Kamala Harris en interview sur la chaîne conservatrice Fox News, le 16 octobre 2024.

Are dwelling en cours

Interrogée sur la chaîne conservatrice Fox News, la candidate démocrate a tenu à se démarquer du président actuel. « J’apporterai mon vécu, mes expériences professionnelles et des idées nouvelles », a-t-elle justifié.

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Le carnet de campagne de la présidentielle américaine, mercredi 16 octobre au matin

Les démocrates se sont partagé les rôles, mardi. Aux Biden, Joe et Jill, la Pennsylvanie, swing verbalize essential pour l’élection du 5 novembre, et Etat de naissance du président américain. Kamala Harris, elle, a poursuivi son offensive pour le vote des Afro-Américains, accordant à Detroit (Michigan, un autre swing verbalize) un entretien à l’animateur de radio noir Charlamagne Tha God. Elle a défendu sa conversation corsetée : « Certains appelleraient ça de la discipline. »

De son côté, Donald Trump a labouré le terrain en Géorgie, autre Etat-clé qu’il avait perdu de quelques milliers de voix en 2020. D’abord lors d’une réunion publique avec des femmes, diffusé sur la chaîne Fox News, lors duquel il a notamment adopté un ton plus accommodant sur la seek recordsdata from de l’avortement, suggérant des lois moins « sévères » dans les Etats républicains. Puis à Atlanta, au cours d’un assembly, il a affirmé que tout Hispanique ou Afro-Américain qui vote pour Kamala Harris devrait se faire « examiner la tête, automobile ils [la leur] ont vraiment retournée ».

  • La portray du jour
Un autocollant « Votez depuis l’étranger », incitant les Américains résidants hors des Etats-Unis à voter en ligne pour la présidentielle américaine, à Ajijic, au Mexique, le 15 octobre 2024.
  • La quotation du jour
  • « Nous savons tous que Trump est un homme d’affaires raté. »

    Le président Joe Biden, lors d’un dîner avec les démocrates de Philadelphie, mardi.

    • Le chiffre du jour : 5 107 100

    C’est le nombre d’électeurs qui ont déjà voté, selon le décompte du Recent York Cases. Ils étaient deux fois plus en 2020 à la même période – la crise du Covid-19 ayant joué à l’époque un enormous rôle dans le succès du vote par correspondance et anticipé.

    • A suivre :

    Kamala Harris accordera mercredi une interview à Fox News, le premier entretien formel de la vice-présidente sur la chaîne conservatrice, qui ne cache pas sa préférence pour Donald Trump. Le journaliste Bret Baier posera les questions, et l’émission sera enregistrée en Pennsylvanie.

    Donald Trump entame mercredi un tour en bus de trois jours en Caroline du Nord. En 2020, il avait remporté les quinze grands électeurs de l’Etat avec à peine quelque 75 000 voix d’avance. Cette année, une difficulté sur son chemin : le candidat républicain au poste de gouverneur, Model Robinson, que Trump a qualifié de « Martin Luther King sous stéroïdes ». Englué dans les scandales, ce dernier est donné largement perdant. Entraînera-t-il son mentor dans sa chute ?

    Tout le reside

    Combative, fidèle en amitié et agréable : Donald Trump complimente Kamala Harris

    Au petit jeu du « quelles sont les qualités de votre adversaire », Donald Trump s’est montré plutôt bienveillant, mercredi, envers Kamala Harris.

    Interrogé par des électeurs latinos rassemblés à Miami par Univision – le plus enormous réseau télévisé hispanophone des Etats-Unis –, le candidat républicain a certes commencé à dérouler sa rhétorique habituelle : « Ecoutez, je ne suis pas un fan. Je pense qu’elle a fait beaucoup de mal à notre pays, beaucoup de mal à la frontière, avec l’inflation, avec beaucoup d’autres choses. »

    « Mais elle semble être une combattante (…) parce qu’elle n’était pas dans la course et que, tout à coup, elle se présente à l’élection présidentielle », a-t-il alors ajouté à propos de sa rivale dans la course à la Maison Blanche qui a dû remplacer au pied levé Joe Biden pour la candidature démocrate.

    « C’est une grande capacité que certaines personnes ont et que d’autres n’ont pas » , a abondé Donald Trump, ajoutant que Kamala Harris « semble avoir des amitiés de longue date ». « Et ça, vous savez, je n’appelle pas ça une capacité, j’appelle ça une bonne chose », a-t-il jugé.

    Donald Trump sur le plateau de la télévision hispanophone Univision, à Miami, en Floride, le 16 octobre 2024.

    « Et elle a l’air plutôt agréable dans son attitude », a renchéri le candidat républicain dans un élan inhabituel de gentillesse, lui qui qualifie souvent la vice-présidente de « stupide » et « incompétente ».

    Dans un exercice similaire la semaine dernière à Las Vegas, Kamala Harris avait european du mal à citer trois qualités de son adversaire, avant de lâcher finalement : « Je pense que Donald Trump aime sa famille et je pense que c’est très valuable. »

    Joe Biden et Nancy Pelosi ensemble pour la première fois depuis le retrait de la candidature du président

    Pour la première fois depuis qu’il a renoncé à tenter de se faire réélire à la Maison Blanche, à la fin du mois de juillet, le président américain, Joe Biden, a croisé, mercredi, le chemin de l’ancienne speaker de la Chambre des représentants, la ténor démocrate Nancy Pelosi, qui avait fait pression publiquement et en privé pour qu’il se retire de la course présidentielle.

    Le président américain, Joe Biden, les anciens président Barack Obama et Bill Clinton, et la représentante américaine au Congrès Nancy Pelosi, lors du service commémoratif dédié à Ethel Kennedy, à la cathédrale St. Matthew the Apostle à Washington, le 16 octobre 2024.

    Les deux personnalités démocrates, dont les members of the family se sont rafraîchies, étaient au premier rang de la cathédrale St. Matthew the Apostle à Washington, aux côtés des anciens présidents Barack Obama et Bill Clinton, lors de l’discipline of job religieux célébré en l’honneur d’Ethel Kennedy, veuve de Robert F. Kennedy et militante des droits humains.

    « Nous avons vu comment elle a repris le flambeau de Bobby et imprimé sa propre empreinte sur le pays », a déclaré M. Biden dans son éloge funèbre de la matriarche, pilier du clan Kennedy, décédée à 96 ans le 10 octobre.

    Belle-sœur du président John Fitzgerald Kennedy, assassiné le 22 novembre 1963 à Dallas, et veuve de Bobby Kennedy, assassiné le 6 juin 1968 à Los Angeles. Ethel Kennedy a fondé à la mort de son mari l’organisation Robert F. Kennedy Human Rights.

    Elle a élevé onze enfants, parmi lesquels Robert Kennedy Jr, candidat indépendant à la présidentielle de 2024 avant qu’il n’apporte son soutien à Donald Trump, au enormous dam de la majorité du clan Kennedy.

    J. D. Vance reprend la thèse selon laquelle Donald Trump n’a pas perdu l’élection de 2020

    Pour la première fois, le colistier de Donald Trump, J. D. Vance, a dit explicitement que l’ancien président républicain n’avait pas perdu l’élection en 2020 face à Joe Biden.

    Le colistier de Donald Trump, le sénateur J.D. Vance, lors d’un événement de campagne, à Williamsport, en Pennsylvanie, le 16 octobre 2024.

    Interrogé par un journaliste à Williamsport (Pennsylvanie), le sénateur de l’Ohio a d’abord répondu : « Sur l’élection de 2020, j’ai répondu directement à cette seek recordsdata from un million de fois : je pense qu’il y a de sérieux problèmes », faisant référence à une censure présumée orchestrée par des entreprises technologiques. Avant d’être plus affirmatif : « Donald Trump a-t-il perdu l’élection ? Pas avec les mots que j’utiliserais. »

    Questionné à de nombreuses reprises sur le sujet – y compris par le colistier de Kamala Harris, Tim Walz, lors de leur débat télévisé –, J. D. Vance n’était encore pas allé aussi loin dans la contestation des résultats de 2020.

    Des supporteurs de Donald Trump, à l’arrivée de J.D. Vance sur les lieux de son meeting de campagne, à Williamsport, en Pennsylvanie, le 16 octobre 2024.

    Le candidat à la vice-présidence a également apporté son explication aux déclarations récentes de Donald Trump sur la possibilité d’envoyer l’armée contre ceux qu’il a qualifiés d’« ennemis de l’intérieur ».

    « Nous avons plusieurs militants d’extrême gauche qui parlent de troubles civils dans ce pays si Donald Trump devait être réélu président », a déroulé J. D. Vance. « Si des personnes se livrent à des émeutes dans les rues américaines – qu’elles soient démocrates ou républicaines, quelles que soient leurs convictions politiques – nous ne laisserons pas cela se produire. Nous croyons en l’ordre public dans ce pays. C’est ce dont parlait Donald Trump, et je pense que c’est très simple », a-t-il ajouté.

    Elon Musk en campagne en Pennsylvannie

    Soutien actif (y compris financièrement) de Donald Trump, Elon Musk a annoncé sur son réseau social X qu’il se lançait à partir de mercredi jusqu’à lundi dans « une série de conférences dans toute la Pennsylvanie », un Etat clé pour l’élection présidentielle.

    Pour y assister, le milliardaire ne demande pas d’argent. « Il suffit d’avoir signé notre pétition en faveur de la liberté d’expression et du droit de porter des armes et d’avoir voté lors de cette élection », détaille-t-il.

    Donald Trump défend la décision d’annuler la garantie fédérale sur l’avortement

    Outre l’immigration, l’avortement – et le droit des femmes en général – fait partie des thèmes centraux de la campagne présidentielle. Interrogé par Fox News – dans un entretien diffusé mercredi avant celui de Kamala Harris – à propos des juges qu’il a choisis pour la Cour suprême des États-Unis, et qui ont annulé en 2022 l’arrêt Roe vs Wade garantissant le droit à l’avortement, Donald Trump a répondu que « c’est ce que tout le monde voulait ».

    Donald Trump à Doral, en Floride, le 16 octobre 2024.

    « Cette seek recordsdata from a déchiré notre pays », a déclaré le candidat républicain, affirmant que les Etats-Unis allaient maintenant « guérir ». « Personne ne voulait que ce soit le gouvernement fédéral qui s’en label », a-t-il ajouté, alors que, depuis la décision de la Cour suprême, plusieurs Etats ont durci drastiquement les stipulations de l’avortement sur leur territoire.

    Face à un public composé uniquement de femmes, Donald Trump s’est aussi présenté comme le « père de la fécondation in vitro », affirmant que les républicains avaient été « plus actifs » que leurs adversaires dans ce domaine. Mais sans développer cette idée.

    Qualifiant les propos de son adversaire de « tout à fait bizarres », Kamala Harris l’a appelé à « assumer la responsabilité du fait qu’une femme sur trois en Amérique vit dans un Etat où Trump a interdit l’avortement ».

    Merci Preserve alive Jimmy pour votre seek recordsdata from qui – selon notre grande perspicacité – fait référence au vote par correspondance ce mercredi de l’ancien président Jimmy Carter, âgé de 100 ans, dont nous avons parlé un peu plus tôt dans ce reside.

    Le vote de M. Carter devrait compter même s’il n’est plus en vie le jour de l’élection, le 5 novembre. Robert Sinners, porte-parole du bureau du secrétaire d’État, a fait savoir que les règles électorales de Géorgie stipulent que lorsqu’un bulletin de vote par correspondance est reçu par les autorités électorales locales, « il est considéré comme ayant été voté à ce moment-là et sur discipline ».

    Kamala Harris est donc assurée d’avoir au moins une voix en Géorgie puisque l’ancien président démocrate (de 1977 à 1981) a apporté son suffrage à la candidate démocrate, a dit sa fondation.

    L’interview se termine, après 30 minutes assez intenses

    En conclusion, Bret Baier regrette que la vice-présidente ait passé plus de temps à critiquer Donald Trump qu’à parler d’elle-même. Elle renvoie vers le verbalize Web de sa campagne.

    Harris confirme la menace de l’Iran

    Après la diffusion d’un extrait de l’émission « 60 minutes » dans lequel Kamala Harris estime que l’Iran est la plus grande menace pour les Etats-Unis, le journaliste Bret Baier lui demande pourquoi elle ne considère pas la Chine comme plus dangereuse.

    La candidate démocrate rappelle des épisodes récents – en avril et octobre – où elle a constaté lors de réunions d’urgence les attaques et les menaces que l’Iran fait peser sur les Etats-Unis et Israël notamment.

    Jusqu’ici, Kamala Harris se montre combative et très préparée.

    Bret Baier montre un extrait d’une intervention de Donald Trump qui dénonce la persécution judiciaire contre lui, « pire qu’Al Capone ». Mais Kamala Harris retourne la seek recordsdata from, en rappelant que dans la suite de l’intervention, Trump a menacé d’utiliser l’armée contre ses adversaires et a fustigé les « ennemis de l’intérieur ». Le journaliste est une fois de plus destabilisé.

    Interrogée ensuite sur la seek recordsdata from (que tout le monde se pose), pourquoi la moitié des Américains soutiennent encore Donald Trump, Kamala Harris : « C’est une élection pour devenir président, ce n’est pas supposé être facile. »

    « Il est clair pour moi et de nombreux républicains (…) que Donald Trump est inapte à présider, qu’il est instable et dangereux », repète Kamala Harris qui considère que « les gens sont épuisés » par les méthodes de son rival républicain.

    « Mon projet économique est soutenu par des Prix Nobel, Goldman-Sachs, Touchy’s » : Kamala Harris défend son projet économique

    « Ma présidence ne sera pas une continuation de la présidence de Joe Biden », déclare Kamala Harris.

    « Comme chaque nouveau dirigeant qui entre en fonction, j’apporterai mon vécu, mes expériences professionnelles et des idées nouvelles », assure-t-elle.

    « Je ne dis pas que nous avons un système d’immigration parfait », admet Kamala Harris

    La chaîne diffuse le témoignage d’une mère de famille dont la fille a été tuée par un migrant, déclarant que les mesures sur l’immigration prise par l’administration Biden au début de son mandat sont les causes du drame.

    « Je suis tellement désolée pour cette famille et ce qu’elle a dû traverser, c’est horrible », déclaré, émue, Kamala Harris. Mais « je ne dis pas que nous avons un système d’immigration parfait, il faut le réparer », ajoute la candidate démocrate.

    « Il nous faut plus d’agents pour traiter les dossiers, plus de ressources » et « le Congrès est le seul endroit où l’on peut arranger le système », précise-t-elle.

    Kamala Harris souligne que Donald Trump a bloqué une loi bipartisane sur l’immigration, craignant de perdre un argument de campagne.

    « Laissez-moi finir ! »

    L’entretien s’engage sur la seek recordsdata from de l’immigration, et le ton est immédiatement donné : tendu. Le journaliste Bret Baier ne cesse d’interrompre la candidate démocrate, qui donne ici sa première interview formelle sur la chaîne conservatrice. Et Kamala Harris est décidée à aller au bout de ses réponses : « Laissez-moi finir ! », a-t-elle déjà répété deux ou trois fois – avec un obvious succès, d’ailleurs.

    La diffusion de l’interview de Kamala Harris sur Fox News a débuté

    L’ancien élu républicain Adam Kinzinger label Donald Trump

    Dans sa quête de soutiens républicains dont nous vous avons déjà parlé aujourd’hui, Kamala Harris a pu compter sur l’ancien membre de la Chambre des représentants Adam Kinzinger.

    L’ancien membre de la Chambre des représentants, le républicain Adam Kinzinger, lors du rassemblement de campagne de Kamala Harris à Washington Crossing, en Pennsylvanie, le 16 octobre 2024.

    Parmi les personnes montées sur scène mercredi à Washington Crossing en Pennsylvanie, l’ancien élu de l’Illinois (de 2011 à 2023) a déclaré qu’il était temps de faire passer « le pays avant le parti ». M. Kinzinger a accusé Donald Trump d’avoir abandonné les valeurs républicaines et l’a qualifié d’« homme pleurnichard, faible, minuscule et apeuré ».

    Des personnes non politiques se sont également exprimées devant Kamala Harris. Bob et Kristina Lange, agriculteurs de Pennsylvanie, se sont décrits comme des républicains de toujours qui en ont assez. « Il est temps de tourner la page Trump, son chaos et la façon dont il nous divise », a déclaré Mme Lange.

    Lors du rassemblement de campagne de Kamala Harris à Washington Crossing, en Pennsylvanie, le 16 octobre 2024.

    Kamala Harris a ensuite pris la parole pour déclarer que la Structure « n’est pas une relique de notre passé », et qu’elle est censée garantir un transfert pacifique du pouvoir. Elle a ajouté que la Structure « détermine si nous sommes un pays où les gens peuvent s’exprimer librement, et même critiquer le président, sans craindre d’être jetés en penal complex. »

    Entourée de plus de cent anciens élus et responsables républicains, la candidate démocrate a également cité le général Model Milley, l’ancien haut responsable militaire de Donald Trump, qui a décrit l’ancien président comme étant « fasciste jusqu’au bout des ongles ».

    « Pour ceux qui nous regardent, si vous partagez ce level de vue, quel que soit votre parti, quel que soit celui pour lequel vous avez voté la dernière fois, il y a une discipline pour vous dans cette campagne », a lancé Kamala Harris qui a de nouveau estimé que son rival républicain était « instable » et « déséquilibré ».

    Kamala Harris à la recherche de voix des républicains déçus ou dégoûtés par Donald Trump

    Kamala Harris à Détroit, le 15 octobre 2024.

    La candidate démocrate est de retour en Pennsylannie, où elle était déjà lundi, un Etat du « Blue Wall » indispensable à sa victoire le 5 novembre. Après avoir ciblé ces derniers jours un électorat où son état-essential la considère défaillante – celui des Afro-Américains, en particulier des hommes –, elle se concentre désormais sur un autre, plus difficile à atteindre, mais qui peut rapporter plus gros : les électrices et électeurs républicains repoussés et effrayés par la rhétorique de Trump.

    « Kamala Harris intensifie ses efforts pour convaincre les républicains de traverser le couloir », écrit Bloomberg, optant pour une expression – « immoral the aisle » – habituellement utilisée pour décrire le bipartisme et la essential tendue à l’adversaire politique. Elle sera en assembly dans le comté de Bucks County, entourée par plus d’une centaine d’ex- élus républicains, selon son équipe de campagne, et par des ex-conseillers de Donald Trump ayant pris leurs distances, et donc libres de dire ce qu’ils pensent.

    Liz Cheney, ex-élue du Wyoming à la Chambre, et son père, l’ancien vice-président Dick Cheney, ont été jusqu’ici les soutiens républicains les plus visibles pour Kamala Harris. Comme le notait notre correspondant Piotr Smolar, ce ralliement début octobre « ne modifiera pas l’équilibre des forces en présence ». La récente stratégie démocrate le fera-t-elle ? En plus de ce assembly, Kamala Harris sera ce soir sur Fox News, la chaîne d’informations la plus regardée dans les swing states, pour, là aussi, essayer de convaincre ce bloc électoral.

    • Le carnet de campagne de la présidentielle américaine, mercredi 16 octobre au matin

    Le contexte

    Are dwelling animé par Luc Vinogradoff, Louise Vallée, Pierre Bouvier, Romain Del Bello et Allison Ferrera

    Checklist de couverture : Kamala Harris en interview sur la chaîne conservatrice Fox News, le 16 octobre 2024. CAPTURE D’ECRAN FOX NEWS

    Le Monde consacre un insist à la campagne présidentielle aux Etats-Unis, où les sondages prévoient un scrutin très serré entre les deux candidats, Donald Trump et Kamala Harris.

    • Les dernières informations. Vous y trouverez toute l’actualité liée à l’élection du 5 novembre : déclarations politiques, meetings de campagne ou encore décryptage de polémiques ;
    • Un espace d’échange. Nous sommes aussi ici pour répondre (dans la mesure du possible) à vos questions sur le fonctionnement du scrutin, sur ses enjeux, and many others. N’hésitez pas à envoyer des messages, et même à nous faire half d’informations que vous jugez utiles ;
    • Vu des Etats-Unis. Vous retrouverez aussi les reportages, les analyses et les décryptages de nos correspondants sur discipline ;
    • Comprendre les conséquences de cette élection, aux Etats-Unis et dans le monde, grâce à des interviews et des tchats avec des consultants sur des thématiques géopolitiques, économiques et climatiques.

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    • Le carnet de campagne de la présidentielle américaine, mercredi 16 octobre au matin

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