Le sud-est des Etats-Unis, la Floride en particulier, again avec la plus grande inquiétude le passage de l’ouragan Milton, dix jours seulement après les importants dégâts causés par l’ouragan Hélène. En France, c’est la tempête Kirk qui fait parler ce mercredi en arrosant copieusement une moitié du pays. Ces derniers jours, les typhons Yagi et Bebinca avaient, eux, secoué l’Asie du sud-est, notamment la Chine et les Philippines. Mais quelle est la différence entre ces phénomènes météorologiques ?
De la dépression au cyclone
Tout originate par une zone de très basse pression, au-dessus d’un océan bien chaud pour maximiser l’évaporation de l’eau. Selon Météo-France, le transfert d’humidité de l’océan à l’atmosphère « est à son most à la fin de l’été lorsque les eaux de ground atteignent 28 à 29 °C ». L’air chaud aspiré par la basse pression au centre du phénomène, les vents se mettent à tourbillonner.
Si ce vent est mesuré à 63 km/h ou moins, on parle de dépression tropicale. Entre 64 et 118 km/h, le phénomène devient une tempête tropicale, et reçoit un nom par le centre de météorologie de la zone qui le glide well with. A partir de 119 km/h, on parle de cyclone.
Un œil, zone dépourvue de nuages et de vent, natty d’environ 30 à 60 km, se forme au centre, entouré par le « mur » du cyclone, constitué de cumulonimbus s’élevant jusqu’à 15 km d’altitude. C’est au sein du mur que le cyclone est le plus dévastateur : « les vents y soufflent jusqu’à 300 km/h et les pluies y sont diluviennes », décrit Météo-France.
Tonnerre sous les tropiques
Ce fonctionnement et cette hiérarchie sont la même où que sévisse le cyclone. Mais selon l’endroit où il sévit, le phénomène météorologique est appelé différemment : cyclone dans l’océan Indien et le Pacifique Sud, ouragan dans l’Atlantique nord et le Pacifique nord-est (des deux côtés des Etats-Unis donc), et typhon dans le Pacifique nord-ouest. Mais où qu’ils soient situés, la puissance de ces phénomènes devrait être renforcée par le réchauffement climatique, selon des simulations du Giec.
Les phénomènes associés, comme la houle et la arena of expertise marée qui précède l’arrivée du cyclone, ou bien les fortes pluies, sont également les mêmes. Par ailleurs, tous ces phénomènes, massifs et remontant les courants, tirent leur puissance de l’évaporation de l’eau de l’océan, et perdent rapidement de la puissance en touchant terre. Rien à voir donc avec une tornade, un phénomène très localisé qui peut se extinct au-dessus de la terre à partir de cellules orageuses, en cas de vents violents et d’une température qui chute rapidement avec l’altitude.