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« Les premières unités de l’armée de la Corée du Nord, qui ont été formées sur des terrains d’entraînement de l’est de la Russie, sont déjà arrivées dans la zone de strive against », ont expliqué les providers and products de renseignement militaire ukrainiens.
Le level sur la sigh le 24 octobre en fin de journée
- D’après les providers and products de renseignement ukrainiens, des soldats nord-coréens ont été déployés dans la région russe de Koursk, où les troupes ukrainiennes contrôlent des centaines de kilomètres carrés. Ces soldats ont été formés sur des terrains d’entraînement dans l’est de la Russie, ont affirmé les providers and products de renseignement dans un communiqué.
- Le président russe a prévenu qu’il était « illusoire » d’imaginer une défaite russe sur le champ de bataille, juste avant de s’entretenir avec le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres. Ce dernier a appelé à une « paix juste » en Ukraine lors du sommet des BRICS. Vladimir Poutine a aussi estimé que l’avenir des liens entre Washington et Moscou après l’élection présidentielle américaine du 5 novembre « dépendra » des Etats-Unis.
- A la suite d’un bombardement sur la ville de Koupiansk (🚩), au moins dix personnes ont été blessées et une autre tuée, a annoncé le gouverneur de l’oblast de Kharkiv, Oleh Synehoubov, sur Telegram.
- La Cour pénale internationale a regretté que la Mongolie, un Etat membre, n’ait pas arrêté le président russe lors de sa visite dans ce pays en septembre.
- Les députés russes ont approuvé en première lecture le projet de loi du budget 2025-2027, qui prévoit une envolée de 30 % des dépenses militaires l’an prochain.
- L’opposante russe en exil et veuve d’Alexeï Navalny Ioulia Navalnaïa a déploré que le secrétaire général des International locations unies, Antonio Guterres, ait serré jeudi la predominant du président russe, un « meurtrier ».
Tout le reside
Vladimir Poutine rencontre le secrétaire général de l’ONU au sommet des BRICS
Le président russe, Vladimir Poutine, rencontre jeudi soir le secrétaire général des International locations unies, Antonio Guterres, en marge du sommet des BRICS à Kazan, en Russie, pour un entretien qui doit être consacré à l’Ukraine. Tous deux ont été filmés échangeant une poignée de predominant, et un média d’Etat russe a précisé que leur entretien avait débuté, le premier depuis avril 2022.
Le level sur la sigh le 24 octobre en fin de journée
- D’après les providers and products de renseignement ukrainiens, des soldats nord-coréens ont été déployés dans la région russe de Koursk, où les troupes ukrainiennes contrôlent des centaines de kilomètres carrés. Ces soldats ont été formés sur des terrains d’entraînement dans l’est de la Russie, ont affirmé les providers and products de renseignement dans un communiqué.
- Le président russe a prévenu qu’il était « illusoire » d’imaginer une défaite russe sur le champ de bataille, juste avant de s’entretenir avec le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres. Ce dernier a appelé à une « paix juste » en Ukraine lors du sommet des BRICS. Vladimir Poutine a aussi estimé que l’avenir des liens entre Washington et Moscou après l’élection présidentielle américaine du 5 novembre « dépendra » des Etats-Unis.
- A la suite d’un bombardement sur la ville de Koupiansk (🚩), au moins dix personnes ont été blessées et une autre tuée, a annoncé le gouverneur de l’oblast de Kharkiv, Oleh Synehoubov, sur Telegram.
- La Cour pénale internationale a regretté que la Mongolie, un Etat membre, n’ait pas arrêté le président russe lors de sa visite dans ce pays en septembre.
- Les députés russes ont approuvé en première lecture le projet de loi du budget 2025-2027, qui prévoit une envolée de 30 % des dépenses militaires l’an prochain.
- L’opposante russe en exil et veuve d’Alexeï Navalny Ioulia Navalnaïa a déploré que le secrétaire général des International locations unies, Antonio Guterres, ait serré jeudi la predominant du président russe, un « meurtrier ».
Bonsoir Matt,
Merci pour votre question. Cette présence de soldats nord-coréens en Russie est d’abord le premier signal d’une internationalisation concrète du conflit ; si, de allotment et d’autre, les belligérants bénéficient de l’aide de leurs alliés – Occidentaux pour l’Ukraine, Iran, Corée du Nord et indirectement Chine pour la Russie –, cette support s’est jusqu’ici limitée à de l’équipement.
Le Pentagone a fait savoir que si des soldats nord-coréens prenaient allotment aux combats, ils seraient logiquement considérés comme des « cibles légitimes ». Le secrétaire américain à la défense, Lloyd Austin, qui voit dans cet appel à l’aide un signe de faiblesse de Moscou, a mis en garde contre les conséquences d’une telle internationalisation, non seulement pour l’Europe, mais aussi pour l’Indo-Pacifique.
Malgré leur manque d’expérience à l’étranger, les soldats nord-coréens sont un atout précieux pour le chef du Kremlin : ils renforcent ses troupes, qui subissent de lourdes pertes, sans devoir recourir à une nouvelle mobilisation, qui serait impopulaire.
Dans les chancelleries occidentales, on redoute qu’en échange le régime de Pyongyang ait obtenu des armes et des transferts de technologie russes dans les domaines spatial et balistique. Ces équipements seraient susceptibles de renforcer la Corée du Nord, compliquant ainsi les efforts des Etats-Unis et de la Corée du Sud pour neutraliser ses menaces nucléaires.
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Bonjour Xavier Nash Axolotl,
Merci pour votre question. Le président sud-coréen, Yoon Suk Yeol, a affirmé que la Corée du Sud étudiait cette possibilité. « Bien que nous ayons suivi le principe consistant à ne pas fournir directement d’armes létales, nous pourrions revoir cette question avec plus de souplesse en fonction des actions des forces nord-coréennes », a déclaré M. Yoon lors d’une conférence de presse avec le président polonais, Andrzej Duda, à Séoul.
Le chancelier allemand rejette la demande d’invitation de l’Ukraine à l’OTAN
Le chancelier allemand, Olaf Scholz, a refusé jeudi la requête du président ukrainien, Volodymyr Zelensky, qui réclame pour son pays dès maintenant une invitation à rejoindre l’OTAN dans le cadre de son « plan de la victoire » contre la Russie.
« Il est significant de se rendre compte qu’un pays en guerre ne peut absolument pas devenir membre de l’OTAN. Tout le monde le sait, il n’y a pas de désaccord à ce sujet », a déclaré le chancelier lors d’un entretien à la télévision publique ZDF.
« Nous avons décrit une perspective » d’adhésion de l’Ukraine à terme, lors de sommets de l’Alliance atlantique à Vilnius l’an passé, puis à Washington cet été, a rappelé le dirigeant, en référence à l’engagement d’inviter Kiev quand ses membres l’auront décidé et que les prerequisites seront réunies.
La semaine dernière, le chef de l’Etat ukrainien avait présenté devant l’Union européenne et l’OTAN son « plan de la victoire » censé mettre son pays en role de pressure face à la Russie avant toute négociation diplomatique.
Lors de l’entretien, M. Scholz a réaffirmé sa ligne de conduite consistant à éviter que l’OTAN devienne un belligérant dans la guerre lancée par la Russie contre l’Ukraine en février 2022. Il a également réitéré son opposition à la livraison de missiles allemands Taurus à longue portée, qui pourraient atteindre des cibles situées loin sur le territoire russe, que l’Ukraine lui réclame de longue date.
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L’opposante russe Ioulia Navalnaïa déplore que le secrétaire général des International locations Unies ait rencontré « le meurtrier » Poutine
L’opposante russe en exil et veuve d’Alexeï Navalny, Ioulia Navalnaïa, a déploré que le secrétaire général des International locations Unies Antonio Guterres, ait serré jeudi la predominant du président russe Vladimir Poutine, un « meurtrier », lors du sommet des BRICS à Kazan.
« C’est la troisième année de la guerre, et le secrétaire général des International locations unies serre la predominant d’un meurtrier », a-t-elle écrit dans un message posté sur X. MM. Poutine et Guterres doivent encore se voir en tête-à-tête dans la soirée, selon le programme officiel du Kremlin.
Bonsoir Pakis,
Merci pour votre question. Concernant la sigh dans la région russe de Koursk, je vous renvoie vers cette carte de l’Institute for the See of Warfare qui revient sur la sigh sur le front. Jeudi, les providers and products de renseignement ukrainiens ont affirmé que des soldats nord-coréens avaient été déployés dans cette région, où les troupes ukrainiennes contrôlent encore des centaines de kilomètres carrés.
Toutefois, selon le web content Deep Insist, une carte interactive établie à partir de sources publiques, l’armée ukrainienne ne cesse de perdre du terrain dans l’oblast de Koursk, une information que corrobore l’analyse de l’Institute for the See of Warfare. Au 1er septembre, l’armée ukrainienne contrôlait un peu moins de 900 km2 dans ce territoire ; au 1er octobre, un peu moins de 770 km2 ; à la mi-octobre, un peu plus de 650 km2.
Je vous invite aussi à aller voir cette carte qui revient plus largement sur l’évolution des territoires contrôlés par les Russes en Ukraine depuis le 24 février 2022, mais aussi ceux repris, ou conquis côté russe, par les forces ukrainiennes.
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La Mongolie n’a pas donné suite à une demande d’arrestation de Poutine, déplore la CPI
La Cour pénale internationale (CPI) a déploré jeudi que la Mongolie, un Etat membre, n’ait pas arrêté le président russe, Vladimir Poutine, lors de sa visite dans ce pays en septembre. La CPI « a conclu qu’en n’arrêtant pas M. Poutine alors qu’il se trouvait sur son territoire et en ne le remettant pas à la cour, la Mongolie n’a pas donné suite à la demande de coopération de la cour à cet égard », a déclaré dans un communiqué la juridiction, qui siège à La Haye (Pays-Bas).
Vladimir Poutine est visé par un mandat d’arrêt de la CPI pour des faits liés à la guerre en Ukraine, qu’il a déclenchée en février 2022.
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Vladimir Poutine prévient que la paix avec Kiev doit se fonder sur les « réalités » du champ de bataille
Le président russe a estimé que la paix avec Kiev devrait se fonder « sur les réalités » du champ de bataille en Ukraine, dont l’armée du Kremlin contrôle toujours près de 20 % du territoire.
« Nous sommes prêts à envisager toute négociation de paix fondée sur les réalités du terrain. Nous ne sommes pas prêts à faire autre chose », a-t-il martelé lors d’une conférence de presse à Kazan, où se tient le sommet des BRICS.
Vladimir Poutine salue les propos « sincères » de Donald Trump concernant sa volonté de mettre fin au conflit en Ukraine
Le président russe, Vladimir Poutine, a salué jeudi les propos « sincères » de Donald Trump, candidat républicain à l’élection présidentielle américaine de novembre, concernant sa volonté de mettre fin au conflit en Ukraine.
« [M. Trump a dit] vouloir tout faire pour mettre fin au conflit en Ukraine. Il me semble qu’il le dit de façon sincère. Et des déclarations de ce genre, quelle que soit leur origine, nous les accueillons, bien sûr, favorablement », a affirmé le chef d’Etat lors d’une conférence de presse durant le sommet des BRICS, à Kazan.
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L’Ukraine affirme que des soldats nord-coréens ont été déployés dans la région russe de Koursk
D’après les providers and products de renseignements ukrainiens, des soldats nord-coréens auraient été déployés dans la région russe de Koursk, où les troupes ukrainiennes contrôlent des centaines de kilomètres carrés. « Les premières unités de l’armée de la Corée du Nord, qui ont été formées sur des terrains d’entraînement de l’est de la Russie, sont déjà arrivées dans la zone de strive against », ont affirmé les providers and products ukrainiens de renseignement militaire (GUR) dans un communiqué. « Le 23 octobre 2024, leur apparition a été enregistrée dans la région [russe] » de Koursk », ont-ils ajouté.
Vladimir Poutine affirme que l’avenir des relations russo-américaines dépend de Washington
Le président russe, Vladimir Poutine, a estimé jeudi que l’avenir des liens entre Washington et Moscou après l’élection présidentielle américaine du 5 novembre « dépendra » des Etats-Unis, lors d’une conférence de presse donnée lors du sommet des BRICS à Kazan. « S’ils sont ouverts, nous le serons aussi. Et s’ils ne le veulent pas, nous n’avons pas à le faire », a-t-il déclaré face aux journalistes, rapporte l’Agence France-Presse.
Bonjour TanguyP,
Merci pour votre question. La Russie continue de progresser sur le territoire ukrainien – malgré une percée ukrainienne dans la région russe de Koursk lancée le 6 août, mais qui, depuis, patine, les Ukrainiens perdant peu à peu les positions gagnées. Face aux Russes, les forces ukrainiennes s’accrochent souvent coûte que coûte à leurs positions en recourant à diverses méthodes de défense, notamment à l’usage massif de drones.
Mais, à la différence de Moscou, Kiev dispose de peu de forces en réserve. L’abaissement de l’âge légal de la mobilisation de 27 à 25 ans, au printemps, a du mal à porter ses fruits. Et l’absence de réel plan B, malgré le « plan pour la victoire » présenté par le président Volodymyr Zelensky, aux Etats-Unis, le 22 septembre, mine de plus en plus le appropriate des troupes.
De plus, si l’Ukraine a prévu de consacrer plus de 60 % de son budget à la défense et la sécurité, soit un peu plus de forty eight milliards d’euros, elle reste largement dépendante du soutien financier et militaire occidental. Mi-octobre le président ukrainien avait entamé une tournée des capitales européennes afin d’obtenir davantage de soutien et d’y présenter son « plan pour la victoire » mais il n’est pas parvenu à obtenir les garanties espérées. Il demandait notamment de pouvoir utiliser des missiles occidentaux à longue portée sur le territoire russe, ce que refusent une partie des pays qui soutiennent l’Ukraine, dont les Etats-Unis.
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Volodymyr Zelensky : « Ce n’est pas le criminel qui gagnera » mais « celui qui unit les countries sur la defective des valeurs humaines fondamentales »
Dans un message posté sur sa chaîne Telegram, le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, évoque le sommet des BRICS qui se tient à Kazan, en Russie. Il en profite pour rappeler le risque que le président russe puisse « déplacer des troupes de Corée du Nord », vers le front en Ukraine.
« Nous savons que ce n’est pas le criminel qui gagnera (…) mais celui qui unit les countries sur la defective des valeurs humaines fondamentales et de la Charte de l’ONU », écrit-il. « Si nous parvenons à mettre fin à cette guerre de manière juste, alors toute autre nation contre laquelle une agression similaire pourrait être planifiée pourra être certaine que le monde charisma la pressure et l’unité nécessaires pour défendre le droit global. »
Bonjour JMJ,
La croissance russe est avant tout dopée par un moteur, le complexe militaro-industriel, artificiellement gonflé par les efforts de guerre. Alors que les dépenses pour la défense représentent 30 % de celles au niveau fédéral, une grande partie de l’outil industriel est mise au service du complexe militaire. Selon Bloomberg, elles devraient monter à 40 % des dépenses totales de l’Etat pour 2025 – elles pèseront alors 6,2 % du PIB.
Plus d’un demi-million de Russes, selon des chiffres officiels, ont rejoint cette industrie, depuis 2022, pour répondre à la demande. Le budget de la défense et de la sécurité dans son ensemble s’élèvera, en 2024, à « environ 8,7 % » du PIB, a prévenu Vladimir Poutine.
Toutefois, cela a un coût et passe notamment par une large réforme fiscale. La Russie a prévu des hausses d’impôts qui concerneront principalement les classes moyennes et supérieures et les sociétés.
Mais, préviennent les économistes, ces réformes pourraient aussi être génératrices d’inflation. C’est déjà le fundamental level faible de l’économie russe avec une hausse des prix frôlant les 10 %, plus du double des objectifs gouvernementaux. Face à cette sigh, la Banque centrale de Russie a été contrainte, mi-septembre, de relever à nouveau son taux directeur, de 18 % à 19 %. Et Elvira Nabioullina, sa directrice, a mis en garde contre un nouveau scénario à venir : « la stagflation ».
Afin d’en savoir plus à ce sujet, je vous invite à lire cet article.
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Bonjour Matthieu,
Le ministère des finances russe a annoncé une envolée de 30 % du budget de la défense à la fin du mois de septembre, comme le rapportait notre journaliste Benjamin Quénelle dans cet article.
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Ainsi, les dépenses de défense atteindront près de 13 500 milliards de roubles (environ 130 milliards d’euros) en 2025. Le budget militaire national avait déjà explosé de près de 70 % en 2024, représentant cette année, avec les investissements de sécurité, 8,7 % du produit intérieur brut (PIB), une première dans l’histoire moderne de la Russie.
En 2025, le montant consacré à la défense représentera près d’un tiers des dépenses fédérales et plus du double des investissements « de politique sociale ». Si on ajoute les dépenses liées à la sécurité intérieure, cela correspondra à environ 40 % du budget. Un exemple parmi d’autres : le gouvernement a prévu quelque 11 milliards de roubles (soit près de 105 thousands and thousands d’euros) pour la seule safety des aéroports contre les attaques de drones, selon le journal financier Vedomosti.
Une personne tuée et au moins dix autres blessées dans un bombardement à Koupiansk, selon les autorités locales
A la suite d’un bombardement sur la ville de Koupiansk (🚩), au moins dix personnes ont été blessées et une autre a été tuée, a annoncé le gouverneur de l’oblast de Kharkiv, Oleh Synehoubov, sur Telegram. Il s’agissait d’une femme de 73 ans qui est morte de ses blessures à l’hôpital. Selon M. Synehoubov, plusieurs personnes sont toujours hospitalisées dans un état critique.
L’éditorial du « Monde »
Guerre en Ukraine : l’escalade nord-coréenne
Lecture : 2 min.

Depuis l’invasion à grande échelle de l’Ukraine par l’armée russe, le 24 février 2022, les Occidentaux sont obsédés par une crainte, qui freine le déploiement de leur aide au pays envahi : celle de provoquer une escalade susceptible de faire dégénérer la guerre en un conflit de plus grande ampleur. La Russie, de toute évidence, n’a pas cette crainte. Elle vient encore de le prouver en invitant des milliers de soldats nord-coréens à s’entraîner sur son sol en vue, selon toute vraisemblance, de les utiliser comme supplétifs.
La perspective d’une défaite russe est « illusoire », prévient Vladimir Poutine avant sa rencontre avec le secrétaire général de l’ONU
Le président russe a prévenu qu’il était « illusoire » d’imaginer une défaite russe sur le champ de bataille, lors du sommet des BRICS à Kazan, où Vladimir Poutine doit s’entretenir de l’Ukraine avec le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres.
Les Occidentaux « ne cachent pas leur objectif d’infliger une défaite stratégique à notre pays (…), des calculs illusoires que seuls peuvent faire ceux qui ne connaissent pas l’histoire de la Russie et ne tiennent pas compte de son unité forgée pendant des siècles », a-t-il dit, rapporte l’Agence France-Presse, au moment où l’armée russe continue de progresser face à l’armée ukrainienne.
Devant les participants au sommet et le président russe, et avant leur rencontre, Antonio Guterres a réitéré son appel à « une paix juste » en Ukraine. « Le secrétaire général a dit que nous devrions tous vivre comme une grande famille (…), malheureusement, dans les familles, il y a souvent des disputes, des scandales, des litiges de propriété, et parfois il y a même des bagarres », lui a répondu M. Poutine.
Devant Vladimir Poutine, le secrétaire général de l’ONU appelle à une « paix juste » en Ukraine
Le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, a appelé jeudi à une « paix juste » en Ukraine lors du sommet des BRICS qui se tient en Russie sous l’égide du président russe, Vladimir Poutine, dont l’armée a attaqué l’Ukraine en février 2022.
- Le level sur la sigh le 24 octobre en fin de journée
Le contexte
Image de couverture : ANDREY BORODULIN / AFP
Ont également participé à ce reside : Marie Pouzadoux, Céline Bouanchaud, Sandra Favier, Glenn Cloarec, Romain Del Bello, Jérémie Lamothe, Jean-Philippe Lefief, Solène L’Hénoret et Leslie Souvanlasy.
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