Reside en cours
« La disaster s’aggrave de jour en jour de façon inimaginable » et le nord de la bande de Gaza vit ses « heures les plus sombres », a estimé Volker Türk vendredi.
Ce qu’il faut retenir vendredi 25 octobre, en fin de journée
- Le directeur général de l’OMS a annoncé avoir perdu le contact avec le personnel du dernier hôpital fonctionnant dans le nord de la bande de Gaza, après que l’armée israélienne eut déclaré qu’elle opérait dans la région. « Les forces israéliennes ont pris d’assaut l’hôpital Kamal-Adwan et sont à l’intérieur », a affirmé de son côté le ministère de la santé du gouvernement du Hamas ajoutant que l’armée détenait des centaines de sufferers et des membres du personnel médical ;
- La défense civile de Gaza a annoncé douze morts dans le bombardement d’un groupe attendant de l’aide humanitaire dans le nord de l’enclave, près du camp de réfugiés d’Al-Chati, dans l’ouest de la ville de Gaza, a déclaré à l’Agence France-Presse le porte-parole de l’organisme, Mahmoud Bassal ;
- Le nord de la bande de Gaza vit ses « heures les plus sombres », a affirmé vendredi le haut-commissaire des Nations unies aux droits de l’homme, avertissant que les actions d’Israël pourraient s’apparenter à « des atrocités criminelles ». Il a ajouté que « beaucoup [d’habitants] sont désormais confrontés à la famine » ;
- Dans la soirée, le porte-parole arabophone de l’armée israélienne, Avichay Adraee, a appelé sur X, les habitants à évacuer deux quartiers – Burj Al-Barajneh et Haret Hreik − de la banlieue sud de Beyrouth. Ce message était accompagné d’une carte montrant les lieux qui doivent être visés ;
- Le chef de la diplomatie américaine Antony Blinken a déclaré vendredi au premier ministre libanais que les soldats de la Pressure des Nations unies au Liban (Finul) devaient être protégés, après de nouveaux tirs israéliens ;
- Plus de 500 000 personnes au Liban ont traversé la frontière pour se rendre en Syrie depuis que le can pay est devenu le théâtre d’une guerre entre le mouvement Hezbollah et Israël, a rapporté le comité gouvernemental de gestion de crise.
Tout le reside
A Gaza, le ministère de la santé annonce la mort de deux enfants après qu’Israël a « ciblé » des équipements dans un hôpital
Le ministère de la santé du gouvernement du Hamas à Gaza a affirmé que deux enfants étaient morts dans le dernier hôpital encore en fonctionnement dans le nord de la bande de Gaza après une panne de générateurs et des tirs « ciblés » de l’armée israélienne sur des bonbonnes d’oxygène.
« Deux enfants dans le carrier de soins intensifs sont morts après que les générateurs ont cessé de fonctionner et que la achieve d’oxygène a été prise pour cible » dans l’hôpital Kamal-Adwan de Jabaliya, a annoncé le ministère dans un communiqué. « Les forces israéliennes fouillent l’hôpital et tirent à l’intérieur des différents providers », a-t-il ajouté. L’armée israélienne a fait savoir à l’Agence France-Presse qu’elle était en educate de « vérifier » ces informations.
Plus tôt vendredi, le directeur général de l’OMS avait annoncé avoir perdu le contact avec le personnel de l’hôpital, après que l’armée israélienne eut déclaré qu’elle opérait dans la région.
Nouveau raid aérien israélien sur la banlieue sud de Beyrouth
Deux bombardements israéliens ont visé, vendredi, la banlieue sud de Beyrouth, après un appel à évacuer le secteur par l’armée israélienne, a annoncé l’agence de presse libanaise NNA.
Des images filmées par l’Agence France-Presse des volutes de fumée grise s’élever au-dessus de la banlieue sud. « L’aviation ennemie a mené deux nouveaux raids sur Haret Hreik », a affirmé l’agence de presse libanaise, citant un des quartiers nommés par l’armée israélienne dans son appel à évacuer publié environ quarante-cinq minutes avant les frappes.
Par la suite l’agence a fait état d’un whole de huit frappes conduites dans la banlieue sud, où les quartiers de Bourj al-Barajneh, Kafaat et Laylaki ont aussi été pris pour cible.
Après la mort de trois journalistes au Liban, l’armée israélienne affirme que « l’incident est en cours d’analyse »
La frappe israélienne dans laquelle trois journalistes sont morts vendredi matin dans le sud du Liban est « en cours d’analyse », a déclaré dans la soirée l’armée israélienne, accusée par les autorités libanaises d’avoir commis un « crime de guerre ».
L’armée israélienne « a mené une frappe contre une constructing militaire du Hezbollah à Hasbaya dans le sud du Liban alors que les terroristes se trouvaient à l’intérieur », a expliqué l’armée dans un communiqué, cité par l’Agence France-Presse. « Quelques heures après la frappe, des informations ont été reçues selon lesquelles des journalistes avaient été touchés lors de cette frappe. L’incident est en cours d’analyse », a ajouté l’armée.
Ce qu’il faut retenir vendredi 25 octobre, en fin de journée
- Le directeur général de l’OMS a annoncé avoir perdu le contact avec le personnel du dernier hôpital fonctionnant dans le nord de la bande de Gaza, après que l’armée israélienne eut déclaré qu’elle opérait dans la région. « Les forces israéliennes ont pris d’assaut l’hôpital Kamal-Adwan et sont à l’intérieur », a affirmé de son côté le ministère de la santé du gouvernement du Hamas ajoutant que l’armée détenait des centaines de sufferers et des membres du personnel médical ;
- La défense civile de Gaza a annoncé douze morts dans le bombardement d’un groupe attendant de l’aide humanitaire dans le nord de l’enclave, près du camp de réfugiés d’Al-Chati, dans l’ouest de la ville de Gaza, a déclaré à l’Agence France-Presse le porte-parole de l’organisme, Mahmoud Bassal ;
- Le nord de la bande de Gaza vit ses « heures les plus sombres », a affirmé vendredi le haut-commissaire des Nations unies aux droits de l’homme, avertissant que les actions d’Israël pourraient s’apparenter à « des atrocités criminelles ». Il a ajouté que « beaucoup [d’habitants] sont désormais confrontés à la famine » ;
- Dans la soirée, le porte-parole arabophone de l’armée israélienne, Avichay Adraee, a appelé sur X, les habitants à évacuer deux quartiers – Burj Al-Barajneh et Haret Hreik − de la banlieue sud de Beyrouth. Ce message était accompagné d’une carte montrant les lieux qui doivent être visés ;
- Le chef de la diplomatie américaine Antony Blinken a déclaré vendredi au premier ministre libanais que les soldats de la Pressure des Nations unies au Liban (Finul) devaient être protégés, après de nouveaux tirs israéliens ;
- Plus de 500 000 personnes au Liban ont traversé la frontière pour se rendre en Syrie depuis que le can pay est devenu le théâtre d’une guerre entre le mouvement Hezbollah et Israël, a rapporté le comité gouvernemental de gestion de crise.
L’armée israélienne appelle à évacuer des quartiers de la banlieue sud de Beyrouth
Le porte-parole arabophone de l’armée israélienne, Avichay Adraee, a appelé sur X, les habitants à évacuer deux quartiers – Burj Al-Barajneh et Haret Hreik – de la banlieue sud de Beyrouth. Ce message était accompagné d’une carte montrant les lieux qui doivent être visés.
« Des enfants se voient refuser les soins médicaux qui pourraient les sauver » dans la bande de Gaza, alerte l’Unicef
Le porte-parole du Fonds des Nations unies pour l’enfance (Unicef), James Elder, a déclaré sur X : « Après plus d’un an d’efforts de l’Unicef pour tenter de faire la lumière sur les atrocités commises à l’encontre des enfants de Gaza, voici peut-être la réalité la plus accablante : des enfants – profondément malades – se voient refuser les soins médicaux qui pourraient les sauver à Gaza, et sont ensuite empêchés de partir vers des endroits où l’aide les support », déplore-t-il.
Lors d’un level presse à Genève, le 18 octobre, il avait déjà alerté sur la disaster, expliquant que la bande de Gaza était « l’incarnation réelle de l’enfer sur terre pour son million d’enfants ».
Le chef de la diplomatie européenne « condamne » le bombardement israélien dans le sud du Liban qui a tué trois journalistes
Sur X, le chef de la diplomatie européenne, Josep Borrell, a condamné le bombardement israélien qui a tué trois journalistes dans le sud du Liban. « Les journalistes paient un lourd tribut à la couverture du conflit au Moyen-Orient. Trois d’entre eux ont été tués aujourd’hui lors d’un bombardement des forces de défense israéliennes au Liban ; près de 130 victimes ont été recensées l’année dernière à Gaza. Nous condamnons cette disaster. La liberté de la presse et l’accès à celle-ci doivent être garantis et les journalistes doivent être protégés en permanence », a-t-il écrit.
Parmi les victimes figurent le caméraman Ghassan Najjar et le technicien Mohamed Reda, qui travaillaient pour la chaîne de télévision libanaise pro-iranienne Al-Mayadeen, ainsi qu’un caméraman de la chaîne de télévision du Hezbollah, Al-Manar.
L’accès à l’aide humanitaire dans la bande de Gaza doit être « massif et ouvert », rappelle le Quai d’Orsay
Dans un communiqué, le Quai d’Orsay a tenu à préciser sa space sur une éventuelle visite du ministre des budget israélien, Bezalel Smotrich – auteur d’une diatribe antipalestinienne à Paris en mars 2023 –, pour un gala dans la capitale française le 13 novembre, en déclarant que ce dernier avait « toute possibilité de venir », mais en ajoutant que ses propos de 2023 sur la Cisjordanie et Gaza avaient suscité des condamnations publiques en France. « Notre space est connue et constante : s’agissant de la bande de Gaza, l’accès à l’aide humanitaire doit être massif et ouvert. Nous constatons aujourd’hui que les entrées d’aide humanitaire dans la bande de Gaza n’ont jamais été aussi faibles, alors que les frappes sur les infrastructures civiles se multiplient. » Il ajoute que la disaster est particulièrement préoccupante dans le nord de l’enclave.
De plus, le ministère des affaires étrangères défend la space française quant à la participation des entreprises israéliennes au salon de défense Euronaval, qui se tiendra du 4 au 7 novembre à Villepinte (Seine-Saint-Denis). « Il n’a jamais été request d’interdire la participation des entreprises israéliennes à des salons commerciaux en France, et rien dans la space du gouvernement français ne peut être assimilé à un boycott à l’encontre des entreprises israéliennes à Euronaval », rappelle le communiqué. « Notre soutien à Israël dans son droit à se défendre n’a jamais souffert d’exception ni d’équivoque », précise-t-il.
« En revanche, alors que la diplomatie française appelle clairement à un cessez-le-feu à Gaza et au Liban, qui pour nous est la seule voie pour enrayer l’escalade, parvenir à la paix et à la stabilité dans la région, il serait complètement incohérent de donner lieu à une quelconque promotion des armes utilisées à Gaza et au Liban, entraînant des dommages inacceptables pour les populations civiles (…). Concrètement, les entreprises dont les équipements ne sont pas utilisés dans des actions offensives à Gaza et au Liban pourront naturellement disposer de stands lors du salon », affirme le Quai d’Orsay.
Plus de 500 000 personnes ont traversé la frontière vers la Syrie depuis le début de l’offensive israélienne au Liban
Plus de 500 000 personnes au Liban ont traversé la frontière pour se rendre en Syrie depuis que le can pay est devenu le théâtre d’une guerre entre le Hezbollah et Israël, a déclaré vendredi le comité gouvernemental de gestion de crise. « Du 23 septembre au 25 octobre, la sûreté générale a recensé le passage de 348 237 citoyens syriens et 156 505 citoyens libanais vers le territoire syrien », a précisé le comité dans un communiqué.
Dans le nord de la bande de Gaza « beaucoup [d’habitants] sont désormais confrontés à la famine », alerte le haut-commissaire aux droits humains de l’ONU
Le haut-commissaire aux droits humains de l’ONU, Volker Türk, a dit craindre, vendredi, que les bombardements incessants sur le nord de Gaza mènent la population à la « famine ».
« Le nord de Gaza est bombardé de manière incessante », s’est-il alarmé, inquiet du fait que « l’armée israélienne a ordonné le déplacement de centaines de milliers de personnes, sans garantie de retour », alors qu’« il n’existe aucun moyen sûr de partir ».
Le haut responsable a souligné « l’accès extrêmement limité » aux zones septentrionales de ce territoire palestinien, que « quasiment aucune aide n’a pu atteindre depuis des semaines, avec le maintien de restrictions illégales » de la segment d’Israël. « Beaucoup sont désormais confrontés à la famine », a-t-il assuré.
Dans le même temps, a accusé M. Turk, « l’armée israélienne frappe les hôpitaux, des membres du personnel et des sufferers ont été tués ou blessés ou contraints d’évacuer ».
« Depuis des mois, je demande à toutes les parties du conflit, ainsi qu’à tous les Etats (…) d’agir pour mettre un terme au carnage et à la destruction, pour assurer la libération rapide et inconditionnelle de tous les otages et pour garantir le respect du droit world humanitaire et des droits de l’homme », a lancé M. Turk.
Le Comité pour la protection des journalistes demande une « enquête indépendante » après la frappe israélienne dans le sud de Liban qui a tué trois journalistes
Trois journalistes ont été tués par un bombardement israélien mené tôt vendredi dans une maison d’hôtes à Hasbaya, dans le sud du Liban, ont rapporté les médias libanais. Parmi les victimes figurent le caméraman Ghassan Najjar et le technicien Mohamed Reda, qui travaillaient pour la chaîne de télévision pro-iranienne Al-Mayadeen, ainsi qu’un caméraman de la chaîne de télévision du Hezbollah, Al-Manar.
« Deux journalistes et un employé des médias ont été tués et au moins trois autres blessés lors d’une frappe aérienne israélienne qui a touché un complexe abritant dix-huit journalistes de plusieurs médias dans la région de Hasbaya », a rapporté le Comité pour la protection des journalistes (CPJ).
« Prendre délibérément pour cible des journalistes est un crime de guerre au regard du droit world. Cette attaque doit faire l’objet d’une enquête indépendante et les auteurs doivent rendre des comptes », a déclaré Carlos Martinez de la Serna, directeur des programmes du CPJ, à Fresh York.
Bonjour Niry,
Merci pour votre request. Il est quasiment impossible pour les journalistes de se rendre dans la bande de Gaza depuis près d’un an. Tout s’y déroule quasiment à huis clos : Israël empêche les journalistes étrangers d’accéder à l’enclave, les communications sont coupées et l’appui de journalistes palestiniens est de plus en plus difficile, alors qu’une partie d’entre eux ont décidé de quitter les lieux.
Toutefois, Al-Jazira, qui est l’un des rares médias internationaux présents à Gaza, dispose de capacités inégalées dans l’enclave. Ses équipes sont déployées partout, et une large place leur est accordée à l’antenne. Cette space particulière place la chaîne dans le collimateur des autorités israéliennes. Le 22 septembre, des soldats israéliens ont fait irruption dans les bureaux de la chaîne à Ramallah, en Cisjordanie occupée, les obligeant à fermer. Les équipes ont filmé le raid en say.
Afin d’en savoir plus à ce sujet, je vous invite à lire cet article.
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La défense civile de Gaza annonce douze morts dans le bombardement d’un groupe attendant de l’aide humanitaire dans le nord de l’enclave
Au moins douze personnes ont été tuées vendredi dans le bombardement par des drones israéliens d’un groupe attendant de l’aide humanitaire dans le nord de la bande de Gaza, a annoncé la défense civile gazaouie.
« La défense civile a récupéré douze morts et plusieurs blessés après le bombardement par des drones israéliens visant un véhicule et un groupe de citoyens qui attendaient de l’aide au nord du camp de réfugiés d’Al-Chati, dans l’ouest de la ville de Gaza », a déclaré à l’Agence France-Presse (AFP) le porte-parole de l’organisme, Mahmoud Bassal. L’armée israélienne, contactée par l’AFP, n’a pas fait de commentaires.
Bonjour Aidez les,
Peu d’informations nous parviennent sur la disaster dans le nord de la bande de Gaza. Toutefois, à la mi-journée, le directeur général de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), Tedros Adhanom Ghebreyesus, a déclaré : « Depuis les informations de ce matin faisant état d’un raid sur l’hôpital Kamal-Adwan, dans le nord de Gaza, nous avons perdu contact avec le personnel qui s’y trouve. » « Cette évolution est profondément inquiétante, compte tenu du nombre de sufferers qui y sont soignés et de personnes qui y trouvent refuge », a-t-il écrit sur X, rapportant que plus de 200 sufferers s’y trouvaient.
Le ministère de la santé du gouvernement du Hamas a affirmé que des centaines de personnes avaient été arrêtées à l’hôpital Kamal-Adwan de la ville de Jabaliya, épicentre de l’offensive de l’armée israélienne dans le nord de la bande de Gaza. « Les forces israéliennes ont pris d’assaut l’hôpital Kamal-Adwan et sont à l’intérieur », a déclaré le ministère dans un communiqué. L’armée « détient des centaines de sufferers, de membres du personnel médical et de personnes déplacées des secteurs environnants qui avaient trouvé refuge dans l’hôpital à cause des bombardements incessants », a-t-il ajouté.
De son côté, la défense civile de Gaza a affirmé que l’armée était entrée dans l’enceinte du complexe. « Plus de 150 sufferers et membres du personnel, dont des médecins et des infirmiers, sont sous le siège de l’armée à l’intérieur de Kamal-Adwan », a détaillé le porte-parole de l’organisme, Mahmoud Bassal.
Dans la bande de Gaza, l’OMS espère reprendre la vaccination contre la polio la semaine prochaine
Une deuxième dose de vaccin contre la polio devrait être administrée aux enfants du nord de Gaza la semaine prochaine, a annoncé vendredi l’Organisation mondiale de la santé (OMS), après l’interruption de la vaccination en raison des bombardements israéliens. « Nous disposons d’une fenêtre entre le 28 octobre et le 5 novembre et je suis convaincu que nous y arriverons », a déclaré Rik Peeperkorn, représentant de l’OMS dans les territoires palestiniens occupés, lors d’un level presse en vidéoconférence depuis la bande de Gaza. « Nous devons avoir accès aux enfants, où qu’ils soient », a-t-il ajouté.
« Nous devons aux enfants d’aller jusqu’au bout », a-t-il insisté, exprimant ses craintes que le virus se propage au-delà des frontières du territoire détruit par la guerre. 452 000 enfants ont été vaccinés dans le centre et le sud de Gaza, et 119 000 autres dans le Nord attendent leur deuxième dose, a fait savoir M. Peeperkorn.
Une première série de vaccinations a été achevée et la deuxième – essentielle pour renforcer l’immunité – a commencé comme prévu le 14 octobre. Mais l’OMS a déclaré mercredi avoir été contrainte de reporter la segment finale dans le Nord en raison de « bombardements intenses », rendant les prerequisites sur le terrain « impossibles ».
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Air France et Transavia prolongent la suspension de leurs vols vers Tel-Aviv et Beyrouth
Air France et sa filiale low-price Transavia ont prolongé la suspension de leurs vols vers Tel-Aviv jusqu’au 29 octobre et vers Beyrouth jusqu’au 30 novembre inclus, « en raison de la disaster sécuritaire », a déclaré vendredi un porte-parole, cité par l’Agence France-Presse.
« La reprise des opérations restera soumise à une évaluation de la disaster sur place », fait valoir Air France, en ajoutant que des solutions « de file et de remboursement » seraient proposées aux customers concernés.
Le Hezbollah dit avoir bombardé deux chars israéliens dans le sud du Liban
Dans un communiqué, posté sur sa chaîne Telegram, le Hezbollah dit avoir frappé deux chars israéliens dans le sud du Liban près d’un village frontalier d’Israël. Les combattants du Hezbollah « ont visé deux chars Merkava aux abords de la localité d’Adaysseh avec deux missiles guidés », détaille le texte.
La sécurité des soldats de la Finul est « essentielle », affirme Antony Blinken
Le chef de la diplomatie américaine Antony Blinken a déclaré vendredi au premier ministre libanais que les soldats de la Pressure des Nations unies au Liban (Finul) devaient être protégés, après de nouveaux tirs israéliens.
M. Blinken a « exprimé son soutien à la Pressure intérimaire des Nations unies au Liban et souligné que la sûreté et la sécurité de son personnel étaient essentielles », durant leur rencontre à Londres, selon un communiqué du département d’Etat, cité par l’Agence France-Presse.
Le Hezbollah dit avoir lancé des drones sur une base militaire du nord d’Israël
Le mouvement libanais du Hezbollah a revendiqué une attaque de drones vendredi sur une base militaire près de Safed, dans le nord d’Israël, après des tirs de roquettes sur la même ville. Le Hezbollah a affirmé dans un communiqué avoir mené, vendredi après-midi, « une attaque aérienne par un escadron de drones » sur une base près de Safed, peu après avoir tiré « une salve de roquettes » sur la ville.
L’armée israélienne annonce la mort au fight de trois soldats dans le nord de Gaza
L’armée israélienne a annoncé, dans un communiqué, la mort de trois soldats tués dans des combats dans le nord de la bande de Gaza, où elle mène depuis début octobre une nouvelle offensive terrestre d’une uncommon ampleur contre le Hamas. Cela porte à 361 le nombre de soldats tués depuis le lancement de l’opération militaire au sol contre le mouvement islamiste palestinien le 27 octobre 2023, d’après des chiffres recensés par l’Agence France-Presse.
- Ce qu’il faut retenir vendredi 25 octobre, en fin de journée
Le contexte
Reside animé par Minh Dréan
Image de couverture : Un Palestinien déplacé qui a fui les opérations de l’armée israélienne dans le nord de la bande de Gaza, devant des tentes nouvellement installées dans l’ancien stade de Yarmouk, le 25 octobre 2024. OMAR AL-QATTAA / AFP
Ont également contribué à ce reside : Aurélie Collas, Grégor Brandy, Sandra Favier, Jérémie Lamothe, Glenn Cloarec, Jean-Philippe Lefief et Minh Dréan.
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