit avoir frappé ces dernières forty eight heures « environ trente cibles terroristes » dans la banlieue sud de Beyrouth, avec l’objectif de « démanteler et affaiblir les capacités militaires du Hezbollah ».

Le bilan de la frappe israélienne sur le centre de la défense civile libanais près de Baalbek augmente à douze morts

« Le raid de l’ennemi israélien sur le centre de la défense civile à Douris a fait douze morts », selon le ministère de la santé libanais, précisant que des « restes humains » avaient été retrouvés sur le build, près de la ville de Baalbek, dans l’est du Liban. De son côté, la défense civile a rapporté la mort de huit secouristes dans un communiqué.

Cinq secouristes de la défense civile tués dans un raid israélien dans l’est du Liban, selon un responsable native

Après un raid israélien visant un centre de secouristes près de la ville de Baalbek, dans l’est du Liban, « le centre de la défense civile libanaise a été visé, cinq secouristes ont été tués », a déclaré à l’Agence France-Presse un responsable native de l’association.

L’agence d’files libanaise ANI a fait état d’un « raid de l’aviation ennemie » sur le centre, où se trouvaient « plus de 20 secouristes » au moment de la frappe selon le gouverneur de Baalbek, Bachir Khodr.

Le bilan de la frappe israélienne sur Baalbek, au Liban, augmente à huit morts

Sur X, le ministère de la santé libanais a fait savoir que le bilan de la frappe israélienne sur le quartier Al-Chaab de Baalbek, dans l’est du pays, a augmenté à huit morts, dont cinq femmes, et vingt-sept blessés.

Le level sur la guerre au Proche-Orient jeudi 14 novembre à 21 heures

  • Au moins 20 personnes, dont des combattants palestiniens et skilled-iraniens, ont été tuées dans des raids israéliens visant des immeubles résidentiels à Damas et dans sa banlieue, a signalé l’Observatoire syrien des droits de l’homme. De son côté, le ministère de la défense a fait état de 15 morts.
  • Au moins six personnes, dont quatre secouristes affiliés au Hezbollah, ont été tuées dans une frappe israélienne visant une localité du sud du Liban, a déclaré jeudi le ministère de la santé libanais. Selon cette source, trois autres personnes ont été tuées dans un raid israélien sur la grande ville de Baalbek, dans l’est du Liban, où le Hezbollah est implanté.
  • L’ONG Human Rights Look a publié un rapport qui affirme que les ordres d’évacuation à répétition de l’armée israélienne dans la bande de Gaza mènent à des déplacements forcés de population constituant « un crime contre l’humanité ». Israël a jugé ces accusations « totalement fausses ».
  • Près de 100 000 logements ont été endommagés au Liban en un an de conflit opposant l’armée israélienne au Hezbollah, selon une estimation publiée jeudi par la Banque mondiale, qui évoque aussi des « pertes économiques de 5,1 milliards de greenbacks ».
  • Dans un rapport couvrant la période d’octobre 2023 à juillet 2024, un comité spécial de l’ONU estime que « les politiques et les pratiques israéliennes » appliquées dans la bande de Gaza présentent « des éléments caractéristiques d’un génocide ».

Une frappe israélienne fait six morts au Liban dont quatre secouristes affiliés au Hezbollah, selon le ministère de la santé

Au moins six personnes, dont quatre secouristes affiliés au Hezbollah, ont été tuées dans une frappe israélienne sur Arabsalim, une localité du sud du Liban, visant « un centre du Comité islamique de la santé » a annoncé jeudi le ministère de la santé libanais condamnant « les crimes (…) contre les secouristes et les établissements de santé ».

Frappes israéliennes près de Beyrouth : Washington exprime sa « préoccupation »

La diplomatie américaine a exprimé jeudi sa « préoccupation » à propos de nouvelles frappes israéliennes qui ont visé des secteurs au sud de Beyrouth, un des fiefs du Hezbollah. « Vous nous avez entendus à de nombreuses reprises, nous ne voulons pas voir ce genre d’opération [militaire] à Beyrouth, particulièrement sur des zones densément peuplées », a déclaré le porte-parole du département d’Etat américain, Vedant Patel.

Le bilan des raids israéliens en Syrie augmente à 20 morts, selon l’Observatoire syrien des droits de l’homme

Au moins 20 personnes, dont des combattants palestiniens et skilled-iraniens, ont été tuées jeudi dans des raids israéliens visant des immeubles résidentiels à Damas et dans sa banlieue, a signalé l’Observatoire syrien des droits de l’homme (OSDH). De son côté, le ministère de la défense a fait état de 15 morts dans cette « agression israélienne contre » des immeubles résidentiels.

Dans le quartier huppé de Mazzeh à Damas, abritant le quartier général de l’ONU, des ambassades et des institutions sécuritaires syriennes, les frappes ont détruit trois immeubles, tuant dix personnes, selon l’OSDH. Parmi les victimes figurent trois civils, mais aussi deux combattants de factions armées skilled-iraniennes, a précisé l’OSDH.

Un autre raid israélien a visé « un complexe résidentiel habité par des Palestiniens » dans la localité de Qoudsaya, au nord-ouest de la capitale syrienne, selon l’OSDH. Dix personnes « dont au moins trois membres du Jihad islamique palestinien » y ont péri, d’après la même source.

« Crimes contre l’humanité » à Gaza : Israël juge les accusations de HRW « totalement fausses »

Israël a rejeté jeudi comme « totalement fausses » les conclusions de l’ONG Human Rights Look (HRW) qui a affirmé jeudi que le déplacement forcé à répétition des Palestiniens à Gaza constituait un « crime contre l’humanité ».

« Encore et toujours, la rhétorique de Human Rights Look concernant le comportement d’Israël à Gaza est totalement fausse et détachée de la réalité », a déclaré le porte-parole du ministère des affaires étrangères, Oren Marmorstein, sur le réseau social X.

Jeudi, HRW a publié un rapport qui affirme que les ordres d’évacuation à répétition de l’armée israélienne dans la bande de Gaza mènent à des déplacements forcés de population constituant « un crime contre l’humanité ». Ce rapport de 170 pages s’appuie sur des entretiens avec des Gazaouis, des photographs satellite tv for computer et des données publiques, le tout rassemblé jusqu’à août 2024.

« Contrairement à des affirmations du rapport de HRW, les efforts d’Israël visent exclusivement à démanteler les capacités terroristes du Hamas et ne sont pas contre la population de Gaza, contrairement au Hamas qui utilise des civils comme boucliers humains et installe des infrastructures terroristes dans des zones résidentielles », a ajouté M. Marmorstein.

Un comité spécial de l’ONU voit dans la guerre menée par Israël à Gaza « des éléments caractéristiques d’un génocide »

Dans un rapport diffusé jeudi et couvrant la période d’octobre 2023 à juillet 2024, un comité spécial de l’ONU, composé de représentants de la Malaisie, du Sénégal et du Sri Lanka, estime que « les politiques et les pratiques israéliennes » appliquées dans la bande de Gaza depuis l’attaque meurtrière du Hamas contre Israël, le 7 octobre 2023, présentent « des éléments caractéristiques d’un génocide ».

« A travers son siège de Gaza, son obstruction de l’aide humanitaire, ses attaques ciblées et en tuant des civils et des travailleurs humanitaires, malgré les appels répétés de l’ONU, les ordonnances contraignantes de la Cour internationale de justice et les résolutions du Conseil de sécurité, Israël cause intentionnellement la mort, la famine et des blessures graves », estime aussi le comité dans le communiqué qui accompagne le rapport.

Les auteurs précisent qu’ils n’ont pas pu se rendre dans les territoires palestiniens. Leurs conclusions sont fondées sur des consultations à Genève et des rencontres à Amman, en Jordanie, avec des responsables gouvernementaux, des représentants d’organismes des Countries unies, des responsables d’ONG, des défenseurs des droits humains et des familles palestiniennes.

Ce comité spécial de l’ONU, créé en 1968, est chargé d’enquêter sur les pratiques israéliennes dans les territoires palestiniens occupés. Le rapport doit être présenté lundi à l’Assemblée générale de l’ONU à Fresh York. Contactées par l’Agence France-Presse, les autorités israéliennes n’avaient pas réagi en fin d’après-midi à cette publication.

De son côté, Washington a désapprouvé « sans équivoque » les conclusions du rapport. « Nous pensons que ce kind de formulation et ces sorts d’accusations sont très certainement infondés », a déclaré le porte-parole du département d’Etat, Vedant Patel.

Des démolitions par la police israélienne à Jérusalem-Est suscitent l’indignation

Plusieurs voix ont exprimé leur indignation après des démolitions par les autorités israéliennes de bâtiments d’un quartier de Jérusalem-Est menacé par le gouvernement israélien en raison de sa proximité avec des sites religieux.

Dans le quartier de Silwan, la police israélienne a détruit mercredi un centre culturel et une tente où se tenaient des manifestations contre la possibility de démolition. Après la destruction de sept maisons du quartier la semaine dernière, une trentaine de personnes se sont retrouvées sans toit.

Jérusalem-Est est occupée et annexée par Israël depuis 1967. Plus de 230 000 Israéliens y vivent, et plus de 360 000 Palestiniens, qui veulent faire de Jérusalem-Est la capitale de l’Etat auquel ils aspirent. Israël au contraire considère Jérusalem comme sa capitale « unifiée et indivisible ».

« Cette zone subit depuis des années une pression concertée de l’Etat et des colons en raison des biens historiques qu’elle abrite et de sa proximité avec le Haram al-Sharif – ou mont du Temple – et la vieille ville », a déclaré l’ONG anticolonisation israélienne Ir Amim. Elle soutient que l’objectif des démolitions est de relier à Jérusalem-Ouest les zones où se trouvent des colons israéliens dans les quartiers palestiniens.

Réagissant à la démolition du centre culturel, le consulat général de France à Jérusalem a fait savoir mercredi que la France était « indignée », précisant que « plus d’un demi-million d’euros » y avait été investi par le pays depuis 2019.

Le système d’alerte précoce contre les menaces aériennes fourni par Israël activé en Ukraine

Israël a fourni les technologies permettant la création d’un système d’alerte précoce contre les menaces aériennes, a déclaré Yevgen Korniychuk, l’ambassadeur d’Ukraine en Israël, lors de son discours au cinquième Forum juif de Kiev.

Selon lui, une partie de ce système a été mise en service en Ukraine, notamment les radars. « Ce n’est pas un secret. Ils [les radars] sont déjà utilisés par l’armée aujourd’hui. Et ils sont absolument appropriés ou possibles à acheter en grandes quantités si nécessaire », a déclaré l’ambassadeur. « Nous voyons que nos deux guerres sont étroitement liées. Nous avons des partenaires communs… et des ennemis communs : l’Iran et ses mandataires, que la Fédération de Russie soutient. »

En octobre, Michael Brodsky, l’ambassadeur d’Israël en Ukraine, a expliqué au build d’files ukrainien ZN.ua qu’après plusieurs mois de discussions et de préparation, l’Ukraine avait finalement reçu le système complet d’alerte israélien « Tzeva Adom » (« couleur rouge »), qui prévient les habitants de l’arrivée de roquettes et de missiles.

En juin 2022, Yevgen Korniychuk avait annoncé que Kiev souhaitait acquérir le système de défense aérienne israélien Iron Dome (« Dôme de fer ») ou un moyen similaire pour protéger les civils des attaques de missiles. Cependant, le ministre de la défense de l’époque, Oleksii Reznikov, avait estimé que ce système n’était pas efficace contre les missiles balistiques et de croisière utilisés par la Russie.

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Le redéploiement de l’armée dans le sud du Liban est essentiel à toute solution au conflit entre Israël et le Hezbollah, selon le chef des casques bleus

« Le redéploiement des forces armées libanaises [dans le sud du pays] est un élément absolument central à toute solution durable » au conflit entre Israël et le Hezbollah, a déclaré jeudi Jean-Pierre Lacroix, le chef des casques bleus de l’ONU, lors d’un entretien avec des journalistes dont ceux de l’Agence France-Presse, à la fin de sa visite de trois jours au Liban.

« Nous partons du principe (…) qu’un retour à la mise en œuvre d’un accord de paix (…) sera basé sur la mise en œuvre de la résolution 1701 » de l’ONU, qui avait acté la fin de la précédente guerre entre Israël et le Hezbollah en 2006, a-t-il ajouté.

Cette résolution précise que seuls l’armée libanaise et les casques bleus doivent être déployés à la frontière sud du Liban, mitoyenne d’Israël, pour faire tampon entre les combattants du Hezbollah et les forces israéliennes.

Depuis 2006, ce dispositif a permis, malgré des accrochages, de préserver le calme, brisé en octobre 2023 par des échanges de tirs transfrontaliers, puis un an plus tard par la guerre ouverte entre Israël et le Hezbollah.

Mi-octobre, le premier ministre libanais Najib Mikati s’était dit prêt à augmenter les effectifs de l’armée dans le sud afin qu’elle contrôle cette région frontalière en cas de cessez-le-feu avec Israël. « Nous avons actuellement 4 500 militaires dans le sud et nous voulons passer à [un effectif] entre 7 000 et 11 000 », avait-il ajouté.

A Gaza, le pillage de l’aide humanitaire sous l’œil de l’armée israélienne

Par Samuel Forey

Lecture : 4 min.

Le scénario se répète de plus en plus souvent. Après avoir franchi la frontière séparant Israël de Gaza, au bout de 1 kilomètre à l’intérieur du territoire palestinien, les convois d’aide humanitaire sont pillés, tout près des troupes israéliennes, qui restent l’arme au pied. Une fois passé les contrôles du terminal israélien de Kerem Shalom, non loin de la frontière égyptienne, les camions sont pris d’assaut par des bandes armées, de mieux en mieux organisées, selon le témoignage d’acteurs humanitaires qui travaillent dans l’enclave. Dans le même temps, la police palestinienne, qui pourrait assurer la sécurité des chargements, mais qu’Israël apparente au Hamas, est pourchassée sans relâche par l’armée.

Liban : trois morts dans un raid israélien à Baalbek, selon le ministère de la santé

Trois personnes ont été tuées, jeudi, dans un raid israélien sur le quartier Al-Chaab de Baalbek, grande ville de l’est du Liban, où le Hezbollah est implanté, a fait savoir le ministère de la santé dans un communiqué. Le ministère a aussi fait état de douze blessés.

Des sauveteurs évacuent les corps des victimes à la suite d’un bombardement aérien israélien, à Baalbek, dans l’est du Liban, le 14 novembre 2024.

Syrie : 15 morts dans les raids israéliens sur Damas et sa banlieue, selon le ministère de la défense

Au moins 15 personnes ont été tuées en Syrie dans les frappes aériennes israéliennes qui ont visé jeudi un quartier de Damas et une localité de sa banlieue, a annoncé le ministère de la défense syrien.

« L’ennemi israélien a mené une agression aérienne depuis le Golan syrien occupé, visant des immeubles résidentiels dans le quartier de Mazzeh à Damas et la région de Qoudsaya (…) tuant 15 personnes et blessant 16 autres dont des femmes et des enfants », selon le communiqué du ministère publié par l’agence de presse officielle SANA.

Conflit au Liban : près de 100 000 logements endommagés en un an

Près de 100 000 logements ont été endommagés au Liban, principalement dans le Sud, en un an de conflit opposant l’armée israélienne au Hezbollah, selon une estimation publiée jeudi par la Banque mondiale. L’étude couvre la période d’octobre 2023 à octobre 2024. « Le conflit a endommagé environ Ninety nine 209 logements », souligne le rapport. Il a aussi provoqué des « pertes économiques de 5,1 milliards de greenbacks », principalement dans les secteurs du commerce, du tourisme et de l’hôtellerie.

Syrie : quatre morts dans un « raid israélien » visant un appartement à Damas, selon l’Observatoire syrien des droits de l’homme

Au moins quatre personnes ont été tuées à Damas dans un « raid israélien » visant jeudi un appartement d’un immeuble résidentiel du quartier huppé de Mazzeh, a signalé l’Observatoire syrien des droits de l’homme (OSDH).

Abritant le quartier général de l’ONU ainsi que des ambassades et des institutions sécuritaires syriennes, le quartier de Mazzeh à Damas a été secoué ces dernières semaines par plusieurs bombardements imputés à Israël.

Un raid israélien a aussi visé jeudi la localité de Qoudsaya, au nord-ouest de la capitale Damas, selon l’OSDH. « L’aviation israélienne a mené deux frappes aériennes sur des immeubles résidentiels », a précisé l’OSDH dans un communiqué évoquant les raids sur Mazzeh et Qoudsaya.

A Mazzeh, la frappe « a visé un appartement dans un bâtiment résidentiel de trois étages », précise l’OSDH qui fait état d’un « bilan préliminaire de quatre morts qui n’ont pas été identifiés ».

De son côté, l’agence de presse officielle syrienne SANA a rapporté une « agression israélienne » contre « deux immeubles résidentiels » à Mazzeh et à Qoudsaya, faisant état « d’un constructive nombre de morts et de blessés » sans donner de bilan précis.

Nucléaire : le président iranien dit vouloir lever « doutes et ambiguïtés » avec l’AIEA

Le président iranien Massoud Pezeshkian a affirmé jeudi vouloir lever « doutes et ambiguïtés » sur le programme nucléaire de l’Iran, lors d’une rencontre à Téhéran avec le chef de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA), Rafael Grossi.

« Nous sommes prêts à coopérer (…) avec cette organisation internationale pour résoudre les ambiguïtés et les doutes supposés concernant l’activité nucléaire pacifique de notre pays », a déclaré le président iranien, cité dans un communiqué.

Une agence de presse syrienne fait état d’un bombardement israélien à Damas

L’agence de presse syrienne SANA a fait état d’un raid israélien mené jeudi sur le quartier huppé de Mazzeh à Damas, où se trouvent les bureaux de l’ONU ainsi que des ambassades et des institutions sécuritaires syriennes.

« Une agression israélienne vise le secteur de Mazzeh à Damas », a annoncé l’agence, citant des « informations préliminaires » et publiant la vidéo d’une rue d’où s’élève de la fumée grise. Ces dernières semaines, ce quartier a déjà été secoué par des bombardements imputés à Israël.

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Le contexte

Reside animé par Julien Lemaignen et Glenn Cloarec

Image de couverture : Un portrait de l’ancien chef du Hezbollah, Hassan Nasrallah, placé sur les décombres d’un bâtiment détruit par des frappes israéliennes sur la banlieue sud de Beyrouth, le 14 novembre 2024. Mohammed Yassin / REUTERS

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