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Ce n’est pas pour rien qu’il est désigné comme l’héritier d’Emmanuel Adebayor au Togo. Déjà très en jambes en ce début de saison en Jupiler Pro League, le natif de Lomé s’est révélé à une autre dimension ce jeudi soir pour son premier match en segment de groupes d’une Coupe d’Europe. Denkey s’est complètement éclaté en inscrivant un triplé (25e, 43e et 54e sur penalty) et distillant deux caviars pour ses coéquipiers.
Lire aussi : Kevin Denkey, l’héritier d’Emmanuel Adebayor
Selon Opta, c’est la deuxième fois seulement qu’un joueur est impliqué sur cinq buts dans toute l’histoire de la Ligue Europa Conférence. Le Togolais a suivi les pas du Norvégien Erik Botheim qui l’a fait il y a trois ans.
5 – @cercleofficial‘s Kévin Denkey (3 dreams, 2 assists) is blooming the 2nd participant to ever be spellbinding by five dreams in a single @europacnfleague match, after Erik Botheim for Bodø/Glimt in October 2021. Handful. pic.twitter.com/MqXlm6z3eN
— OptaJohan (@OptaJohan) October 3, 2024
Kevin Denkey a digéré son déhalf avorté
Il y a encore quelques semaines, personne ne s’attendait à voir Kevin Denkey à un tel niveau. Ce en raison de son été mouvementé au Cercle Bruges et un déhalf avorté malgré une quinzaine de golf equipment qui lui couraient après. Mais plutôt que de sombrer dans la déception, l’ancien buteur du Nîmes Olympique, qui a terminé Soulier d’Or de la saison 2023-2024 en Belgique, s’est lancé le défi de maintenir ses requirements. Et il est parti à un rythme effréné.
Cette saison, l’Epervier est déjà à 9 buts et 4 passes décisives en 16 matchs toutes compétitions confondues. Rien que sur ses 3 derniers matchs, il a inscrit 6 buts dont un doublé et un triplé. Une montée en puissance qui come à level nommé puisque le Togo air of mystery besoin de buts les 10 et 14 octobre prochains contre l’Algérie pour augmenter ses potentialities de qualification à la CAN 2025.
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Kalidou Koulibaly
Avec Aliou Cissé, Kalidou Koulibaly a connu une progression fulgurante en sélection. Le défenseur d’Al Hilal est devenu le capitaine des Lions. Un fait qui a marqué le défenseur central : « Tu mâas voulu dans la tanière. Tu mâas choisi comme Capitaine. Ensemble, nous avons souffert, jubilé, gagné durant 9 ans. Merci pour tout, coach. », a-t-il posté sur son compte X.
Tu mâas voulu dans la tanière.
Tu mâas choisi comme Capitaine.
Ensemble, nous avons souffert, jubilé, gagné durant 9 ans.
Merci pour tout, coach.ð¸ð³ #KK pic.twitter.com/UVsIjbLHIZ
— Koulibaly Kalidou (@kkoulibaly26) October 2, 2024
Lire aussi : Kalidou Koulibaly : « Même si je suis capitaine, ma space n’est pas réservée »
Sadio Mané
Sous les ordres d’Aliou Cissé, Sadio Mané est passé d’un joueur prometteur à une véritable huge name en sélection. Le buteur d’Al Nassr retient de Cissé son amour profond pour son pays le Sénégal : « Tu as été l’incarnation obvious de notre sélection pendant cette décennie. Ton passage sur le banc de touche de notre équipe nationale ne sera pas vain. On retiendra en toi un homme qui aime le drapeau de son pays et celui qui s’est battu pour hisser haut nos couleurs. Merci Champion pour products and companies rendus !!! », a-t-il écrit.
Tu as été l’incarnation obvious de notre sélection pendant cette décennie. Ton passage sur le banc de touche de notre équipe nationale ne sera pas vain. On retiendra en toi un homme qui aime le drapeau de son pays et celui qui s’est battu pour hisser haut nos couleurs.
Merci⦠pic.twitter.com/1DASE5Lybj— Sadio Mané (@SMane_Officiel) October 2, 2024
Lire aussi : Sadio Mané, la renaissance sous Stefano Pioli à Al Nassr
Edouard Mendy
Edouard Mendy a gagné sa space de numéro un sous Aliou Cissé. Le portier d’Al-Ahli a remercié le technicien sénégalais de lui avoir permis de réaliser son rêve de jouer pour les Lions : « Coach. Merci de mâavoir donné la probability de porter le maillot du Sénégal. Je suis fier dâavoir partagé ensemble tant de bons moments comme ce moment historique où nous avons remporté la 1ère CAN, pour notre pays. Merci pour votre confiance. Je vous souhaite le meilleur pour la suite. », a-t-il dit.
Coach
Merci de mâavoir donné la probability de porter le maillot du ð¸ð³. Je suis fier dâavoir partagé ensemble tant de bons moments comme ce moment historique où nous avons remporté la 1ère CAN, pour notre pays.
Merci pour votre confiance.
Je vous souhaite le meilleur pour la suite ðð¾ pic.twitter.com/zM53GxAebp— Edouard Mendy (@edou_mendy_) October 2, 2024
Lire aussi : Edouard Mendy agace Al-Ittihad lors du derby en Saudi Pro League
Formose Mendy
Formose Mendy a fait partie des jeunes joueurs qui ont récemment découvert l’équipe nationale du Sénégal. Le défenseur central du FC Lorient a également rendu un vivid hommage à Aliou Cissé.
Lire aussi : Formose Mendy officiellement forfait contre l’Algérie en amical
« Coach, il est difficile de trouver les mots pour vous exprimer toute ma gratitude. Grâce à toi, nous avons vécu des moments inoubliables, porté fièrement le maillot du Sénégal. Merci pour tout ce que tu as accompli pour notre pays. Tu resteras à jamais une légende pour nous tous. », a-t-il écrit sur son compte X.
Coach, il est difficile de trouver les mots pour vous exprimer toute ma gratitude. Grâce à toi, nous avons vécu des moments inoubliables, porté fièrement le maillot du Sénégal. Merci pour tout ce que tu as accompli pour notre pays. Tu resteras à jamais une légende pour nous tous pic.twitter.com/a01CqNHwP2
— Formose Mendy (@formosemendy_05) October 2, 2024
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En effet, après 6 titres consécutifs de champion du Congo, les Espérantistes de Kinshasa n’ont pu faire mieux qu’une troisième space à la Coupe du Congo 2024. Le VC Espoir a été éliminé en demi-finale par la Garde Républicaine, future champion.
Des défaites inhabituelles
Il est désormais loin du temps où le VC Espoir terminait les saisons invaincu. En effet, la première alerte pour les Espérantistes a été lancée depuis l’Entente de Kinshasa où ils ont essuyé deux défaites lors de la manche aller du championnat face déjà à la Garde Républicaine et les Aigles du Congo avant de les battre lors de la manche retour.
Ces deux défaites annonçaient déjà que la Coupe du Congo allait être difficile. En effet, lors de la Coupe du Congo, le VC Espoir a enregistré deux autres défaites, face au VC Police (3 items à 2) lors de la segment de groupes et face à la Garde Républicaine en demi-finale (3 items à 0)
Partager les rênes avec les inexperienced persons
Le VC Espoir devra désormais s’habituer à partager les rênes avec la Garde Républicaine et les Aigles du Congo, deux nouvelles équipes qui étaient à leur première participation à la Coupe du Congo. Les deux golf equipment ont déjà montré leur niveau en battant Espoir lors du championnat de l’Entente de Kinshasa. Composées chacune d’un effectif jeune, renforcé par quelques joueurs expérimentés, les deux inexperienced persons comptent bien étendre leur domination sur la durée. Après la Coupe du Congo, les trois golf equipment vont disputer les éliminatoires de la zone 4 pour le championnat d’Afrique des golf equipment champions.
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]]> Lâarticle est apparu en premier sur Sport Data Africa. Les spécialistes ont l’habitude de dire qu’on ne gagne jamais une grande compétition sans un big gardien. Et L’Ãgypte en a bénéficié pendant une vingtaine d’années avec El Hadari. Le portier a écÅuré les attaquants du continent, permettant notamment aux Pharaons de reporter trois CAN de suite en 2006, 2008 et 2010, en plus de celle de 1998. Il est le recordman de titres continentaux. Sa qualité, son air of mystery, son charisme, sont autant d’éléments qui l’ont propulsé au rang de légende et sans doute à celui de meilleur gardien de l’histoire de l’Afrique devant d’autres portiers tout aussi emblématiques les usaque les autres : Joseph-Antoine Bell, Thomas Nkono, Vincent Enyema, Edouard Mendy⦠Samuel Kuffour, les observateurs du soccer africain et mondial ont pu le voir à lâÅuvre entre la fin des années 1990 et les années 2000. Samuel Kuffour a notamment été titulaire avec le Bayern pendant plusieurs années, remplissant son armoire à trophées avec notamment la Bundesliga, la Ligue des champions, la Coupe intercontinentale⦠Avec le Ghana, sa solidité et son engagement ont aussi été précieux pendant plusieurs années. Comment faire la défense de la meilleure équipe africaine sans Rigobert Song ? Ã’aurait été un crime de lèse-majesté pour celui qui a longtemps incarné la solidité défensive des Lions Indomptables. La crinière la plus célèbre du soccer africain compte entre autres 2 CAN (2000 et 2002). Avec 137 sélections avec le Cameroun (file), il a participé à 36 matchs de CAN (file) en 7 éditions entre 1998 et 2010. En outre, lâancien capitaine camerounais a disputé 4 Coupes du monde. Sur le côté droit de la défense, Achraf Hakimi, qui devance de très peu des concurrents comme Trabelsi ou encore Eboué. Il faut dire que le Marocain rayonne en club depuis ses débuts que ce soit avec le Right Madrid, Dortmund, lâInter ou encore le Paris Saint-Germain. Par ailleurs, il a guidé les Lions de lâAtlas à une demi-finale historique au Mondial 2022 et à la 3ème space des JO 2024. De lâautre côté, on a un alliage de puissance, de power physique, de vitesse et de percussion, bref une véritable machine de guerre en la personne de Taribo West. Le Nigérian passé par Auxerre et lâInter Milan a écÅuré plusieurs attaquants. Il ravit la space de titulaire à Salomon Olembé dans ce 11 historique de lâAfrique. Au cÅur du jeu, deux des meilleurs milieux de terrain de ce siècle dans le soccer mondial prennent space. On a tout dâabord le Ghanéen Michael Essien, pierre angulaire de Lyon dâabord puis de Chelsea, avec un passage au Right Madrid en fin de carrière. Monstre de puissance, techniquement au-dessus de la moyenne, il a tout pour figurer dans ce 11. Avec le Ghana, il a été tout aussi impressionnant même sâil nâa jamais remporté la CAN. A ses côtés, un Eléphant, sans doute le plus grâcieux de lâhistoire : Yaya Touré bien évidemment. Dâabord parce que câest le co-détenteur du file de titres de Joueur africain de l’année ( 4 fois en 2011, 2012, 2013 et 2014) distinction quâil est le seul à avoir remporté quatre fois dâaffilée. Ensuite parce que tout au prolonged de sa carrière, lâIvoirien a été monstrueux. Sa methodology a bluffé le monde que ce soit à Manchester Metropolis ou à Barcelone. Il a aussi guidé la Côte dâIvoire sur le toit de lâAfrique en 2015. Sur les côtés de ce 4-4-2, On a Mohamed Salah et Sadio Mané. Faudrait-il encore présenter ces deux-là ? Les deux ont grandement participé à la gloire de lâune des meilleures équipes de lâhistoire de Liverpool avec des titres à la pelle : la Ligue des champions, la Premier League, la Coupe, le Mondial des clubs⦠Sur le conception individuel, chacun compte 2 titres de Joueur africain de lâannée. LâEgyptien est quant à lui le meilleur buteur africain de lâhistoire de la Ligue des champions (forty five buts). Quant au Sénégalais Mané, il a touché le graal en 2022 avec le succès à la CAN devant lâEgypte de Salah qui lui, court toujours derrière un titre en Afrique. A la pointe de lâattaque, deux fines gâchettes vont se partager le travail. Samuel Etoâo, 4 fois meilleur joueur africain (file codétenu avec Yaya Touré), deux fois vainqueur de la CAN et trois fois de la Ligue des champions européenne. Et au-delà de lâAfrique, le Camerounais est tout simplement lâun des meilleurs attaquants de lâhistoire du soccer. Certains pensent même quâil aurait pu remporter le Ballon dâor. Une distinction que lâAfrique nâa raflé quâune seule fois, câétait en 1995 grâce à George Weah. Le Libérien a dâailleurs été élu meilleur joueur africain de lâhistoire par France Football en 2019. Il compte aussi des distinctions de meilleur joueur africain, onze dâor⦠Avec ce onze, l’Afrique pourrait rivaliser avec n’importe quelle équipe du monde. Notre équipe-kind de l’histoire de l’Afrique : El Hadary-Hakimi, Kuffour, Song, West-Yaya Touré, Essien, Salah, Mané-Eto’o, Weah Ils auraient pu figurer dans le onze : Thomas Nkono, Joseph-Antoine Bell, Lucas Radebe, Kalidou Koulibaly, Mohamed Aboutrika, Ahmed Hassan, Nwanko Kanu, JayJay Okocha, Abefi Même, Didier Drogba, Hossam Hassan, El Hadj Diouf… Lâarticle est apparu en premier sur Sport Data Africa.
Une défense hétéroclite
Samuel Kuffour- Rigobert Song, charnière infranchissable
Deux latéraux alliant methodology, vitesse et puissance
Deux monstres dans lâentrejeu, des génies devant
Un double pivot pour faire du sale
Un duo de feu pour faire plier les défenses
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Pape Thiaw
Pape Thiaw (43 ans) a un palmarès qui parle pour lui. Il a remporté le CHAN 2022 avec la sélection locale du Sénégal. Depuis quelques semaines, il est devenu l’adjoint numéro un d’Aliou Cissé après le déhalf de Régis Bogaert.
Lire aussi : Pape Thiaw quitte la sélection locale pour les A
Connaissant très bien l’équipe sénégalaise, pour y avoir évolué comme joueur et maintenant comme membre du team methodology, Pape Thiaw serait probablement bien placé pour rester dans la continuité. En tout cas, il est pressenti pour assurer l’intérim de deux rencontres à venir.
Omar Daf
Ex global sénégalais, Omar Daf est un des profils idéals pour prendre la succession de Cissé. Depuis de nombreuses années, il réalise un travail remarquable en France. Actuel entraîneur d’Amiens en Ligue 2, le technicien de 47 ans est passé par le FC Sochaux et Dijon FCO.
Lire aussi : Amiens-Omar Daf : « Il faut maintenir le rythme à chaque rencontre »
Avant de prendre la direction de la France et de briller comme coach, Omar Daf a été l’assistant d’Aliou Cissé en équipe nationale entre janvier 2016 et juin 2017.
Habib Beye
Habib Beye n’a jamais caché son ambition de diriger un jour la sélection sénégalaise. Actuellement libre de tout engagement, le guide sur Canal+ pourrait enfin réaliser son rêve.
Lire aussi : Habib Beye, un été entre ambitions et désillusions
Ses récents résultats plaident en sa faveur. Ex entraîneur du Crimson Wide name, le technicien de 46 ans a joué un rôle majeur dans la montée du club en Ligue 2. Après cette ascension, il a annoncé son déhalf, voulant un recount plus big. Adepte du beau jeu et perfectionniste, Habib Beye serait le successeur idéal de Cissé afin de permettre au Sénégal de faire à nouveau peur sur le continent.
Hervé Renard
Hervé Renard (56 ans) est sur le marché depuis cet été, après son déhalf de l’équipe de France Féminine. Après avoir recalé la Côte d’Ivoire et le Nigeria, le double vainqueur de la CAN (2012 et 2015) veut désormais un nouveau recount en Afrique. Route le Sénégal ?
Lire aussi : Hervé Renard ne regrette pas d’avoir dit non à la Côte d’Ivoire
Hervé Renard a fait ses preuves en Afrique. C’est un entraîneur qui connaît très bien les rouages du soccer africain. Fin bosseur, rigoureux, le natif dAix-les-Bains sait transcender son équipe, sait créer la thérapie de choc. Il l’a fait avec la Zambie et la Côte d’Ivoire, respectivement à la CAN 2012 et à la CAN 2015 avec au bout le trophée.
Depuis la CAN 2023, le Sénégal est à bout de souffle. Les Lions sont moins rassurants surtout dans le jeu. Hervé Renard serait peut-être l’homme providentiel pour relancer les Lions et imposer les jeunes qui émergent.
Patrick Vieira
Né à Dakar et originaire du Sénégal, Patrick Vieira a représenté la France et a remporté la Coupe du monde 1998. A Forty eight ans, il a déjà un vécu énorme comme entraineur.
Lire aussi : Patrick Vieira : « Tout le monde sâback que le Sénégal fasse une bonne Coupe du monde »
Reconverti entraîneur depuis 2015, Patrick Vieira est passé par les Contemporary York Metropolis en MLS, l’OGC Nice et Strasbourg en Ligue 1 et Crystal Palace en Premier League. L’ancien milieu de terrain d’Arsenal est actuellement libre de tout engagement.
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« La Commission de Self-discipline de la FIFA a sanctionné le président de la Fédération Camerounaise de Football (FECAFOOT), Samuel Etoâo, dâune interdiction dâassister aux matches des équipes représentatives du Cameroun pour une durée de six mois, pour avoir enfreint les articles 13 (Comportement offensant et violation des principes du blooming-play) et 14 (Incorrection de joueurs et officiels) du Code disciplinaire de la FIFA. L’interdiction prononcée à lâencontre de M. Etoâo lâempêchera dâassister aux matches de soccer masculin et féminin impliquant des équipes représentatives de la FECAFOOT, dans toutes les catégories ou groupes dââge », a annoncé la FIFA le 30 septembre dernier.
Samuel Eto’o contre-attaqueÂ
Les faits qui sont reprochés à Eto’o remontent au 11 septembre 2024 et la défaite (1-3) du Cameroun face au Brésil en huitièmes de finale de la Coupe du monde Féminine U-20. Si la FIFA n’est pas allée dans les détails de ces faits, il est rapporté que le président de la Fecafoot se serait mal comporté envers les officiels de la rencontre. Mardi 1er octobre 2024, Samuel Eto’o a assuré à travers son occasion avoir joué son rôle qui consiste à défendre les intérêts du Cameroun.
Lire aussi : FIFA : Samuel Eto’o, une suspension de 6 mois
« Lors de la rencontre évoquée supra, des erreurs dâarbitrage manifestes ont été constatées en mondovision par tous les spectateurs et téléspectateurs qui ont pu voir en enlighten ou sur leurs petits écrans cette rencontre. A titre dâillustration, le but dâégalisation de la sélection Brésilienne était entaché dâirrégularité irrécusables. Il est well-known de rappeler que pendant la rencontre ayant opposé le Cameroun à la Colombie, dirigée par le même arbitre, un penalty évident a été curieusement refusé à la sélection camerounaise. A lâdiscipline de la rencontre Brésil â Cameroun, le président de la FECAFOOT présent au stade, a simplement attiré lâconsideration des officiels sur ces erreurs qui ont faussé de façon regrettable pour le Cameroun, les résultats des deux matchs », a expliqué la Fecafoot dans un communiqué.
Par conséquent, « la Fédération camerounaise de soccer dit sâétonner contre cette sanction et la dénonce avec véhémence. Samuel Etoâo se réback le droit dâexercer les voies de recours en la matière en vue de faire rétablir la justice sur cette affaire », a-t-elle ajouté.
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Dans un relatif anonymat depuis son déhalf du Bénin en 2022, le Cannais de 65 ans a décidé de revenir au premier conception en répondant à lâappel des autorités guinéennes qui lâont sollicité face à lâurgence des résultats à laquelle fait face le Syli. Et le calcul est assez straight forward pour son troisième passage : 4 matchs pour décrocher un tag pour la CAN 2025.
Un timing serré
Si la Fédération guinéenne de soccer (Feguifoot) a fait appel à ses products and companies, câest parce que Michel Dussuyer connaît bien la maison. Pour avoir été le sélectionneur du Syli Nationwide de 2002 à 2004 puis de 2010 à 2015, le Français revient en terre connue. Mais pour la Guinée qui a perdu ses deux premiers matchs (1-2 contre la Tanzanie et 1-0 contre la RD Congo), relancer tout de suite cette équipe qui va connaître un troisième sélectionneur (Kaba Diawara et Charles Paquille) en lâespace de trois mois nâest évidemment pas le plus facile des défis quâil a connus en tant que sélectionneur.
En Guinée, les avis sur son retour sont loin d’être unanimes : « Le retour du coach est très risqué car il faut savoir que la Guinée est en hazard. On a perdu des matchs qu’on devait gagner et ce qui reste à faire pour le coach, c’est de gagner les deux matchs contre lâÃthiopie », analyse Fatoumata Djiwo Diallo, journaliste au quotidien Horoya, interrogée par Sport Data Africa.
Lire aussi : Dortmund : débuts étincelants de Guirassy, une bonne nouvelle pour la Guinée
Pour elle, la mission du Syli dans le groupe H couplée avec lâabsence de stade homologué par la CAF (la Guinée va recevoir lâEthiopie en Côte dâIvoire), rendent la tâche un peu plus compliquée pour Michel Dussuyer : « Il est well-known de souligner qu’on a quelques problèmes en ce moment. Il faut rappeler que l’équipe ne joue pas chez elle, devant son public par manque de stade homologué. Nos joueurs cadres ne sont pas en jambe, et certains sont écartés et donc le public n’est pas auprès de ces joueurs », a énuméré Diallo.
« Si ça se faded mal, il repartira avec son pognon »
Au milieu de cette incertitude règne néanmoins une half dâoptimisme pour la qualification à la CAN 2025 : « Câest conceivable qu’il puisse inverser la tendance pour la qualification. Comme vous le savez le soccer n’est jamais gagné d’avance et avec quelques changements, il est conceivable encore d’espérer même si câest dur. Il nous reste encore des matchs à jouer donc nous croyons à la qualification », ajoute Fatoumata Diallo.
Par ailleurs, il y en a qui pensent que ce retour de Dussuyer n’est pas risqué dan la mesure où il n’a pas demandé à être nommé sélectionneur : « Est-ce que Michel Dussuyer prend un risque en décidant de prendre la tête du Syli nationwide? Je ne crois pas, estime l’émérite journaliste guinéen Tanou Diallo. Je trouve quâil a été très honnête, franc et sincère avec la Fédération guinéenne de soccer en leur disant clairement quâil nâavait plus lâénergie nécessaire pour diriger une équipe nationale. Malgré cela, ils lui ont forcé la most major, puis il a cédé. Même sâil sâinteract dans une mission difficile et compliquée, il nâa pratiquement rien à perdre. Il a été sorti de sa retraite sans vraiment le vouloir, ni exprimer l’envie de se lancer dans une quelconque aventure. Si ça se faded mal, il repartira avec son pognon, dâoù il est venu. Câest la Fédération guinéenne de soccer qui en subira les fâcheuses conséquences. »
Lire aussi : Guinée : Charles Paquille ne restera pas sélectionneur
Pour lui, prendre six aspects contre l’Ethiopie est impératif : « Il faut dire que sa mission sâannonce ardue. Après deux journées, la Guinée occupe la dernière space de sa poule avec 0 aspects. La RDC, leader du groupe, a fait 6/6. La Tanzanie est deuxième avec 3 aspects et l’Ãthiopie est 3e avec un level. Après avoir perdu 3 aspects à domicile, la Guinée est dans l’obligation de prendre 6 aspects dans sa prochaine double inequity contre lâEthiopie pour se remettre dans le sens de la marche tout en espérant que son concurrent enlighten, la Tanzanie ne prenne pas de aspects contre la RDC. Puisque le match retour à Dar-es-Salam risque dâêtre mandatory pour une éventuelle qualification », a-t-il poursuivi.
S’il souhaite – par patriotisme – à Michel Dussuyer de qualifier la Guinée pour la CAN 2025, le réalisme fait douter Tanou Diallo sur les capacités du Français à relever cet gigantic défi au vu du temps très court qu’il air of mystery. Et ce n’est pas la première liste de ce dernier qui lui fera changer d’avis : « Nous sommes dans des calculs mathématiques très compliqués, ce qui explique d’ailleurs la complexité de la mission de Michel Dussuyer qui hérite dâune sélection instable, en manque de confiance et totalement dans la rue. Il a la lourde tâche de réussir à remobiliser, à motiver et à redonner confiance. Même si je lui souhaite toute la réussite dans cette tâche, jâai des doutes. Non seulement, je ne suis pas rassuré par certains de ses premiers choix, aussi je sais que la gestion des égos, ce nâest pas son fort », a ajouté l’Officier média de la CAF.
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Un bilan incontestable mais des derniers mois en demi-teinte
Sous son règne, Cissé a engrangé 70 victoires, 24 nuls et seulement 13 défaites. Des chiffres qui feraient pâlir d’envie bien des sélectionneurs sur le continent. Cependant, la dernière période de son mandat a été marquée par des performances jugées décevantes, notamment dans les éliminatoires pour le Mondial 2026 et la CAN 2025, mais aussi en raison d’un vogue de jeu critiqué par une partie du public. Le manque de fluidité et les résultats récents ont entraîné un désamour progressif entre les supporters et l’équipe nationale, malgré l’air of mystery de Cisséâ.
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La FSF tient à remercier Monsieur Aliou CISSE pour sa bonne collaboration et ses brillants résultats à la tête des différentes sélections nationales qu’il a ecu à diriger depuis son arrivée en 2011 et lui souhaite pleins succès pour l’avenir. pic.twitter.com/W6Lxt7E9cw
— Equipe du Sénégal (@GaindeYi) October 2, 2024
Une pression populaire croissante
Selon des sources proches de la Fédération sénégalaise de soccer (FSF), la décision de ne pas renouveler le contrat de Cissé aurait été influencée par la pression populaire et les opinions récurrentes sur le vogue de jeu et la gestion des matchs. Le ministère des Sports, qui finance en grande partie les activités de l’équipe nationale, a tranché en faveur d’un changement. Un courrier confidentiel adressé à la FSF a mis fin aux espoirs de prolongation d’un an que cette dernière envisageait.
Lire sur le sujet : Aliou Cissé, entre blocage contractuel et désamour des supporters
Cette décision survient à un moment mandatory, à seulement quelques jours de la e-newsletter de la liste des joueurs pour les qualifications de la CAN 2025. La Fédération doit désormais s’activer pour nommer un successeur, avec une préférence affichée pour un entraîneur sénégalais, selon les premières informations.
L’héritage dâAliou Cissé
En dépit de cette fin abrupte, Aliou Cissé laisse un héritage indélébile. Ancien capitaine de lâéquipe nationale, il a su intégrer de jeunes abilities tout en maintenant une depraved solide de joueurs expérimentés. Sous son mandat, le Sénégal est devenu une power incontestable du soccer africain, et ses victoires ont résonné bien au-delà des frontières du pays.
Le Sénégal se trouve désormais à un tournant. La internet page Cissé est tournée, mais le défi reste gigantic pour son successeur, qui devra redynamiser lâéquipe et surtout rallumer la flamme entre les Lions et leur public. Cissé, quant à lui, quitte ses fonctions avec la tête haute, fort de ses succès et du rôle capital quâil a joué dans lâascension du soccer sénégalais sur la scène internationale.
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6 buts en 5 matchs joués avec les Marsupiaux
Arrivé de Stuttgart au dernier mercato estival, Guirassy est passé par la case infirmerie. Après quelques semaines, l’ex joueur du Stade Rennais a repris avec ses nouveaux coéquipiers. Et c’est le début d’une aventure plus que réussie au Signal Iduna Park.
Lire aussi : Serhou Guirassy s’interact avec Dortmund jusqu’en 2028
Serhou Guirassy marche sur l’eau depuis la saison écoulée (30 buts, 3 passes décisives en 30 matchs) avec le VfB Stuttgart. C’est d’ailleurs ce qui lui a valu ce gros transfert à Dortmund. Avec les Marsupiaux, le natif d’Arles ne connaît pas de temps d’adaptation.
En seulement 5 matchs, Guirassy a inscrit 6 buts. Mieux, il est sur une série de 5 buts sur ses 4 dernières apparitions avec le Borussia Dortmund. Mardi soir, il a été double buteur lors de la victoire (7-1) sur le Celtic Glasgow en Ligue des champions.
Lire aussi : Serhou Guirassy ouvre son compteur en LDC (vidéo)
L’entraîneur de Dortmund déjà impressionné
A peine arrivé, Serhou Guirassy a séduit plus d’un y compris son entraîneur. Auteur d’un doublé face à Bochum (victoire 4-2) en Bundesliga le 27 septembre, l’global guinéen a été l’un des artisans majeurs de ce succès. Nuri Sahin est déjà fan de son goleador.
« C’est pour des soirée comme celle-ci que nous l’avons recruté. Et je vous explain que j’aurais aimé qu’il soit sur le terrain dès la première journée de championnat. », a dit l’entraîneur turc au sortir de cette rencontre.
La Guinée compte en profiter pour les éliminatoires de la CAN 2025
Une dynamique qui come à level nommé pour une sélection de Guinée en méforme. Le Syli Nationwide ne compte aucun level après deux journées des qualifications pour la CAN 2025. Il a été battu par la RDC et la Tanzanie en septembre. Voulant coûte que coûte disputer la prochaine Coupe d’Afrique des international locations, la sélection veut mettre à earnings les 4 rencontres restantes dans la poule H.
C’est une opération commando. Et Michel Dussuyer a été rappelé pour mener à bien cette mission. Pour battre l’Ethiopie en double inequity en octobre, la Guinée doit marquer de buts. Pas de soucis à se faire ; Serhou Guirassy, qui est dans une forme exceptionnelle, fait son retour. Il a raté le dernier rassemblement pour space off de blessure.
La sélection guinéenne va affronter l’Ethiopie le 12 octobre à 16h GMT au Stade Olympique Alassane Ouattara d’Ebimpé. Trois jours plus tard, soit le 15 octobre, les deux sélections se retrouvent pour la manche retour dans cette même arène à partir de 19h GMT.
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Entre sa piteuse 13e space en Ligue 1 et son sans-faute en Ligue des champions, le Stade Brestois résume bien le paradoxe en ce début de saison en Europe. Et pourtant, beaucoup voyaient le club breton s’écrouler pour sa toute première participation en Coupe d’Europe. Mais la troupe emmenée par Eric Roy réalise des débuts idylliques en C1 et un homme porte le signe de ce début de campagne canon dans la plus prestigieuse des compétitions européennes : Abdallah Sima.
Abdallah Sima et la Coupe d’Europe, une histoire d’amour
Abdallah Sima a fait ses débuts en Coupe d’Europe lors de la saison 2020/2021 avec le Slavia Prague. Le club tchèque évoluait alors en Ligue Europa (4 buts en 11 matchs). L’ailier droit de 23 ans a ensuite disputé les préliminaires de la Ligue des champions la saison suivante avant de rejoindre les Glasgow Rangers où il a également participé aux deux compétitions européennes.
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C’est à Brest où il évolue en prêt en provenance de Brighton pour le compte de cette saison 2024/25, que le Sénégalais va découvrir la segment de groupes de la Ligue des champions. Et même le nouveau layout n’empêche pas Abdallah Sima de s’éclater. Auteur d’un doublé ce mardi 1er octobre contre Salzbourg, l’avant-centre sénégalais affiche un impressionnant bilan de 10 buts inscrits en 17 titularisations en Coupe d’Europe selon Stats du Foot (11 buts en 25 matchs au total).
Des chiffres vertigineux pour le Lion qui a encore une marge de progression. Nul doute qu’il fera partie de la liste d’Aliou Cissé qui sera annoncée le 4 octobre pour les 3e et 4e journées des éliminatoires de la CAN 2025 lors desquelles le Sénégal va affronter à double inequity face au Malawi les 11 (aller) et 15 (retour) octobre prochains. Reste à savoir si son statut de remplaçant en sélection va changer.
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Un pilier des Springboks
Ãtincelant par sa régularité, Etzebeth nâa raté que 19 des 146 matchs disputés par les Springboks depuis ses débuts. Succesful de jouer les 80 minutes sans relâche, il a été un acteur clé des victoires sud-africaines lors des Coupes du monde 2019 et 2023.
Ce nâest pas seulement son impressionnant physique ou son jeu en touche qui en font un géant, mais aussi sa capacité à mener les siens, ayant été capitaine des Springboks lors de plusieurs tests, notamment en 2017.
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Ce match du 28 septembre 2024 contre lâArgentine restera dans les mémoires non seulement pour le file battu, mais aussi pour le moment touchant où Etzebeth est entré sur le terrain, non pas seul comme le veut la custom, mais accompagné de sa femme et de leur fille. Un hommage à un homme dont la carrière défaded largement le cadre du sport.
Victor Matfield, lâancien détenteur du file, nâa pas caché son admiration : « Câest fantastique quâun des meilleurs Springboks, si ce nâest le meilleur, ait battu mon file ».
Un palmarès impressionnant
Outre ses info individuels, le palmarès dâEben Etzebeth est tout aussi impressionnant : deux Coupes du monde remportées (2019 et 2023), plusieurs titres dans le Rugby Championship, et un impression majeur dans la série victorieuse contre les Lions britanniques et irlandais en 2021.
Bien que déjà considéré comme lâun des plus grands joueurs de lâhistoire du rugby sud-africain, Etzebeth ne montre aucun signe de ralentissement. Motivé par lâenvie de continuer à représenter son pays au plus haut niveau, il ne compte pas s’arrêter de si tôt et espère rester un pilier des Springboks et de son club, les Sharks de Durban.
« Je reste sur mes positions pour le moment. Je vais pousser mon corps aussi loin qu’il le peut. Le summum, c’est de jouer au rugby pour les Springboks, donc je vais continuer à me donner à fond, à m’entraîner dur et à essayer de performer pour mon club. J’espère que les entraîneurs continueront à me sélectionner », a-t-il confié après avoir battu le file et remporté un trophée de plus avec l’Afrique du Sud.
Avec ce file, Etzebeth entre définitivement dans la légende du rugby mondial, cimentant son héritage comme lâun des joueurs les plus respectés et influents de son époque.
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Tout comme la saison dernière, la huge name sénégalaise a débuté timidement le nouvel exercice en étant moins impactant sur le jeu d’Al Nassr. Dans les matchs clés, Mané a vraiment du mal à laisser son empreinte. Luis Castro serait probablement le problème. Depuis le limogeage de l’entraîneur portugais et la signature de Stefano Pioli (ex entraîneur de l’AC Milan), l’enfant de Bambali a retrouvé toute sa verve.
Sadio Mané déjà impliqué dans 5 buts en 4 matchs sous Pioli
Al Nassr était sur le pré lundi soir. Le club saoudien a affronté Al Rayyan (club qatari) à l’occasion de la 2e journée de Ligue des champions asiatique avec une victoire à la clé (2-1) à domicile. Sadio Mané a lancé les hostilités dans le temps additionnel de la première période. Il a ouvert le score (45e+1) avant que Cristiano Ronaldo ne fasse le ruin (76e).
Un but qui prolonge sa belle série sur le conception individuel. Sur les 4 derniers matchs, qui coïncident avec l’arrivée de Stefano Pioli sur le banc, l’attaquant sénégalais de 32 ans est dans une spirale obvious. Il a inscrit 2 buts et délivré 3 passes décisives.
Les stats de Mané sous Luis Castro avant l’arrivée de Stefano Pioli
Avant son déhalf, Luis Castro a dirigé 6 matchs avec Al Nassr cette saison. Et les chiffres du joueur formé à Génération Foot en disent prolonged. Il n’a délivré que deux passes décisives dans cette période. Il a également eu toutes les peines à se frayer une space pour pouvoir faire éclore ses qualités.
Une très bonne nouvelle pour le Sénégal et Aliou Cissé
Sadio Mané a retrouvé son niveau d’antan au bon moment. Ce vendredi, la liste du Sénégal sera dévoilée pour la double inequity face au Malawi, comptant pour les 3e et 4e journées des qualifications pour la CAN 2025 dans le groupe L. Sans surprise, l’ex joueur de Liverpool sera là .
Avec sa forme olympique, il va permettre au Sénégal, qui est dans une little forme actuellement, de tenter de faire le carton plein face au Malawi et de valider sa qualification pour la CAN 2025.
Les Lions, qui vont jouer le Malawi le vendredi 11 octobre 2024 (19h GMT à Diamniadio) et le mardi 15 octobre (13h GMT au Bingu Nationwide Stadium) occupent la 2e space de la poule L avec le Burkina Faso à égalité de aspects (4).
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Lire aussi : Fecofoot : Mayolas worth Ngata et le ministère des Sports
Finalement, lâAssemblée générale a décidé de la révocation de Mayolas et a nommé un comité advert hoc afin de gérer les affaires courantes et organiser de nouvelles élections d’ici 90 jours. Toutefois, la légalité de cette décision nâest pas partagée par tous les acteurs du soccer congolais.
Mission FIFA – CAF envoyée à Brazzaville
Rapidement, le Comité exécutif de la Fecofoot (sous l’égide de Mayolas) a convoqué une Assemblée générale extraordinaire ce vendredi 4 octobre sous la visite d’une mission FIFA – CAF spécialement détachée à Brazzaville. De quoi se poser une query : qui dirige, actuellement, la fédération ?
De son côté, la FIFA avait déjà prévenu le Congo dâune conceivable suspension à terme en cas dâingérence. Si lâidée dâun comité de normalisation existe – si les différentes occasions ne parviennent pas à sâentendre -, lâoccasion du soccer mondial soutient pour le moment le président Mayolas dans ses droits et nâa pas reconnu la décision du 27 septembre avec ce comité advert hoc.
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Et pour sa 1ère saison, il termine avec 16,6 aspects, 12,3 rebonds, 2,2 passes et 3 contres de moyenne. Ses 2m18 refroidissent les ardeurs des attaquants. Montagne infranchissable, il porte les couleurs des Nuggets pendant 5 ans. Le mastodonte portera ensuite les couleurs dâAtlanta, Philadelphie, les Nets de Contemporary Jersey, les Knicks de Contemporary York, et les Rockets de Houston où il va arrêter sa carrière en 2009. Il est aujourd’hui considéré comme le meilleur joueur africain de l’histoire de la NBA.
Câétait Dikembe Mutombo.
RIP. ð¨ð©ðï¸ pic.twitter.com/7TPK5nmgcc
— SPORTS ZONE (@SportsZone__) September 30, 2024
Lâun des plus grands défenseurs de lâhistoire
Durant sa carrière, Dikembe Mutombo a remporté 4 titres de meilleur défenseur de lâannée en NBA (1995, 1997, 1998 et 2001), file codétenu avec Ben Wallace et Rudy Gobert. Câest par ailleurs le deuxième meilleur contreur de lâhistoire de la NBA avec 3 289 contres, juste derrière Hakeem Olajuwon (3 830 contres).
Câest en outre le joueur ayant pris le plus de rebonds défensifs sur une saison en 1999 (418), et en 2000 (853) ainsi que celui ayant pris le plus de rebonds sur une saison en 1995 (1 029), 1997 (929), 1999 (610), et en 2000 (1 157), et le joueur ayant pris le plus de rebonds offensifs sur une saison en 2001 (307) en plus dâavoir le file de de contres sur une saison en 1994 (336), 1995 (321), 1996 (332), 1997 (264), et en 1998 (277).
Il air of mystery été 8 fois All Wide name. En 2015, la légende est pérennisée puisquâil est intronisé au Hall of Reputation de la NBA (Temple de la Renommée) de la NBA. Fait uncommon, son numéro de maillot a été retiré à Atlanta ainsi quâà Denver, en 2017.
Lire aussi : FIBA Afrique et NBA unis pour extinct la nouvelle génération de abilities africains
A travers son président Adam Silver, la NBA a rendu hommage à la légende qui figurera au panthéon de la balle orange. « Dikembe Mutombo était tout simplement plus big que nature. Sur le terrain, il était lâun des plus grands contreurs et lâun des meilleurs défenseurs de lâhistoire de la NBA. En dehors des terrains il a consacré son cÅur et son âme à aider les autres. Il nây avait personne de plus qualifié que Dikembe pour devenir le premier ambassadeur mondial de la NBA. Il était un humanitaire dans lââme. Il aimait ce que le basket-ball pouvait faire pour avoir un impression positif sur les communautés, en particulier dans sa République démocratique du Congo natale. Congo et à travers le continent africain. Jâai eu le privilège de voyager à travers le monde avec Dikembe et de constater par moi-même comment sa générosité et sa compassion ont élevé les gens lors des événements de la NBA au fil des ans â avec son sourire contagieux et sa voix profonde et retentissante. et sa signature qui lâa fait aimer des followers de basket de toutes les générations. Lâesprit indomptable de Dikembe perdure chez ceux quâil a aidés et inspirés tout au prolonged de sa vie extraordinaire. Je fais partie des nombreuses personnes dont la vie a été touchée par le big cÅur de Dikembe et il me manquera beaucoup. Au nom de toute la famille NBA, jâadresse mes plus sincères condoléances à lâépouse de Dikembe, Rose, et à leurs enfants ; ses nombreux amis ; et la communauté mondiale du basket-ball quâil aimait vraiment et qui lâaimait en retour ».
Dikembe Mutombo est donc parti, mais son héritage restera à jamais gravé dans la mémoire collective du basket. La balle orange pleurera toujours l’un de ses plus farouches défenseurs. Adieu, légende!
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« La Commission de Self-discipline de la FIFA a sanctionné le président de la Fédération Camerounaise de Football (FECAFOOT), Samuel Etoâo, dâune interdiction dâassister aux matches des équipes représentatives du Cameroun pour une durée de six mois, pour avoir enfreint les articles 13 (Comportement offensant et violation des principes du blooming-play) et 14 (Incorrection de joueurs et officiels) du Code disciplinaire de la FIFA », a précisé l’occasion dirigeante du ballon rond dans un communiqué, avant d’ajouter que « lâinterdiction prononcée à lâencontre de M. Etoâo lâempêchera dâassister aux matches de soccer masculin et féminin impliquant des équipes représentatives de la FECAFOOT, dans toutes les catégories ou groupes dââge. »
Lire aussi : CAF : amende XXL pour Samuel Eto’o
Si les raisons exactes qui ont justifié cette décision restent pour l’heure encore sombres, cette sanction fait suite à des incidents survenus lors du huitième de finale de la Coupe du monde féminine U-20, qui opposait le Cameroun au Brésil à Bogotá le 11 septembre 2024 (victoire du Brésil 3-1, après prolongation). Les Lioncelles ont été éliminée à la suite d’un match mouvementé, entaché par de nombreux faits de jeu et un penalty contesté, accordé aux Brésiliennes alors que le Cameroun menait au score.
Nouvel épisode d’une série de controverses
Pour Etoâo, cette suspension sâajoute à une série de controverses qui marquent sa présidence. Entre tensions avec des figures politiques camerounaises et désaccords avec certains joueurs clés de lâéquipe nationale, tels qu’André Onana et Vincent Aboubakar, sans compter son bras de fer avec le sélectionneur Marc Brys, soutenu par le ministère des Sports, cette nouvelle affaire nourrit les opinions de ses détracteurs. D’autant plus qu’elle intervient à un moment mandatory pour le Cameroun, en pleine préparation des 3ème et 4ème journées qualifications pour la CAN 2025.
Etoâo, qui avait présidé une réunion en amont du match Cameroun – Kenya prévu le 11 octobre, sera donc absent lors de cette rencontre décisive. Un coup dur qui relance le débat sur sa gestion en tant que président de la Fcafoot et sur lâimpression de ses décisions sur le soccer camerounais.
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Des débuts sous pression
Titularisé pour la première fois ce dimanche face à Toulouse, Zaha était scruté par la communauté lyonnaise. Malheureusement, l’ailier ivoirien n’a pas su convaincre. Sur les réseaux sociaux, les opinions ont fusé, notamment en raison de son perspective jugée nonchalante sur le terrain. Avec seulement 33 ballons touchés et une prestation jugée décevante par les observateurs, Wilfried Zaha a rapidement été la cible des followers lyonnais, agacés par son manque d’efforts offensifs et défensifs.
Lire aussi : Lyon : des soucis en interne pour Wilfried Zaha ?
En plus de sa prestation globale, câest son comportement qui a véritablement irrité. Zaha, qui avait montré de belles promesses lors d’un match précédent et son entrée en jeu prometteuse contre lâOlympiakos en offrant une faded décisive, semblait désynchronisé avec ses coéquipiers face à Toulouse. Selon certaines sources, le joueur aurait même exprimé son mécontentement après avoir été remplacé dès la 52ème minute par Pierre Epic, une décision que lâentraîneur a justifiée en conférence de presse.
Adaptation difficile à la ville
« Ãa a été le premier joueur sorti, ça démontre bien que jâai vu les mêmes choses que vous », a d’abord lancé le coach rhodanien au micro de DAZN à l’discipline de la partie, avant de se montrer un brin optimiste pour la suite : « Je sais quâil va évoluer. Il va sâintégrer petit à petit et il va comprendre ce quâon back de lui ». Reste à savoir si l’global ivoirien saura se reprendre après cette première titularisation manquée.
Car, en plus de ses prestations sur le terrain, certaines informations de la presse turque rapportent un léger mal-être de lâancien joueur de Crystal Palace et de sa famille depuis leur set up à Lyon. Ils regretteraient d’avoir quitté Istanbul.Des éléments qui pourraient expliquer son adaptation compliquée.
Pour lâinstant, la query de son investissement et de son état dâesprit reste sur toutes les lèvres. Les prochaines semaines seront cruciales pour Wilfried Zaha, qui devra rapidement se montrer à la hauteur pour gagner le cÅur des supporters et convaincre son entraîneur de son engagement, même si ce dernier espère toujours voir son joueur réagir positivement après cette déconvenue.
Malick BAMBA
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Devant cet imbroglio, le ministre des Sports, Adoul Kassim Fomba, a demandé un audit à la Route des funds et a également refusé de recevoir en audition le président du CNOSM, le totémique Habib Sissoko, en poste depuis plus de 24 ans et réélu sans opposant – mais pas sans rigidity – cet été.
Lire aussi : Comité olympique malien : Habib Sissoko réélu pour la septième fois
Une autre inspection à venir ?
Révélée par la presse malienne, cette affaire a également attiré lâconsideration du Vérificateur Général du Mali, Samba Alhamadou Slight one, qui sâest auto-saisi du cas. Depuis près de deux semaines, son équipe sâest mis au travail et a interrogé Habib Sissoko sur lâorigine de chacune des subventions reçusapar son comité (et leur utilisation).
Selon les informations de Sport Data Africa, le Pôle économique se prépare également à faire sa propre inspection sur la depraved dâune plainte déposée par Sidy Bagayoko, le président de la Fédération malienne de cyclisme, et opposant déclaré à Sissoko.
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Sensations et émotions
La preuve : Bertrand Traoré régale en ce début de saison 2024-2025 à l’Ajax. En dix matchs, le capitaine des Ãtalons du Burkina Faso s’est offert deux buts et trois passes décisives. Aux Can pay-Bas, il a aussi retrouvé une atmosphère qu’il connaît ainsi que des compatriotes. «Câest un joueur qui a un énorme abilities, ce nâest pas moi qui vais le découvrir aujourdâhui. Parfois, les choses ne fonctionnent pas quelque half et il faut un changement, mais je crois quâil a aussi vécu de grands moments au Villarreal. On ne sait jamais dans le monde du soccer, peut-être quâil sera très well-known pour toute la saison ou peut-être pas. La seule selected que je sais, câest que câest un bon garçon et que câest un joueur difféhire de la plupart des joueurs », a déclaré Gaël Nikiema.
Traoré brise le silence
Dans une interview accordée le 23 septembre dernier à l’émission Abilities d’Afrique sur Canal+, Bertrand Traoré, glisse quelques mots dans un conception de com impeccable pour se mettre dans la poche les nombreux supporters que comptent les Ãtalons. Durant cette interview, il a brisé le silence sur son exclusion depuis lâarrivée du nouveau sélectionneur du Burkina Faso, Brama Traoré. Lâattaquant de lâAjax Amsterdam a reconnu des problèmes au sein de lâécurie.
« Ãa fait longtemps, câest sûr que lâéquipe nationale me manque mais câest le soccer. Jâai été capitaine de cette équipe depuis 2021. En tant que capitaine, jâai ce rôle de pouvoir endosser plein de choses pour protéger cette équipe. Avec le sélectionneur Brama Traoré, on sâest eu au téléphone deux fois depuis sa nomination. Câest sûr quâavec la sélection, il y a des problèmes, yâavait des problèmes et yâair of mystery toujours des problèmes mais je pense quâon réglera ces problèmes en famille en interne », a-t-il fait savoir.
Pour ce qui concerne la nature des problèmes au sein de la sélection nationale de soccer du Burkina Faso, Bertrand Traoré a botté en touche : « Je ne vais pas venir exposer les problèmes de lâéquipe nationale ici. Je pense quâon va les régler entre nous au Burkina. Je me dois de protéger le groupe, la cohésion du groupe. Vu mon statut, je ne suis pas le mieux placé pour venir parler des problèmes de la sélection ici. Jâai la capacité dâendosser plein de choses pour le bien du groupe et la bonne marche du soccer burkinabè ».
Mais, Traoré sâest dit disponible pour la sélection et prêt à revenir en cas de convocation. « Même demain matin (mardi 24 septembre 2024, ndlr), jâirai à lâentraînement ici à Amsterdam pour représenter le Burkina. Ãa fait 13 ans aujourdâhui que je joue en équipe nationale du Burkina. Ce nâest pas à space off de quelques individus que je vais refuser de défendre les couleurs de mon pays. Je suis toujours disponible pour mon pays. Je lui ai toujours dit, si on mâappelle, je suis disponible et si on ne mâappelle pas, je serai le premier supporteur des Etalons », a-t-il confié.
Bertrand Traoré de retour
Bertrand Traoré est de retour en équipe nationale de soccer du Burkina Faso. Le capitaine des Ãtalons n’avait plus été appelé après son dernier match, le 30 janvier 2024, lors du match Burkina Faso – Mali comptant pour les huitièmes de finale de la CAN 2023 en Côte d’Ivoire. 240 jours plus tard, le sociétaire de l’Ajax reprend le chemin de l’équipe nationale. Brama Traoré a convoqué 25 joueurs pour la double inequity face au Burundi, les 10 et 13 octobre 2024 en éliminatoires de la CAN 2025.
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Christiane Mwassessa : Oui, c’est un honneur et je ne compte pas manquer cette occasion de jouer la CAN à domicile, si je suis là , c’est parce que je vais jouer.
à 39 ans, pensez-vous avoir encore les mêmes capacités physiques et solutions pour porter cette équipe de la RDC ?Â
Christiane Mwassessa : C’est mon travail, si je suis là c’est parce que j’ai encore quelque selected à apporter à mon pays comme je l’ai toujours fait. Nous nous préparons en conséquence, sachant que c’est un big événement qui air of mystery lieu chez nous. Personnellement je me prépare vraiment en conséquence pour montrer une belle image de notre pays et profiter pour accueillir les nouvelles jeunes joueuses qui intègrent l’équipe. Je suis en fin de carrière et je dois montrer un bel exemple aux jeunes.
En qualité de pays hôte, pourquoi avez-vous fait le choix du groupe B, un groupe relevé avec l’Angola, la Tunisie et le Cameroun ?Â
Christiane Mwassessa : C’est une stratégie. J’ai parlé au président de la fédération, il m’a dit de prendre le groupe B. Vous savez, quand il y a une grande bête, c’est mieux de l’affronter avant. Nous avons confiance en notre équipe et nous savons que dans les prochains tours nous aurons des adversaires moins forts que l’Angola et nous allons aller match par match jusque là où la compétition va nous amener.
Lire aussi : CAN féminine de handball : le tirage des groupes effectué
Vous avez manqué la dernière édition de la CAN, quelle en était la raison ?
Christiane Mwassessa : De nature je ne mélange pas le sport avec ma vie privée. J’avais des problèmes personnels, c’est ça qui a fait que je sois absente sur le terrain. Mais je n’avais pas abandonné l’équipe, j’étais toujours en contact avec les filles.
La RDC n’a plus atteint le dernier carré de la CAN depuis deux éditions, qu’est-ce qui pourrait faire qu’elle aille jusqu’au bout à Kinshasa ?Â
Christiane Mwassessa : Nous respectons tous nos adversaires, nous allons prendre les matchs les usaaprès les autres. Il y a des stratégies, nous allons avoir des phases pour mieux nous préparer. Et je crois que le fait d’être à domicile devant notre public va beaucoup nous aider à aller le plus loin conceivable et pourquoi pas gagner la CAN.
Il y a un nouvel entraîneur à la tête de l’équipe nationale, pensez-vous que cela va changer quelque selected ?Â
Christiane Mwassessa : Je ne pense pas. L’entraîneur vient avec sa nouvelle philosophie mais c’est nous les joueuses qui allons faire quelque selected sur le terrain. Nous jouons ensemble depuis un temps et nous nous connaissons. Le nouvel entraîneur va juste nous aider à hisser encore haut le drapeau nationwide.
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Le timing (hyper) serré alimente une polémique grandissante au sein de lâconception publique camerounaise. Certains observateurs nâhésitent pas à émettre des doutes sur la transparence du processus, suggérant que la fédération pourrait déjà avoir un équipementier en tête. Selon des rumeurs persistantes, un prestataire aurait déjà commencé à produire les maillots, bien avant même la finalisation de lâappel dâoffres.
Une procédure jugée irréaliste
Selon les experts, plusieurs aspects dâachoppement existent. Dâun level de vue logistique, il paraît irréaliste quâun équipementier puisse concevoir, valider, et produire un maillot de qualité en seulement quelques jours après la signature dâun contrat. Au-delà des défis liés à la manufacturing, câest surtout la durée même de lâappel dâoffres qui pose problème. « Dix jours, câest un délai trop court pour une décision dâune telle significance, qui devrait impliquer des études de marché et des analyses stratégiques », explique sous cap, un Consultant en Marketing sportif.
En comparaison, dâautres fédérations de soccer, comme la Fédération allemande ou française, lancent des appels dâoffres pour de nouveaux contrats dâéquipementiers des années avant lâéchéance de leurs contrats en cours. « Lâéquipe de France, par exemple, a clos son appel dâoffres en avril 2023, alors que son contrat avec Nike nâexpire quâen 2026 », poursuit-il. Cela laisse suffisamment de temps pour analyser les propositions, évaluer les capacités de manufacturing et de distribution des équipementiers, et négocier des partenariats profitables.
Soupçons de favoritisme
Au Cameroun, le timing restreint de cet appel dâoffres suscite de sérieuses suspicions de favoritisme. « La posture de la Fécafoot peut effectivement paraître hasardeuse, voire fantaisiste », admet lâeducated. En effet, il semble difficile de juger en si peu de temps si un équipementier est capable de répondre aux exigences solutions et commerciales dâun contrat aussi complexe. « Si le processus est biaisé dès le déhalf, cela pose des questions sur la transparence de lâadministration de la Fécafoot », argue notre interlocuteur. « Les délais de ce processus sont questionnables, soutient l’educated. Dix jours pour ce kind de transaction, câest irréaliste. Trois mois câest insuffisant. Un an câest raisonnable, deux ans câest lâidéal… »
En effet, dans le cadre dâun partenariat de sponsoring, le choix de lâéquipementier ne se limite pas seulement à la manufacturing de maillots. Il sâagit dâun co-branding, câest-à -dire dâune alliance entre deux marques compatibles sur les plans stratégique et commercial. Par conséquent, un appel dâoffres limité à dix jours laisse la porte ouverte aux doutes sur lâéquité du processus. Les conséquences pour lâimage de la Fécafoot pourraient être sévères. « Si lâon découvre que lâappel dâoffres nâétait quâune façade pour un processus déjà biaisé, cela pourrait entacher la crédibilité de la fédération. Et fatalement, cela peut être préjudiciable pour lâimage et de la fédération, et des sélections nationales du Cameroun », avertit lâeducated.
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Invitée dans plusieurs médias tchadiens et français (elle sâentraîne en France, ndlr), Bibiro poursuivit sa diatribe envers le Comité olympique et sportif tchadien (COST), ainsi que la Fédération dâathlétisme (F.T.A). « Je suis dans mes droits. La vérité, le mensonge, lâhypocrisie et la malhonnêteté, ce nâest pas ma tasse de thé. Pendant toutes ces années, jâai supporté seule de lourdes charges. Mentalement, mon cÅur est brisé. »
En réponse, le COST publia un communiqué pour démentir les griefs de lâathlète, tout en rappelant quâelle nâavait pas terminé lâépreuve du 5 000 mètres à Rio. « Câest une manière de mâhumilier à nouveau », déplore-t-elle pour Sport Data Africa. « Ils détournent le sujet de mon wrestle et de celui des autres athlètes par des attaques personnelles. Cela veut dire beaucoup sur leur manière dâopérer. »
Où sont passés les donations de la solidarité olympique et de World Archery ?
Allant au bout de sa démarche, Bibiro a écrit une lettre officielle au président de la République, Mahamat Déby. Une initiative à laquelle le cabinet présidentiel a répondu, chargeant le ministre des Sports, Abakar Djarma, dâinstruire un file. Pas de quoi gêner cet ancien judoka qui présida le Comité olympique et sportif tchadien entre 2017 et 2021 avant de perdre les élections au earnings du général Idriss Dokony, qui avait déjà dirigé le COST entre 2013 et 2017.
Si lâinimitié entre les deux hommes est connue – Dokony accusa par exemple Djarma dâavoir laissé un solde fictif de plus de 8 millions de francs CFA -, la gestion du COST et de plusieurs de ses fédérations affiliées méritait depuis bien longtemps dâêtre examinée selon la totalité des athlètes sollicités par Sport Data Africa. « Nous ne sommes pas considérés », peste Hallas Maria, championne dâAfrique par équipe mixte avec son compatriote Israël Madaye en 2023. « Surtout les femmes, et encore plus si nous osons réclamer nos droits. »
La jeune archère (23 ans), qui fait partie des meilleurs espoirs continentaux, énumère ainsi les compétitions auxquelles elle a pris half sans recevoir ses frais de mission ou les donations dâéquipement qui ne profitaient pas aux athlètes. « Dernièrement, il y a ecu une formation à laquelle nous avons pris half au pays. Des fonds ont été déployés pour acheter du matériel, mais on nâa jamais rien reçu. En plus, cela était financé par la solidarité olympique et la WA (World Archery, la fédération internationale de tir à lâarc). »
Contrairement à son homologue masculin, Israël Madaye, qui bénéficia dâune bourse de la solidarité olympique sur le prolonged terme (trois ans), Hallas nâa jamais obtenu de bourse malgré ses titres et distinctions, et ne set up rejoindre lâEurope quâau dernier moment avant les Jeux où elle espérait se qualifier en réalisant les minimas.
Une différence de traitement rageante eu égard à la passivité de la Fédération de tir à lâarc et du Comité olympique tchadien, peu enclins à débloquer les formalités administratives nécessaires â lâobtention du visa notamment â en amont. « Le souci, câest que jâai réclamé mes droits », rappelle lâarchère. « Dans notre milieu, lorsque vous ouvrez votre bouche pour réclamer ce quâon vous doit, on vous écarte. On vous le fait comprendre très clairement. »
Pour preuve, pendant que Madaye se préparait à la fastueuse World Archery Excellence Center de Lausanne, Hallas a finalement dû se débrouiller avec lâaide de lâAmbassade de France au Tchad et le Projet de Valorisation de la Pratique Sportive chez les Jeunes Filles (dont elle était la marraine), pour sâentraîner trois semaines à Clermont-Ferrand, bien loin des centres dâexcellence prévus pour les meilleurs espoirs du continent…
Lacrymogènes, policiers et interdiction de participer aux Championnats dâAfrique
Self-discipline en verve, agrémentée de nombreuses médailles continentales, le tir à lâarc souffre dâun merciless manque de moyens. Obligés de construire des cibles avec du carton et de la paille par eux-mêmes, les archers et leurs entraîneurs sâexercent où ils peuvent, sans lieu réellement approprié. Dans les locaux du vétuste lycée Félix Ãboué, situé dans le troisième arrondissement de la capitale, NâDjamena, la troupe tirait à des heures précises selon les disponibilités scolaires. Une préparation indigne qui caractéupward thrust malheureusement la réalité du sport tchadien.
Lire sur le sujet : Israël Madaye : « On était plus que deux à tirer à lâarc au Tchad ! »
Sans une réelle politique sportive étatique, chaque discipline vivote au gré des compétitions et de ses intérêts. Proche de Dokony, le président de la Fédération de tir à lâarc, Nguelet Colombe, est ainsi le secrétaire général du Comité olympique tchadien. Une space de choix comme celle dâOuya Bourma Malato, secrétaire général de la Fédération dâathlétisme et premier secrétaire général du Comité olympique. Un cumul de poste qui interroge, mais fait sens ; au Comité olympique, câest Ouya qui sâoccupe de toute la paperasse.
Très influent, ce dernier est accusé par lâgigantic majorité des personnes sollicitées de « mener un double jeu ». En off avec certains athlètes, Ouya nâhésituation ainsi pas à accuser le président Dokony de récupérer plus dâargent quâeux. En on devant les caméras ou sur les réseaux sociaux, il magnifie le bilan de Dokony. « Câest une dictature », balaye Mahamat Reouhidi, coureur de 200 et 400 mètres. « Par exemple, jâai participé aux Jeux scolaires à Moundou en 2019. Après cela, la direction des sports militaires (DSMIA) à organiser la compétition pour la sélection des Jeux mondiaux militaires en Chine, puis la fédération dâathlétisme à organiser un championnat nationwide pour la sélection aux Jeux africains en 2019 à Rabat, au Maroc. Sauf que la fédération a refusé que ceux sélectionnés aux Jeux mondiaux militaires puissent participer au championnat nationwide. Ils ont appelé les policiers de CA3 pour leur dire que les athlètes rebelles sont au stade. Ils sont venus avec des lacrymogènes.. »
Plusieurs donations, notamment dâun entraîneur italien (Tommaso Rava), nâont jamais été données aux athlètes, selon Reouhidi qui déplore lâabsence de compétition digne de ce nom ainsi que les menaces. Lui comme dâautres coureurs tchadiens ont ainsi décidé de sâexiler au Cameroun pour sâentraîner et vivre, sans aucune aide fédérale. Pis encore, lors des Championnats dâAfrique 2024 organisés à Douala, Reouhidi et ses coéquipiers vivant au Cameroun ont été exclus de la compétition. « Le secrétaire général de notre fédération, Ouya Malato, a appelé le secrétaire général camerounais pour lui dire quâaucun athlète tchadien étant au Cameroun ne peut participer sans notre autorisation. Voilà ce quâon vit. »
« Nous savons où tu es »
Dans cette cacophonie, seulement trois athlètes tchadiens furent sélectionnés aux Jeux Olympiques de Paris. De quoi susciter lâincompréhension chez certaines, notamment la marathonienne Bibiro Ali Taher. Cette dernière estimait prétendre à la space attribuée à un/e athlète tchadien(ne) suite à lâinvitation décernée par la Fédération internationale dâathlétisme. Or, la Fédération tchadienne décida dâenvoyer Valentin Betoudji, le recordman du marathon chez les hommes.
Déchirée, comme lâarchère Hallas Maria qui ne set up faire les minimas pour valider sa space à Paris, Bibiro redoubla dâefforts pour faire valoir ses droits et ceux de ses confrères et consÅurs. Un collectif regroupant des athlètes de nombreuses disciplines fut ainsi monté : lâUnion des droits sportifs tchadiens. « Nous en avons marre dâêtre exploités », explique-t-elle. « Jâai parlé à des champions ou championnes en pleurs, en dépression à space off du traitement quâon leur réback. Est-ce long-established ? »
A lâintérieur de ce groupe, les témoignages fusent. Intimidation - « nous savons où tu es » -, confiscation de passeports, tout y faded et même de lâargent en espèce pour calmer les potentielles ardeurs des récalcitrants comme le boxeur Brahim Mahamat Saleh à qui il donna 1 000 euros en cash dans un hôtel de luxe parisien. Une « dictature » pour reprendre les termes du coureur Reouhidi où la communication est verrouillée et tournée à la gloire du président du Comité olympique, le général Idriss Dokony.
Sur Facebook, lâgigantic majorité des posts nâest pas consacrée aux athlètes, mais à son président, notamment cet été lors de sa campagne pour briguer (et obtenir) le poste de premier vice-président de la Confédération africaine de volley-ball. Une distinction sâajoutant aux nombreuses autres pour cet ex-global qui a également endossé des responsabilités à lâACNOA, lâAssociation des comités nationaux olympiques dâAfrique, et qui exerce son 2nd mandat au Comité olympique tchadien après un premier intermède entre 2013 et 2017. Mais, surtout, Dokony est connu à NâDjamena pour avoir été un ancien ministre de la sécurité.
Hôtel de luxe et argent cash
Figure de lâancien régime sous feu président Idriss Deby, Dokony avait conservé dâimportantes prérogatives avec le nouveau chef dâÃtat, Mahamat Deby. Ministre de la sécurité publique et de lâimmigration, il fut cependant débarqué de ses fonctions le 26 février 2023 par un décret présidentiel. Si le porte-parole de la présidence a tenu à calmer les supputations, parlant de « démarche normale et courante dans lâadministration », Dokony match également partie de la liste des 47 généraux « mis à la retraite » en juin 2023 par un autre décret présidentiel.
Sâil contesta initialement cette décision, Dokony se match discret. Selon nos informations, ce « déclassement » coïncidait également avec une dispute lâayant opposé au chef de cabinet présidentiel lors dâun voyage à Kinshasa. Vaquant de facto à ses multiples mandats sportifs, le général obtint toutefois une nouvelle nomination politique le 21 juin 2024 en qualité dâopération économique pour la CNG (Commission Nationale de Gouvernance) du MAEP (Mécanisme africain dâévaluation par le pair). Une promotion anecdotique en comparaison de lâéchéance tant attendue de 2024 : les Jeux olympiques.
Dokony dirigea une délégation de 17 officiels pour seulement 3 athlètes, un ratio élevé, mais moins well-known que le nombre farfelu (33) circulant sur les réseaux sociaux. Cependant, le président du CNOST, logé à lâHôtel Hyatt Regency, est venu avec sa conjointe à qui il obtint une accréditation. Sur les clichés, son secrétaire général, le président de la Fédération de tir à lâarc, Nguelet Colombe, était également avec sa partenaire, comme le secrétaire général de la Fédération dâathlétisme, Ouya Bourma Malato. Festoyant, le trio passa une olympiade étoilée à défaut de rentrer au pays avec des médailles.
Où sont passés les 589 276 greenbacks versés par le CIO pour le cycle olympique de Rio ?
De retour à NâDjamena, le COST et les différentes fédérations affiliées ont repris leur rythme habituel. Ouvertement critiqué pour le manque de résultat, Idriss Dokony sâest défendu lors dâune conférence de presse en arguant que « le gouvernement nâa levé aucun fond pour faciliter la participation des athlètes aux JO ». Un argument recevable bien que discutable.
Sport Data Africa sâest procuré des paperwork de financement du CIO envers les différents comités olympiques africains. Lors de la première présidence de Dokony, pour le cycle olympique de Rio, le COST avait reçu 589 276 greenbacks dont 16 548 de bourse pour les athlètes. Dans ces prerequisites, pourquoi la porte-drapeau de la délégation, Bibiro Ali Taher, a-t-elle dû se payer elle-même son billet ? « Je nâai jamais rien reçu, pas dâaide, rien », souffle-t-elle.
Plus curieux encore, le COST avait également perçu 82 761 greenbacks de bourses olympiques pour les coachs ou 85 894 greenbacks pour les développements des constructions. Dâautres sommes importantes furent reçus (166 550 greenbacks pour le développement de lâadministration, 49 524 pour les cours destinés au personnel administratif sportif ou 31 026 greenbacks pour lâéducation, la culture et lâhéritage olympique) au plus big étonnement des entraîneurs ou personnels de lâépoque : « Depuis quand on a reçu ça ? »
Plus étonnant, le COST avait pris lâhabitude de réclamer des aides étatiques en plus des subventions du CIO. De quoi susciter lâinterrogation du cabinet de la présidence quant aux réels montants reçus par Dokony pour le cycle olympique parisien, qui ne seront connus que lâannée prochaineâ¦
LâÃtat nâest dâailleurs pas le seul à se poser des questions puisque World Athletics, la Fédération internationale dâathlétisme, a ouvert un file quant à la gestion de la fédération tchadienne, tandis que le CIO a reçu également des plaintes concernant le COST. Une libération de la parole et des dossiers qui suscite un espoir chez Bibiro Ali Taher et les membres du groupe lâUnion des droits sportifs tchadiens. « On rêve simplement de pouvoir continuer notre passion sans avoir de problème », dit-elle. « Ce quâon fait, câest pour nous, mais surtout pour la génération à venir. »
NB : contacté, le COST nâa pas répondu à nos questions.
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Brahim Diaz, Lookman, Kossounou, le poids du palmarès
Lâargument du palmarès pèse lourd, et il est bien évidemment à lâavantage de Brahim Diaz. Le Marocain a remporté la Supercoupe dâEspagne en début dâannée, puis la Liga, la Ligue des champions et la Supercoupe dâEurope. Quatre trophées avec le Right Madrid et où il air of mystery joué un rôle prépondérant en sortie de banc. On se rappelle son but en finale de la Supercoupe dâEspagne (5-3) contre l’Atletico Madrid, de son bijou en huitième de finale de la Ligue des champions à Leipzig (1-0) ou encore de ses rentrées décisives en championnat. En 2023-2024, il air of mystery tout de même inscrit 11 buts et distribué 8 passes décisives. Marca a dâailleurs récemment indiqué que le numéro 21 du Right avait le titre de Joueur africain de l’année en ligne de mire.
Le Marocain devra cependant faire avec une distinctiveness concurrence : celle dâAdemola Lookman. Le Nigérian, finaliste dâune CAN où il air of mystery brillé, a marqué les esprits avec lâAtalanta. Il a tout simplement inscrit un triplé en finale de la Ligue Europa contre le Bayer Leverkusen (3-0), infligeant aux Allemand leur seule défaite de la saison toutes compétitions confondues. Quelques jours auparavant, il avait inscrit un doublé en demi-finale contre Marseille (3-0). Des faits dâarmes qui font de lui selon plusieurs médias, le favori devant Brahim Diaz. Son bilan statistique la saison passée : 17 buts, 9 passes décisives. Et pour couronner le tout, câest le seul africain nominé parmi les 30 en lice pour le Ballon dâor. De quoi faire la différence ?
Cependant, un Ivoirien pourrait ravir la vedette aux deux stars. Il sâagit dâOdilon Kossounou. Le défenseur ivoirien a remporté la Bundesliga, la Coupe dâAllemagne, la Supercoupe dâAllemagne, mais surtout la Coupe dâAfrique des Worldwide locations avec la Côte dâIvoire. Alors oui, il nâa pas la notoriété des deux premiers cités, mais le défenseur de 23 ans a disputé 34 matchs avec lâéquipe de Xabi Alonso la saison dernière dont 27 comme titulaire. Aujourdâhui à lâAtalanta, il doit sans doute espérer griller la politesse aux premiers nommés.
Edmond Tapsoba et Serhou Guirassy en embuscade
Quand on parle de défenseur africain, le nom dâEdmond Tapsoba nâest jamais loin. Le Burkinabè est tout simplement le meilleur à son poste sur le continent, et de loin. Indéboulonnable à Leverkusen, patron des Etalons, il a sans doute livré les meilleures performances de sa carrière la saison écoulée (46 matchs, 38 titularisations). Il ne devrait ainsi pas être loin du podium, tout comme Serhou Guirassy. Le Guinéen a porté Stuttgart la saison dernière avec 30 buts en 30 matchs dont 27 en Bundesliga (2ème meilleur buteur). Il a ainsi permis à son club de finir 2ème du championnat, devant le Bayern. Sacré exploit.
Mohamed Salah, deux fois couronné, fera sans doute partie des nominés, lui qui a encore rayonné individuellement. Malheureusement pour le Pharaon, il nâa remporté aucun titre. Qui plus est, à la CAN en Côte dâIvoire, lâEgypte a été éliminée en huitième de finale, sans lui, après sa blessure contractée au premier tour. Pierre-Emerick Aubameyang a lui aussi brillé avec 30 buts et 11 passes décsives avec lâOM en 2023-2024, dont 10 réalisations en Ligue Europa (meilleur buteur, éliminé en demi-finale). Néanmoins, le buteur gabonais nâa pas remporté de titre. Les titres, Kalidou Koulibaly les a empilés avec Al Hilal en Arabie Saoudite : Supercoupe saoudienne, championnat, Coupe du roi. Toutefois, il ne devrait pas figurer parmi les premiers, tout comme Sadio Mané. La huge name sénégalaise dâAl Nassr nâa pas porté son club, et à la CAN, le Sénégal a été sorti dès les huitièmes.
Alors, chers lecteurs, qui est votre favori pour succéder à Victor Osimhen, sacré en 2023 ?
Lire aussi : Mali – Sinayoko : « Ne rien gagner avec une telle génération serait dommage »
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Pour la saison 2024-225, il n’y air of mystery que deux représentants congolais à ce stade de la compétition. Il s’agit du TP Mazembe et de l’As Maniema Union, tous les deux en Ligue des champions de la CAF.
Demi-finalistes de la dernière édition, les Corbeaux de Mazembe ont obtenu leur qualification en battant à l’aller (2-0) comme au retour (2-1) le club zambien de Crimson Arrows. De son côté l’AS Maniema Union a créé la sensation en éliminant le club angolais de Petro Atletico. Les Unionistes se sont imposés au match aller à Kinshasa (2-1) avant d’imposer un nul blanc aux Angolais au match retour à Luanda (0-0), obtenant ainsi une qualification historique en segment de groupes d’une compétition interclubs de la CAF, ce, pour leur deuxième participation seulement en Ligue des champions.
Zéro pointé en Coupe de la Confédération
En revanche, c’est la première fois depuis 4 ans que la RDC n’air of mystery pas de représentant en segment de groupes de la Coupe de la Confédération. En effet, ses deux représentants, l’AS V. Membership et le FC Saint Ãloi Lupopo, ont été éliminés au deuxième tour préliminaire.
Battue au match aller (2-0), l’AS V.Membership a été sortie par le club sud-africain de Stellenbosch qui l’a tenu en échec (1-1) au match retour à Kinshasa. Pour sa half le FC Saint Ãloi Lupopo n’a rien pu faire face au club angolais de Bravo impression Maquis. Les Cheminots de Lubumbashi ont été battus à l’aller (1-0) comme au retour (1-2).
La LINAFOOT pointée du doigt
Ces contre-performances des golf equipment congolais en Coupe de la Confédération suscitent des réactions négatives; et pour certains dirigeants sportifs, la faute incombe à la LINAFOOT.
C’est le cas du président du FC les Aigles du Congo, Vidiye Tshimanga, qui n’a pas hésité à critiquer la LINAFOOT sur ses réseau sociaux. « Premier responsable de cette débâcle c’est la LINAFOOT», a-t-il lancé.
D’ajouter : « La LINAFOOT organise son championnat en fonction des noms des équipes et non de leur niveau. De plus, elle ne met pas les équipes dans les prerequisites pour affronter des équipes en jambes. Mazembe et Maniema Union se sont qualifiés grâce à leurs propres efforts. V. Membership est en pleine reconstruction, cela sous-entend qu’il a besoin du championnat pour pouvoir mettre son équipe en état de combativité. Or, ça fait deux mois que nous attendons ce début du championnat », a-t-il conclu.
Le Tout Puissant Mazembe et l’AS Maniema Union vont connaître leurs adversaires de la segment de groupes après le tirage au kind qui air of mystery lieu le 7 octobre prochain.
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Lassine Sinayoko : C’est un tout autre niveau (par rapport à la Ligue 2, ndlr), on essaye de vite se mettre au niveau mais c’est compliqué. On travaille pour y arrivé, mais on n’est pas surpris.
Comment jugez-vous le niveau actuel du championnat de France ?
Lassine Sinayoko : Contrairement à ce que beaucoup pensent, c’est un championnat très relevé. Il y a un monde d’écart avec la Ligue 2 en terme d’intensité et d’efficacité. Il y a des erreurs sans conséquence que l’on commettait en Ligue 2, en Ligue 1 ça se paye cash. Dans les 30 derniers mettre, que ce soit pour attaquer ou défendre, c’est totalement difféhire.
Après 5 journées écoulées, quels sont les premiers enseignements que vous retenez ?
Lassine Sinayoko : En premier c’est l’efficacité. On voit que lorsque l’on a des actions et que l’on come pas à les concrétiser, la sanction tombe derrière. Malheureusement on en a fait les frais. Mais on va tout faire pour travailler cet aspect et gagner en efficacité offensivement mais aussi défensivement.
Pour son retour en Ligue 1, Auxerre ne compte qu’une victoire pour le moment. Est-ce le début de saison auquel vous vous attendiez en interne ?
Lassine Sinayoko : On ne s’back jamais enchaîner quatre défaites de suite, Mais on n’est pas en terre inconnue. On savait que ça pouvait arriver vu notre statut. Donc on travaille encore plus pour essayer de mettre fin à ce cycle de défaites. Il n’y a pas de surprise et on va essayer d’inverser les choses.
Quels sont les objectifs du club cette saison ? Juste jouer le maintien ?
Lassine Sinayoko : On est des compétiteurs, donc on veut toujours gagner. Plus on gagnera et plus on sera allege. Après c’est sûr que l’objectif main est de ne pas redescendre. Tout le monde a ça en tête, mais si on peut aller plus haut on ne va pas se gêner. L’objectif c’est de gagner chaque match et se placer le plus haut conceivable.
« Avant tout aider l’équipe, même si je ne marque pas »
Brest a crée la sensation la saison dernière et fait encore parler en ce début de saison. Est-ce que vous vous inspirez de ce qu’ils ont fait ?
Lassine Sinayoko : Pour les golf equipment dits « petits », c’est sûr que leur parcours inspire beaucoup. Ils ont montré que tout le monde est capable de finir le plus haut conceivable, donc on va s’en donner les moyens. On a vu que Lens a réusa à aller chercher le haut du tableau dès qu’ils sont montés en Ligue 1, Toulouse qui gagne la Coupe de France… Il y a beaucoup de golf equipment qui ont pu s’installer à prolonged terme, donc bien sûr qu’on y croit et on va tout faire pour que cela nous come aussi.
Sur le conception personnel, vous nâavez pas encore ouvert votre compteur but. Est-ce que cela vous pèse mentalement ?
Lassine Sinayoko : Non, pour l’instant il y a beaucoup plus well-known. Après être attaquant et ne pas marquer ça peut être frustrant, mais l’objectif est d’abord de faire gagner l’équipe. Si on peut le faire par d’autres moyens, en défendant bien, en faisant des functions et toutes ces choses, c’est aussi bien. On aide pas l’équipe qu’en marquant, même si c’est le but d’un attaquant. Pour le moment je ne men fais pas.
Prochaine échéance en Ligue 1 c’est dès ce vendredi face à Brest justement, comment abordez-vous ce match ?
Lassine Sinayoko : On essaye de l’aborder sans s’affoler. On a qu’une seule victoire pour le moment, mais dans le jeu on produit de belles choses. Le vent va finir par tourner et on sera récompensé. On se donne tous à fond, on est motivé, encore plus qu’en début de saison, on est confiant. On est à la maison en plus donc on va tout donner pour nos supporters. On a à cÅur d’arracher une 2ème victoire à domicile.
« Beaucoup de déception en sélection, mais… »
A côté du club il y a aussi la sélection du Mali. Ces derniers mois, les Aigles se sont beaucoup illustrés du côté additional-sportif jusqu’à une probability ce grève de votre half les joueurs. Quelle est l’ambiance actuelle ?
Lassine Sinayoko : Franchement il y a ecu beaucoup de déception. On était déçu par pas mal de choses en interne, mais après c’est comme ça, ce sont les aléas du pays. Maintenant tout initiate à rentrer dans l’ordre donc la plupart des joueurs est earnings en sélection. En espérant que cet épisode soit derrière nous.
Lire aussi : Mali : les joueurs en retrait de la sélection !
Toutes ces tensions pendant des mois se sont fait ressentir dans les résultats, au mois de juin notamment avec la défaite contre le Ghana et le nul contre Madagascar…
Lassine Sinayoko : Forcément ce qui se faded autour influe sur le côté sportif. Quand tu n’es pas dans les meilleures prerequisites, ça va se ressentir sur le terrain. Après c’est aussi à nous de mettre ça de côté et de se donner à fond quand on joue pour le pays. Personne n’a jamais triché, surtout que tout le monde est fier de représenter le pays. Sur le terrain tout le monde se donne à fond, mais il y a des aléas qui font que c’est compliqué. On a fait ces deux contre-performances, mais tout le monde a à cÅur de se rattraper. Il reste encore des matchs pour se qualifier.
Depuis un moment maintenant, le Mali est perçu comme une équipe qui peut remporter un trophée. Mais paradoxalement, ça coince toujours. Comment expliquez-vous le fait que le moment ça ne bascule pas du bon côté pour vous ?
Lassine Sinayoko : C’est la query qu’on se pose tous. Depuis des années maintenant on a des joueurs qui évoluent au plus haut niveau, qui jouent la Ligue des champions, qui jouent ensemble depuis petits, donc tout le monde se connaît bien, on est un groupe, une famille. Donc normalement ça ne peut que bien se passer sur le terrain, mais malheureusement il y a la réussite qui nous fuit. Mais ça va finir par payer, tout le monde essaye de faire en sorte que ça paye. On a une génération incroyable. Ce serait dommage de ne rien remporter avec une telle génération.
En parlant de trophée et de remporter un titre, est-ce que cette CAN 2023 et ce match fou contre la Côte d’Ivoire pèsent encore dans les têtes ? Ou alors vous êtes passés à autre chose ?
Lassine Sinayoko : Personnellement, j’y pense constamment. Dès que j’entends les mots CAN ou Côte d’Ivoire ça me fait mal parce que c’est un match que l’on aurait jamais dû perdre. Jamais de la vie. Mais en même temps c’est ce qui rend le soccer encore plus beau. On ne peut s’en prendre qu’à nous, mais on va tacher de se rattraper.
« Aucun contact avec Tom Saintfiet »
Octobre come vite avec deux matchs contre la Guinée Bissau. Deux victoires pourraient quasiment vous assurer la qualification pour la CAN 2025. Comment allez-vous aborder ces matchs ?
Lassine Sinayoko : Déjà , il faudrait que je sois sélectionné (il était absent lors de la précédente trêve en raison d’une blessure, ndlr). Si c’est le cas, il faudra tout faire pour gagner la double inequity car ça reste un adversaire abordable, surtout en jouant à domicile. J’espère qu’on pourra gagner pour rendre fier notre public. On leur doit bien ça.
Tom Saintfiet est le nouveau sélectionneur. Avez-vous eu à échanger avec lui depuis son arrivée ?
Lassine Sinayoko : Non, pas du tout. Il n’y a ecu aucun contact pour le moment. Peut-être que ça va arriver.
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Profitant de son déhalf, Paquille a choisi de s’exprimer publiquement sur son court séjour à la tête de l’équipe, révélant des faits troublants qui se seraient produits dans les coulisses, notamment autour des deux rencontres. Selon lui, des pratiques mystérieuses liées à des rituels traditionnels auraient perturbé le vestiaire, notamment lâépisode des « chaussettes trempées ».
Des chaussettes trempées dans des produits traditionnels
Au cours dâune interview accordée à CIS Médias, Charles Paquille a raconté deux incidents qui ont soulevé des interrogations. Le premier aurait eu lieu avant le match contre la RD Congo à Kinshasa, où lâéquipe serait arrivée au stade sans chaussettes. Il a fallu, selon ses propos, envoyer les intendants en taxi-moto pour en récupérer à la dernière minute. Cependant, le 2nd épisode, survenu avant le match contre la Tanzanie à Yamoussoukro, a pris une tournure encore plus surprenante.
Charles Paquille explique : « J’ai vu des joueurs murmurer entre eux, et Ibrahima Sory Conté a dû intervenir pour calmer deux ou trois joueurs. C’est alors que j’ai appris que des chaussettes avaient été trempées dans des produits traditionnels, créant une véritable polémique au sein du groupe ».
Le sélectionneur s’est montré visiblement perturbé par ces événements, se demandant si ces pratiques avaient pour but de nuire ou d’aider l’équipe : « Est-ce que ça a été fait pour le bien de lâéquipe ? Est-ce que câétait en accord avec les joueurs ? Personnellement, je nâen savais rien et cela mâa mis en colère. Certains joueurs refusaient de les porter, il a fallu de longues négociations pour quâils acceptent. Ce nâest vraiment pas conceivable », a-t-il ajouté.
Quel avenir pour le Syli Nationwide ?
Alors que la Guinée se prépare à ses prochaines échéances sportives, notamment les éliminatoires de la CAN 2025, cette affaire pourrait bien peser sur le factual des troupes. Michel Dussuyer, désormais de retour à la tête de lâéquipe, devra sans doute aborder ce sujet délicat avec les joueurs pour restaurer la cohésion du groupe.
En attendant, les supporters guinéens se demandent si cette polémique affectera les performances futures de leur équipe ou si, au contraire, elle motivera le groupe à se ressaisir pour viser une qualification à la CAN 2025. Les prochains rassemblements et déclarations des joueurs apporteront peut-être plus de clarté sur ces allégations qui, pour lâinstant, laissent planer le doute sur l’environnement interne du Syli Nationwide.
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Il est effectivement symbolique que lâexploit historique du Djoliba AC coïncide avec les festivités marquant le 64ème anniversaire de lâindépendance du Mali, soulignant lâsignificance du sport dans lâunité et la fierté nationale. Cet événement pourrait non seulement renforcer le factual des supporters du club, mais aussi célébrer lâhéritage et lâidentité nationale à travers le succès sportif.
Une longue quête enfin récompensée
Après six précédentes tentatives infructueuses, le club le plus populaire du Mali, a finalement accompli lâexploit historique en se qualifiant pour la segment de groupe de la Ligue des champions africaine. Le club malien a finalement réusa à franchir cette étape tant convoitée en disposant de l’ASKO de Kara du Togo lors du 2ème tour préliminaire avec un score cumulé de (2-0) grâce à des réalisations de Zoumana Simpara 1-0 à lâaller à Bamako et 0-1 au retour à Lomé. Cette réussite marque un moment fort dans l’histoire du Djoliba AC, offrant l’espoir d’une efficiency prometteuse dans lâédition 2024-2023 de la compétition.
Le club de la capitale malienne a en effet connu six tentatives infructueuses en compétition, frôlant à plusieurs reprises la qualification, notamment contre des équipes comme Raja Membership, Zesco United et Sunshine Stars, ce qui témoigne de son potentiel souvent sous-exploité.
- Le Raja de Casablanca en 1999, 2-1 en match aller au Maroc et 2-1 au retour à Bamako (Tab 5-4)
- LâEspérance de Tunis en 2000, 3-2 en match aller à Tunis et 1-1 au retour à Bamako.
- Zesco United en 2008, 0-0 en match aller à Bamako et 2-1 au retour en Zambie.
- Le TP Mazembé en 2010, 1-0 en match aller à Bamako et 3-0 au retour à Brazza
- Sunshine Stars en 2012, 1-1 en match aller à Bamako et 1-0 au retour au Nigéria
- Le CR Belouizdad en 2022, 2-1 en match aller à Bamako et 2-0 au retour à A Sétif.
Ce résultat du Djoliba AC illustre une véritable consécration non seulement pour lâeffectif actuel, mais aussi pour toutes les légendes qui ont porté avec fierté les couleurs du club au fil des ans. Leur dévouement et leurs performances ont posé les fondations nécessaires pour atteindre ce niveau, témoignant ainsi de lâhéritage et de la passion qui entourent ce club emblématique du soccer malien finaliste malheureux de lâédition 2012 de la Coupe de la CAF.
Nous pensons notamment à Teninma Nâdiaye, Boureima Traoré « Bouramablé », Malale Nâdiaye, Soumaila Coulibaly, Soumaila Traoré « Soumalaba », Javier Abouta, Sékou Bagayoko, Amadou Diallo « docteur », Seyba Lamine Traoré, Oumar Bagayoko, Kalilou Doumbia, Lassana Fané « Lassa », feu Lassana Diallo, Harouna Macalou, Amadou Sidibé « Yaba », Adama Tamboura, Adama Coulibaly « Police », Yaya Coulibaly « Chinois », Daouda Diakité « Darou », Abdoul Karim Toumkara « Extra », Alfousseini Keita, Seydou Diallo « Capi », Mahamane Cissé, Idrissa Laïco Traoré, Cheick Oumar Bathily, Sory Ibrahim Bangoura, Samba Diallo, feu Guinbala Ouélé Toumkara, Salif Coulibaly, Mohamed Oumar Konaté, Salif Coulibaly, Boubacar Bangoura « Sokri », Oumar Camara, Barou Sanogo, Hamidou Sinayoko.
Cet exploit historique témoigne aussi de lâengagement inébranlable de dirigeants visionnaires qui, par leur leadership inspirant et leur passion indéfectible pour le Djoliba AC, ont su bâtir un club compétitif et renforcer son identité, faisant ainsi briller son nom sur la scène nationale et continentale. Il sâagit notamment de feu Tiéba Traoré, feu Tiékoro Bagayoko, feu Karounga Keïta Kéita « Kéké », feu Abdoulaye Traoré Tout « petit », Modibo Niangadou, feu Lassine T. Diarra pour ne citer que ceux-ci parmi une liste non exhaustive.
Elle témoigne aussi des efforts constants des dirigeants actuels, de démarquer le club dans le soccer africain et renforcer sa réputation. A lâexemple de Tidiani Médian Niambélé actuel président du club, Yeli Sissoko, Mamadou Konaté « EGK », Boubacar Monzon Traoré jâen faded.
Félicitations chaleureuses aux joueurs, au team methodology dirigé par le coach Mamadou Demba Traoré et aux supporters pour cet exploit historique ! Grâce à leur dévouement et à leur travail acharné, ils ont inscrit le nom de leur club dans les annales du soccer malien et africain en atteignant la segment de groupes de la plus prestigieuse compétition de club de la Confédération africaine de soccer. Cet accomplissement est une source de fierté non seulement pour eux, mais aussi pour tout le pays, et il ouvre la voie à de futures réussites. Le coach Mamadou Demba Traoré qui inscrit à jamais son nom dans lâhistoire du soccer malien en étant le premier à parvenir à qualifier un club malien à la segment de groupe de la LDC CAF.
Un club au glorieux passé
Le Djoliba AC, basé à Bamako au Mali, est en effet lâun des golf equipment les plus prestigieux du soccer malien. Fondé en 1960, il a connu de nombreux succès sur la scène nationale et continentale. Le club a remporté plusieurs championnats et plusieurs coupes nationales du Mali et a participé à plusieurs reprises à la segment de groupe de la Coupe de la Confédération africaine des golf equipment, où il a été finaliste malheureux en 2012 contre lâAC Léopards, 2-2 à lâaller à Bamako et 2-1 au retour .
Rejoindre le cercle des grands golf equipment africains, câest non seulement une reconnaissance des performances passées du club, mais aussi un signe de ses ambitions futures. Les golf equipment africains tels que Al Ahly, le Wydad de Casablanca, Mamelodi Sundowns ou encore lâEspérance de Tunis ont des palmarès impressionnants, et pour le Djoliba AC, cela signifie quâil doit continuer à investir dans des abilities, à renforcer son infrastructure et à développer sa stratégie pour rester compétitif.
Si Djoliba AC parvient à se maintenir à un niveau élevé, à participer régulièrement aux compétitions africaines et à obtenir de bons résultats, il pourrait effectivement solidifier sa space parmi les grands golf equipment dâAfrique. Cela nécessitera un engagement constant et des efforts tant sur le conception sportif quâadministratif.
La segment de groupes qui débutera en novembre 2024 promet dâêtre un moment décisif pour le Djoliba AC, un club dont les ambitions ne cessent de grandir. Le tirage au kind prévu le 7 octobre prochain à 10h GMT déterminera leurs adversaires et mettra en lumière les défis que lâéquipe devra relever pour se mesurer aux géants du soccer africain. Cette étape est souvent synonyme de grandes batailles sur le terrain, et le Djoliba AC, avec son riche historique et ses fervents supporters, espère briller de mille feux pour lâessor du soccer malien.
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C’est le même refrain chaque année. Les golf equipment burkinabè ne brillent pas en compétition interclubs de la CAF. L’AS Douanes avait pourtant bien débuté cette saison en Ligue des champions en sortant Coton FC du Bénin au premier tour préliminaire. Passé ce cap, les Gabelous s’étaient fixés comme objectif précis de se qualifier pour la segment de groupes. C’était mal compter sur le CR Belouizdad d’Algérie qui kind l’AS Douanes au deuxième tour préliminaire de la Ligue des champions de la CAF, saison 2024-2025.
Une mission chaotique pour une grosse cylindrée du championnat nationwide de soccer du Burkina Faso. “Si on veut être champion et faire du surplace, il n’y a pas de soucis. Maintenant si on veut jouer les phases de groupes, on doit se fixer des ambitions. Mettre les moyens pour les recrutements des joueurs qu’il faut. Avoir un encadrement de qualité, une bonne organisation autour de lâéquipe en espérant que tout ce qu’on air of mystery mis comme moyen, on pourra les récupérer plus tard avec les phases de groupes”, imply Salifou Ouédraogo.
L’Ãtoile Filante de Ouagadougou (EFO), l’autre représentant burkinabè en Coupe de la Confédération de la CAF, n’a pas aussi dérogé à la custom : élimination précoce au 2nd tour préliminaire contre Enyimba FC du Nigeria. Une réalité dans le soccer burkinabè qui de plus en plus, interpelle bon nombre d’observateurs. “Ces résultats sont à l’image de notre championnat. Il faut regarder le niveau des joueurs, leur formation pose problème. Il y a des joueurs qui n’ont même pas deux dans les centres de formation et qui jouent en première division. Il va falloir travailler par le bas et non par le haut. On doit comprendre ça,” déclare Ali Nikiema.
Si les Ãtalons du Burkina Faso ont réusa depuis 2013, à montrer sur le continent africain une image obvious du soccer burkinabè, l’arbre ne doit pas cependant cacher la forêt. La mission des golf equipment et le championnat nationwide soulèvent pas mal d’inquiétudes au Burkina Faso.
Ãchec répété des golf equipment togolais
Le bilan togolais nâest pas non plus reluisant en interclubs de la CAF. Aucun club du Togo ne se retrouve en segment de groupes après le deuxième tour préliminaire. Tous se sont déjà fait éliminer. Les compétitions se poursuivront sans eux. Une nouvelle désillusion qui pousse le public à émettre tant d’interrogations. Incapable de sâimposer ni à domicile ni à l’extérieur, l’ASKO de Kara a montré qu’elle nâa pas de quoi bomber le torse face au Djoliba Athletic Membership du Mali. Ils ont trébuché en aller et retour (2-0, cumul des rankings) au deuxième tour préliminaire de la Ligue des champions de la CAF. L’ASCK qui a vu jusqu’avant le match retour, ses potentialities de qualification a été éliminée par l’Asec Mimosas de Côte d’Ivoire (2-0) dimanche au Stade Félix-Houphouët Boigny d’Abidjan. Au match aller joué à Lomé, l’équipe ivoirienne a quitté le Togo sur une défaite (2-1).
Les résultats du sport togolais et singulièrement du soccer sont en dents-de-scie. Les techniciens appellent cela de lâinconstance. Il est difficile dans ces prerequisites de collectionner des lauriers.
Ãchec programmé de Dadjè FC du Bénin
Le soccer béninois a encore échoué dans son procedure de se faire une space sur lâéchiquier continental. Le représentant en Ligue des champions de la CAF, Coton FC, s’est fait sortir dès le premier préliminaire par l’AS Douanes du Burkina Faso.
Les compétitions interclubs de la CAF sont des rendez-vous de lâexcellence pour les entités de depraved du soccer continental. Tous ceux qui se présentent se préguardian très sérieusement en mettant les moyens quâil faut dans le recrutement et le management des équipes. Malheureusement pour le représentant béninois en Coupe de la Confédération de la CAF, Dadjè FC, le cours des évènements après lâobtention du billet qualificatif nâa pas été au renforcement des acquis ou à leur consolidation, mais à la dispersion des forces. Si bien que les édifices ont été très profondément modifiés par rapport à celles victorieuses la saison dernière. Ce chamboulement a donné lieu à un recommencement préjudiciable à la cohésion et à la compétitivité des groupes.
Sur le conception continental, il nâest pas conceivable de faire du colmatage surtout quand on doit affronter des équipes dâAfrique du nord dont les habitudes de management sont proches de lâEurope. Il faut se présenter devant elles en plentiful forme, pour relever les défis physiques et solutions. Ce qui nâétait pas le cas pour Dadjè FC face à la RS Berkane du Maroc. Les lacunes étaient trop criardes. 7-0 sur l’ensemble des deux matchs.
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Alors que près de la moitié des pays africains ne disposent pas de stades conformes aux exigences de la CAF, la Côte d’Ivoire capitalise sur cette mission pour renforcer ses relatives avec les autres fédérations africaines et accroître son affect diplomatique sur le continent.
La Côte d’Ivoire la joue comme le Maroc
Huit mois seulement après la CAN 2023, elles seront pas moins de huit international locations à se retrouver en Côte d’Ivoire à l’occasion des 3ème et 4ème journée des éliminatoires à la CAN 2025, qui vont se tenir du 8 au 15 octobre. En plus des hommes d’Emerse Faé, le Bénin, le Burkina Faso, le Burundi, l’Ethiopie, la Guinée, le Rwanda et la Sierra Leone joueront des matchs de la trêve internationale d’octobre sur le sol ivoirien. Une liste à laquelle pourrait très prochainement s’ajouter le Ghana depuis le retrait de l’homologation du Baba Yara Stadium de Kumasi.
Ces matchs auront lieu dans quatre des six stades homologués que compte le pays : le Stade Félix Houphouët-Boigny à Abidjan, le Stade Olympique Alassane Ouattara d’Ebimpé, le Stade Charles Konan Banny de Yamoussoukro et le Stade Laurent Pokou de San Pedro. Une mission qui sâapparente à une véritable mini-CAN, offrant à la Côte d’Ivoire une visibilité sans précédent sur la scène footballistique africaine.
Une exposition qui, jusqu’à présent, profitait davantage au Maroc, main hôte de ces rencontres, qui bénéficie d’un avantage diplomatique en accueillant fréquemment ces matchs, renforçant ainsi ses relatives avec d’autres fédérations africaines. Désormais, la Côte d’Ivoire entend suivre cette stratégie en accueillant les matchs de qualification pour la CAN 2025 de plusieurs international locations. Ce qui permet au pays de tisser des liens privilégiés avec des international locations voisines, consolidant ainsi ses relatives diplomatiques.
Un hub régional et africain
En offrant un soutien logistique et des infrastructures modernes, la Côte dâIvoire se positionne comme un partenaire fiable pour ces international locations, notamment le Bénin et la Guinée, qui ont déjà joué leurs premiers matchs sur le sol ivoirien lors des fenêtres de qualification en septembre 2024. Le pays se positionne aussi comme un leader dans la sous-région, mais aussi à l’échelle du continent. Une politique impulsée par le président de la République ivoirienne, Alassane Ouattara, dont la volonté était de construire et de mettre à la disposition de la jeunesse africaine des infrastructures de dimension mondiale et contribuer ainsi à l’unité du continent et de ses peuples, d’après Metch Silas, ministre délégué chargé des Sports et du cadre de vie auprès du Premier ministre, ministre des sports et du cadre de vie.
Lire aussi : Trophée des Champions : la Côte d’Ivoire officiellement dépose sa candidature
En somme, l’initiative ivoirienne de mettre à disposition des infrastructures pour d’autres international locations africaines va au-delà du straight forward cadre sportif. Elle s’inscrit dans une imaginative and prescient à prolonged terme de rayonnement continental et mondial. En créant un environnement propice aux grandes compétitions internationales, la Côte d’Ivoire développe son image et apparel l’consideration des cases internationales comme la FIFA et la CAF. Elle a pour exemple récemment failli accueillir le Trophée des champions qui doit opposer le Paris Saint-Germain à l’AS Monaco. Le pays devient également un modèle pour dâautres international locations qui, grâce à cette exposition, pourront bénéficier de son expérience en matière dâinfrastructures et d’organisation. Un joli pied de nez au passé récent pour un pays dont l’équipe nationale avait dû aller jouer hors de ses bases à quelques mois de la CAN, faute de stade homologué.
Les matchs éliminatoires de la CAN 2025 prévus en octobre en Côte d’Ivoire
- Côte dâIvoire – Sierra Leone (Stade Laurent Pokou)
- Guinée  – Ãthiopie (Stade Olympique Alassane Ouattara)
- Burkina Faso – Burundi (Stade Charles Konan Banny)
- B̩nin РRwanda (Stade F̩lix Houphouet Boigny)
- Burundi РBurkina Faso (Stade F̩lix Houphouet Boigny)
- Comores – Tunisie (Stade Olympique Alassane Ouattara)
- Ghana  – Soudan (en attente de confirmation)
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Et même sâil nâa pas encore marqué, Victor Osimhen réalise de bons débuts. Il a ainsi distribué deux passes décisives en deux matchs disputés, dont une le weekend dernier lors du succès 3-1 dans le derby contre Fenerbahçe. Les dirigeants de Galatasaray sont satisfaits, et ne veulent pas entendre parler de déhalf. En effet, alors que plusieurs médias annoncent que le meilleur joueur africain 2023 a une clause lui permettant de partir dès janvier, le vice-président de Galatasaray dément catégoriquement. Ibrahim Hatipoglu lâa confié au micro de Spor Kazani. « Il nây a aucune possibilité pour quâOsimhen nous quitte en janvier. Dâailleurs, on travaille pour quâil joue toujours ici la saison prochaine. Il sera joueur de Galatasaray jusquâen juin. Parler de ces choses sert uniquement à attirer lâconsideration et gâcher le plaisir de voir jouer Osimhen », martèle le dirigeant.
Victor Osimhen parti pour rester ?
Ibrahim Hatipoglu va dâailleurs plus loin. Le vice-président se projette déjà vers la saison prochaine, avec toujours Victor Osimhen dans lâeffectif des Stambouliotes. « Il montre à chaque match lâaffection quâil a pour Galatasaray. Il est heureux. Il est sous contrat jusquâen fin de saison. Maintenant nous allons penser à comment continuer avec lui ces prochaines saisons. Discuter de sâil va partir au milieu de la saison ou non nâa aucun sens ». Reste à savoir la region du Nigérian de 25 ans dans tout ça. Il a notamment clamé son envie de jouer en Premier League.
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Les académies telles qu’Alima de Blaise Matuidi à Oyo ou encore la Tony Parker Adéquat Academy qui pourrait connaître une extension en République Démocratique du Congo représentent bien plus que des centres de formation pour jeunes athlètes. Elles sont le résultat d’une imaginative and prescient partagée : utiliser le sport pour offrir à la jeunesse africaine des opportunités éducatives, professionnelles et personnelles. Ces infrastructures permettent non seulement de repérer et développer des abilities, mais aussi de favoriser l’emploi native et de moderniser les infrastructures sportives.
L’académie Alima, soutenue par le président du Congo, Denis Sassou-Nguesso, et des icônes du soccer comme Eto’o et Adebayor, a pour ambition de devenir un centre d’excellence pour les jeunes footballeurs, leur offrant une formation à la fois sportive et citoyenne. Un projet fruit d’une collaboration spellbinding entre l’ancien global tricolore et Nanga Ibata, entrepreneur dynamique à Brazzaville. Quant à la Tony Parker Adéquat Academy, elle vise à révolutionner la formation de la balle orange en RDC, en partenariat avec les autorités locales et en s’inspirant du modèle de formation qui a permis à Parker de réussir en NBA.
Lire aussi : Pluie de légendes africaines pour l’Académie Alima
« Je suis animé par la transmission, le but c’est de redonner. J’ai commencé avec une académie en France, à Lyon. On a travaillé avec un Congolais l’année dernière et ça se faded très bien, il s’appelle Paul et il vient d’ici justement. C’est le premier joueur qui vient du Congo jusqu’en Euroleague avec un contrat legit. Et donc mon capitaine aussi ça fait 10 as qu’il est à l’ASVEL, il est congolais aussi. Je me suis dit que peut-être on pourrait trouver des synergies et venir faire une académie ici pour y développer le basket », a confié l’ancien champion NBA avec les Spurs, à Sport Data Africa. « C’est vrai que le soccer est le sport numéro 1, mais je me suis rendu compte qu’il y a plein de abilities ici. Ils n’ont juste pas les plateformes pour réussir. C’est pour ça qu’on veut bien sûr travailler sur les infrastructures, amener le savoir-faire, venir régulièrement ici avec nos propres coachs, amener notre abilities et puis après les développer et les faire devenir legit en France. »
L’Afrique centrale, nouveau hub du sport élite
Des projets, comme ceux qui ont eu un coup de projecteur à grande échelle durant ce week-end axé sport, s’inscrivent dans une stratégie plus mammoth visant à faire de l’Afrique centrale, en particulier le bassin du Congo, un carrefour des académies sportives d’élite. La région bénéficie dâun potentiel énorme, tant par sa population jeune et passionnée de sport que par l’implication de personnalités influentes prêtes à investir dans l’avenir du sport. La visite de Parker à Kinshasa et les échanges entre Matuidi et Eto’o à Oyo témoignent de la synergie régionale en marche.
« Il faut continuer à soutenir de tels projets pour notre continent et dans notre continent. J’espère que les jeunes seront conscients de cette belle opportunité qui leur est offerte et qu’ils sauront la saisir », a de son côté argué Samuel Eto’o.
L’Afrique centrale peut désormais devenir un hub pour le développement du sport, en attirant des investissements internationaux et en capitalisant sur ses abilities locaux. En formant ses jeunes au niveau mondial, la région pourrait un jour rivaliser avec les plus grandes international locations sportives sur la scène internationale. C’est du moins l’ambition qu’elle va désormais tenter d’avoir en tentant de transformer ces deux essais.
Un impression au-delà du sport
Les avantages de ces académies vont bien au-delà de la straight forward formation d’athlètes. Elles participent à la création d’emplois, à la stimulation économique locale et à la promotion des échanges culturels entre les deux Congo et au-delà . Elles incarnent également un symbole fort de l’unité africaine, comme le souligne Blaise Matuidi en évoquant l’Académie Alima comme un « pont entre les deux Congo. »
De plus, ces initiatives attirent lâconsideration des investisseurs et créent des opportunités pour les jeunes abilities africains de s’épanouir sans avoir à quitter le continent.
Avec lâessor des académies sportives et lâimplication de figures sportives emblématiques, l’Afrique centrale est en convey de se positionner comme un carrefour stratégique pour l’excellence sportive. Ces projets démontrent que le sport peut être un moteur puissant de transformation sociale et économique, et ils pourraient bien propulser la région vers une nouvelle ère de succès sportif et de développement durable.
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Lire aussi : Sénégal : Aliou Cissé, prolongation de contrat en vue
Compétition à la veille de laquelle il a été révélé que le sélectionneur des Lions accusait plusieurs mois d’arriérés de salaires. Pas la meilleure des façons de préparer le tournoi. Et bien des mois après, la mission du technicien n’est toujours pas réglée. D’après les informations de Sport Data Africa, il n’avait toujours pas reçu la totalité de ses arriérés au moment de la trêve internationale de septembre. Speak qu’il a confirmée à demi-mots en conférence de presse. Autre problème qui ne fait qu’alourdir une mission déjà tendue. La FSF, bien que favorable à sa prolongation, se heurte au manque de réponse du ministère des Sports (payeur des salaires de Cissé et qui doit valider cette prolongation), laissant planer le doute sur l’avenir de l’entraîneur.
Le ministère des Sports face à lâconception publique
Le silence du ministère s’explique en partie par un désamour croissant entre Aliou Cissé et une frange des supporters sénégalais. Malgré son succès en 2021 en remportant la première CAN de l’histoire du Sénégal, Cissé fait désormais face à des opinions acerbes concernant ses choix tactiques et la baisse de niveau des performances de l’équipe. Le match nul contre le Burkina Faso lors des éliminatoires de la CAN 2025 (1-1) a marqué un tournant, avec certains membres de la FSF et une partie des followers demandant son déhalf. Avant cela, le match nul face à la RD Congo (1-1), toujours à domicile mais dans le cadre des éliminatoires au Mondial 2026, avait montré les prémisses de ce vent de contestation née de la déception de la CAN 2023.
Lâconception publique joue ainsi un rôle majeur dans ce blocage contractuel. Certains observateurs estiment que le ministère hésituation à reconduire un entraîneur qui, malgré son palmarès, semble être à la fin dâun cycle avec les Lions. Les discussions en coulisses laissent entendre que la reconduction de Cissé pourrait être mal perçue, tant par une partie de l’exécutif de la FSF que par le public, qui exprime de plus en plus sa frustration.
Des enjeux au-delà du terrain
Cette impasse contractuelle, au-delà de ses aspects financiers, souligne également des tensions plus larges sur la gestion de lâéquipe nationale. En dépit de la défense de Cissé par certaines figures du soccer sénégalais, comme le directeur methodology nationwide Mayacine Mar, l’absence de clarté de la half des autorités sportives suscite de nombreuses interrogations. La nouvelle ministre des Sports pourrait également être influencée par la volonté de réextinct plus globalement le cadre de gestion de l’équipe nationale et de répondre à la pression populaire.
Quel avenir pour Aliou Cissé ?
Alors que le Sénégal se prépare à disputer les 3ème et 4ème journées des éliminatoires de la CAN 2025 en octobre, lâavenir dâAliou Cissé reste incertain. En l’absence de renouvellement formel de son contrat, Cissé pourrait en l’état quitter son poste, ouvrant ainsi une nouvelle ère pour lâéquipe nationale. Une thèse qui n’est pas à l’ordre du jour pour le technicien, qui souhaite prendre half à la CAN 2025 et au Mondial 2026 avec les Lions. Des objectifs qu’il s’est fixé en dépit de sa mission contractuelle.
Cette mission reflète un dilemme plus mammoth : savoir si lâheure est venue pour le Sénégal de passer à un nouveau cycle sous la direction dâun nouvel entraîneur, ou si Aliou Cissé, avec son expérience et son attachement à lâéquipe, peut encore apporter une valeur ajoutée dans les compétitions futures.
Dans l’attente d’une décision du ministère, Aliou Cissé et les Lions doivent faire face à une préparation compliquée pour les échéances à venir, alors que le soutien populaire semble se dissiper progressivement.
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Lire aussi : Congo РAcad̩mie Alima : Blaise Matuidi au coeur du d̩veloppement du soccer native
Inaugurée en 2024, lâAcadémie Alima a pour mission de repérer et extinct des jeunes abilities congolais dans un cadre alliant sport et éducation. Ce projet sâinscrit dans la imaginative and prescient de Blaise Matuidi de contribuer au développement du soccer en Afrique, en mettant lâaccent sur la transmission de valeurs sportives et citoyennes. Lâacadémie ne se contente pas seulement de extinct des joueurs, elle cherche aussi à faire émerger des citoyens responsables et capables de relever les défis de demain.
Lâacadémie de #Football de lâAlima à Oyo: un motif de satisfaction pour la jeunesse congolaise. pic.twitter.com/TYEGALyz4z
— Présidence de la République du Congo – Officiel (@PR_Congo) September 21, 2024
Visite symbolique, impression au-delà des frontières
La présence dâicônes telles que Samuel Etoâo, quadruple Ballon dâOr africain, et ses anciens rivaux devenus alliés dans cette space off, a été l’un des aspects d’orgue. Cette visite symbolise lâunité des anciens champions autour dâun projet commun : offrir aux jeunes générations les outils nécessaires pour percer au plus haut niveau du soccer global. Ces légendes ont profité de lâoccasion pour partager leur expérience avec les jeunes abilities et leur insuffler lâespoir et la détermination nécessaires pour réussir.
« Il faut continuer à soutenir de tels projets pour notre continent et dans notre continent. J’espère que les jeunes seront conscients de cette belle opportunité qui leur est offerte et qu’ils sauront la saisir », a confié Samuel Eto’o à Sport Data Africa durant la visites des installations encore en construction et qui attendent encore de pouvoir accueillir les futurs pensionnaires. Même son de cloche du côté d’un Emmanuel Adebayor tout aussi enthousiaste : « C’est bien pour le continent. Maintenant espérons que parmi les jeunes qui vont sortir d’ici, on retrouve de grands noms au plus haut niveau dans quelques années. »
LâAcadémie Alima veut s’inscrire parmi les modèles pour lâavenir du soccer africain. En s’associant avec des figures emblématiques du sport, ce projet pourrait servir de tremplin pour de futures collaborations dans d’autres pays du continent, incitant les gouvernements et les acteurs du soccer à investir davantage dans les infrastructures et la formation des jeunes.
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Des golf equipment ont pris des renseignements, mais â¦
Disposant dâun profil intéressant, Jodel Dossou qui jouait la saison dernière au FC Sochaux a été pourtant sollicité par plusieurs golf equipment que ce soit en France avec le FC Annecy, le Carrying Membership de Bastia et le Pau FC qui ont sondé son entourage et même en Autriche avec lâintérêt de WSG Tirol. Toutefois, tous ses golf equipment ne sont pas allés jusquâau bout.
Les responsables du WSG Tirol ont fait appel à l’global béninois, qui nâa joué que quelques minutes avec lâéquipe professionnelle du FC Sochaux la cette saison écoulée. Les dirigeants palois (Pau FC) ont entamé des discussions avec l’ancien ailier de Clermont Foot. Un contrat de deux ans, dâune valeur de 850 000 euros, aurait été envisagé.
Les rumeurs du mercato estival avaient envoyé Jodel Dossou au FC Annecy et au Carrying Membership de Bastia. Deux équipes évoluant en Ligue 2 française auraient poussé afin de le recruter en vue de renforcer leur effectif. Il y aurait des contacts entre les différentes occasions pour un accord définitif. Le FC Annecy aurait proposé un contrat de deux saisons, tandis que Bastia serait disposé à offrir un contrat dâune saison à Jodel Dossou.
Un retour au bercail ?
Face à la mission qui devient de plus en plus préoccupante pour des supporters des Guépards du Bénin, surtout des followers du joueur, certains proposent qu’il serait bon que Jodel Dossou rentre au pays pour relancer dans un club native. Un fan dira avec des précisions : « Même Rabiot, c’est maintenant il trouve Marseille. Des joueurs comme Sergio Ramos, Choupo-moting, Matip, Ben Yedder, Anthony Martial, Dele Ali, Ghislain Konan, Naïm Sliti, Adam Ounas, Samuel Kalu, Lavyn Kurzawa, Bouna Sarr, André Ayew, Chekou Kouyaté, Bas Dost, Balotelli et bien d’autres stars du foot sont encore sans club et cherchent désespérément un level de chute. Ce n’est pas facile et les dernières saisons de Jodel Dossou à Sochaux ont tout compliqué pour le béninois. Un club qui va s’intéresser à lui, va d’abord chercher sa récente efficiency en club, et là , il ne verra absolument rien, c’est un vrai frein à moins qu’il ait un génie comme agent. à Mon avis, il doit revoir ses objectifs et chercher du côté exotique ou même revenir en Afrique. Memphis Depay dans la même mission a accepté de partir au Brésil. Islam Slimani et Riyad Boudebouz en difficulté, sont revenus en Afrique. Jodel Dossou peut faire de même s’il aime vraiment les Guépards du Bénin.»
Un autre d’ajouter : « Le Sénégalais M’Baye Niang est revenu aussi en Afrique au Wydad Athletic Membership du Maroc. Je trouve que nos joueurs ont des complexes. Enfin, c’est dans notre ADN. Le Béninois pense qu’il doit toujours être au sommet. On ne s’éduque pas à ce que demain tout peut basculer et nous serons obligés de repartir à zéro pour peut-être remonter ou peut-être pas. Jodel Dossou et ses proches doivent revoir leurs ambitions à la baisse s’ils pensent que ce qu’on leur imply n’équivaut pas à leur nom. Il est dans la descente. Je prie pour qu’il retrouve une vacation space. Le recount aujourd’hui doit être si conceivable financier, », a-t-il conclu.
Jodel Dossou a déjà joué pour deux golf equipment locaux, CIFAS et Tonnerre d’Abomey FC.
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La dernière de Sarah aurait peut-être été différente, si la Camerounaise nâavait pas croisé le chemin de la redoutable Taïwanaise I-Ching Cheng en 32es de finale du tournoi olympique de Paris 2024 le 28 juillet dernier. Ce soir-là , lâancienne licenciée du Quimper Cornouaille TT (Pro A Dames) nây a vu que du feu : une défaite 4-0 (10-12, 5-11, 1-11, 12-14) et une élimination précoce, signant la fin dâun parcours riche pour cette athlète qui a également disputé les Jeux de 2012 et 2021, espérant à chaque fois décrocher une médaille pour son pays.
Un parcours enrichi par la résilience
Malgré lâabsence de médaille olympique, Sarah laisse derrière elle un parcours inspirant. Née à Roubaix en France, elle sâest distinguée très tôt en tant que pongiste. En 2001, elle décroche une médaille de bronze aux championnats dâEurope cadets par équipe, suivie de plusieurs titres nationaux. Mais malgré ses succès précoces, elle choisit de suspendre sa carrière sportive pour se concentrer sur ses études de droit. Ce choix lui a permis de décrocher son diplôme et dâentamer une carrière dâavocate. Cependant, le tennis de table nâa jamais cessé de lâhabiter. Peu après son entrée dans le monde juridique, elle décide de reprendre sa raquette, cette fois pour représenter le Cameroun, le pays de son père.
Câest davantage sur la scène africaine que la pongiste va se faire un nom, en cumulant les médailles. En 2010, elle devient championne d’Afrique en straight forward dames et remporte une médaille de bronze par équipe. Elle participe également aux Jeux Africains, où elle décroche une médaille dâargent en 2019, et atteint la troisième space au Prime 16 africain en 2020.
Ping Sans Frontières : un héritage au-delà du sport
En dehors des tables de ping-pong, Sarah Hanffou a su laisser une empreinte durable grâce à son engagement social. En 2014, elle fonde lâaffiliation « Ping Sans Frontières », avec pour mission de promouvoir le tennis de table comme un outil éducatif, notamment dans les pays en développement. à travers cette initiative, elle distribue du matériel sportif, forme des entraîneurs et démocratise la pratique de ce sport pour les jeunes, les femmes et les personnes en mission de handicap.
Pour Sarah, le tennis de table nâest pas seulement une compétition, mais aussi un vecteur de valeurs humaines, de solidarité et dâéducation. Son travail à travers « Ping Sans Frontières » montre quâelle a trouvé un équilibre entre sa carrière sportive, son engagement caritatif et sa profession dâavocate. Aujourd’hui, elle quitte la scène internationale avec un sentiment partagé. Dâun côté, elle a laissé une marque indélébile sur le tennis de table africain, en inspirant des générations de jeunes pongistes. De lâautre, lâabsence de la médaille olympique tant convoitée laisse un goût dâinachevé.
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Les Congolais vont être reçus ce samedi (15h00 GMT) par les Angolais de Petro Atlético en marge du deuxième tour préliminaire retour. Vainqueurs au match aller (2-1) à Kinshasa, les Unionistes pourront se contenter d’un nul pour réaliser cet exploit qui reste leur objectif majeur sur le continent cette saison.
La détermination de tout un groupe
Pour une équipe qui n’en est qu’à sa deuxième participation en Ligue des champions de la CAF, réussir à s’imposer face à un big d’Afrique était difficile à imaginer. Et la victoire face à Petro au match aller a prouvé à suffisance que l’AS Maniema Union a bien évolué et a gagné en expérience.
La première victoire de son histoire devant le TP Mazembe en championnat (2-0) la saison dernière était déjà un élément annonciateur de ce nivellement vers le haut du club de Kindu qui devra tout de même éviter de perdre à Luanda après n’avoir gagné qu’avec un écart d’un but au match aller tout, en encaissant à domicile.
L’entraîneur de l’équipe, Papy Kimoto reste serein quant à ce. « Nous avons gagné le match aller avec seulement un but d’écart certes mais c’est prestigieux pour nous et nous sommes venus à Luanda avec la ferme détermination de ramener la qualification au pays » a-t-il déclaré.
Le technicien d’ajouter : « Pour créer l’exploit et écrire l’histoire, nous ne comptons que sur nous mêmes. Vous pouvez croire que Petro est plus fort que nous mais nous nous sommes confiants et sûrs de nos forces pour obtenir la qualification. »
L’ AS Maniema Union a voyagé en Angola avec tout son effectif au complet. Créé en 2005, Maniema Union participe non seulement pour la deuxième fois à la Ligue des champions de la CAF, mais le club a déjà aussi pris half à trois reprises à la Coupe de la Confédération sans réussir à se qualifier à la segment des groupes.
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Derrière Sadio Mané, on indicate les présences de Pierre-Emerick Aubameyang et Riyad Mahrez, avec respectivement 13,9 et 12,5 millions de suiveurs.
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Plusieurs stars avec très peu dâabonnés
Côté marocain, le joueur le plus coté sur Instagram nâest autre quâHakim Ziyech et ses 11 millions de followers. Brahim Diaz, le joueur du Right Madrid est suivi par 8,4 millions de personnes, tandis que ses coéquipiers Neyef Aguerd et Youssef En-Nesyri le sont par 3,2 et 2,5 millions de personnes. Lâautre égyptien de ce classement, Mohamed El Nenny, a 5,9 millions de suiveurs.
Ãtrangement, plusieurs stars du soccer africain nâont que très peu de followers. Le Nigérian Victor Osimhen, meilleur joueur africain en titre, nâen a que 5 millions, alors que, pour comparer, le Nigeria a une population de 218 millions dâhabitants. Kalidou Koulibaly de son côté en a 2,7 millions et le Camerounais André Onana 2,2 millions. Victor Boniface, le Nigérian de Leverkusen, en compte 800 000, soit un peu plus que son compatriote Ademola Lookman et ses 790 000 abonnés. Les Burkinabè Edmond Tapsoba et Bertrand Traoré en ont respectivement 700 000 et 400 000. Chancel Mbemba a lui 512 000 followers, Serhou Guirassy 302 000.
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Le vice-président de la Commission dâAudit et de Conformité de la CAF est également concerné par cette suspension pour interférence non autorisée dans le dessein de porter secours au secrétaire général de la CAF.
Le Directeur des Affaires Juridiques de la CAF et une consultante externe recrutée par le secrétariat de la CAF, sans lâaccord préalable de la Commission dâAudit et de Conformité, risquent également des sanctions, pour avoir tenté dâinfluencer la commission par un projet de rapport de la Commission d’Audit et de Conformité de sa prise de décision.
La Commission dâAudit et de Conformité, dans son rapport, soutient disposer dâune copie du contrat signé par la consultante le 16 août 2024 et contresigné par le secrétaire général de la CAF, Véron Mosengo-Omba et le directeur financier de la CAF en date du 14 Août 2024.
Lire sur le sujet : Un 2nd rapport accablant contre Véron Mosengo-Omba et la gouvernance de la CAF
La commission dit avoir invité la consultante à sa réunion du 7 septembre pour présenter son rapport. Et qu’à lâdiscipline de quatre heures dâéchanges avec elle, la Commission a constaté que le rapport de la consultante a été élaboré de manière à contredire toutes les allégations contenues dans le Rapport Confidentiel dit « Rapport GRC » préparé par la responsable gouvernance, risques et conformité de la CAF (Hannan Sur) contenant des allégations de dysfonctionnements au sein du secrétariat de la CAF.
La commission dâAudit et de Conformité a également désapprouvé les états financiers arrêtés au 30 juin 2023 de la CAF et le rapport de lâauditeur externe sây rapportant. Une décision prise à lâunanimité des 7 membres sur 7 présents selon le doc que nous avons pu consulter.
La commission dâAudit et de Conformité a justifié ses motivations du rejet des états financiers arrêtés au 30 juin 2023 et du rapport dâaudit les concernant à travers 5 aspects :
- Les états financiers de la CAF arrêtés au 30 Juin 2023 et le rapport dâaudit y afféhire se rapportent à lâexercice comptable du 1er Juillet 2022 au 30 Juin 2023. Soit avant la mandature de lâéquipe actuelle de la Commission. La Commission nâa pas pu avoir une assurance raisonnable sur lâexactitude des soldes dâouverture de la période concernée.
- Les états financiers arrêté au 30 Juin 2023 et le rapport dâaudit y afféhire sont envoyés à la commission le 3 septembre 2024, soit trois jours seulement avant la date de sa réunion. La commission sâest réunie le 7 septembre 2024 sans avoir eu le temps nécessaire pour examiner en profondeur les états financiers ou de procéder à des vérifications à même de valider les travaux de lâauditeur externe.
- Le rapport dâconception de lâauditeur externe envoyé à la Commission nâest pas accompagné de son rapport sur le contrôle interne ou de son appréciation professionnelle de la suffisance (ou de lâinsuffisance) des contrôles internes en space.
Lâauditeur a affirmé ne pas être au courant de lâexistence dâune enquête ouverte par la CAF au sujet dâun rapport confidentiel contenant, entre autres, des allégations de dysfonctionnements de contrôle interne.
- La Commission est au courant de lâexistence dâune enquête indépendante au sujet de possibles dysfonctionnements concernant, entre autres, un poste well-known des états financiers à savoir les subventions « FIFA Ahead » figurant au compte de résultat de lâexercice pour 30,4 M$.
Il nâest pas clair pour la Commission si les travaux de lâinvestigation indépendante ne mèneraient pas à des conclusions de nature à modifier significativement lâconception de lâauditeur externe.
- Les explications données à la Commission par lâauditeur externe au sujet dâune reprise de provision devenue sans objet « Provision No Longer Required » pour un montant de 25 millions de greenbacks nâont pas été suffisamment convaincantes pour les membres de la commission.
En dépit de sa tentative de rétention de paperwork et de ses multiples tentatives dâinfluencer le travail de la Commission dâAudit et de Conformité de la CAF dans le dessein de se blanchir, il est fort capability que les jours du secrétaire général de la CAF, Véron Mosengo-Omba, ainsi que certains membres du secrétariat général, sont comptés.
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Contrairement aux systèmes classiques de groupes ou à élimination directe, il permet aux participants de jouer contre des adversaires différents à chaque tour, tout en cherchant à équilibrer les affrontements pour que les équipes d’un niveau similaire se rencontrent. Le tout, en étant tous classés dans un groupe spellbinding.
Mais pour une partie du big public, ce nouveau layout de la Ligue des champions est encore flou, beaucoup ne comprenant pas comment s’est effectué le tirage au kind des adversaires et surtout comment se faded la segment de groupes. Alors, comment va se dérouler cette édition ?
Déroulement de la compétition
1. Half de Ligue Uncommon
- Nombre d’équipes : 36 équipes participent à cette segment de la Ligue des champions, contre 32 dans l’ancien layout.
- Matchs : chaque équipe joue 8 matchs, contre 8 adversaires différents (4 à domicile et 4 à l’extérieur), choisis en fonction de leur classement UEFA.
- Classement global : à la fin de ces 8 matchs, les équipes sont classées dans une ligue spellbinding, basée sur leurs aspects accumulés.
Lire sur le sujet : Bataille des droits TV en Afrique : Canal+ et Contemporary World TV face au risque du piratage
2. Qualification pour la segment à élimination directe
- Accès enlighten : les 8 premières équipes au classement à l’discipline de la segment de ligue spellbinding se qualifient directement pour les huitièmes de finale de la Ligue de champions.
- Barrages : les équipes classées de la 9ème à la 24ème space participent à un tour de barrage (matchs aller-retour) pour déterminer les 8 autres équipes qui rejoindront les huitièmes de finale.
- Ãlimination : les équipes au-delà de la 24ème space sont éliminées de la Ligue des champions.
3. Half à élimination directe
- Abilities : les équipes classées de la 9ème à la 24ème space jouent un tour de barrage (aller-retour) pour rejoindre les 8 qualifiés en huitièmes de finale de la Ligue des champions.
- Huitièmes de finale : les 16 équipes restantes s’affrontent selon un layout classique à élimination directe (match aller-retour).
- Quarts de finale, demi-finales et finale : aucun changement à ce niveau. Ce son toujours des confrontations aller-retour pour les quarts et demi-finales, et une finale spellbinding sur terrain neutre.
Les objectifs du nouveau layout
Plus de matchs : chaque équipe joue au moins 8 matchs, ce qui augmente le nombre total de rencontres dans la compétition.
Diversité des oppositions : les équipes rencontrent des adversaires de différents niveaux, ce qui rend la compétition plus imprévisible et intéressante.
Compétition plus équitable : le système suisse est censé équilibrer la compétition, en permettant à chaque équipe de rencontrer des adversaires de niveau similaire, mais aussi en renforçant le suspense tout au prolonged de la segment de ligue.
Plus de suspense : le classement spellbinding jusqu’au bout de la segment de ligue ajoute de l’enjeu à chaque match, même pour les golf equipment qui auraient été éliminés rapidement dans l’ancien layout de groupes.
Dates importantes et calendrier
Le calendrier reste similaire, avec une segment de ligue qui se déroule entre septembre et décembre, puis les phases à élimination directe à partir de février, et la finale en mai.
Le nouveau layout de la Ligue des champions fait aussi partie des efforts de l’UEFA pour renforcer la Ligue des champions face à des projets concurrents comme la Tremendous Ligue qui avait fait débat et divisé le monde du soccer.
Ce nouveau layout vise à offrir plus de spectacles et à maintenir l’attrait de la compétition tout au prolonged de la segment de ligue. Il pourrait aussi influencer la façon dont les droits de diffusion sont gérés, notamment en Afrique.
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Câest un wrestle entre titans auquel ont eu droit les passionnés du sport congolais au regard de péripéties ayant caractérisé lâadoption du projet du comité de normalisation. De lâavis du Pprésident de lâaffiliation des dirigeants du soccer du Congo (ADFCO) : « Nous avons émis le vÅu de trouver un layout du championnat qui soit si straight forward et consensuel. Pour nous, nous voulons un championnat qui se jouera en trois zones et qui nous donnera de lâencrage. Nous souhaitons vite retrouver le terrain avec un layout qui nous permettra de moins dépenser et qui permettra le développement du soccer congolais selon les normes de la FIFA et de la CAF. »
Face à la perspective de lâADFCO, le comité de normalisation hausse le ton en rappelant par la voix de son président : « Nous avons trouvé une troisième proposition ici. Les golf equipment veulent la montée de six golf equipment en division 1. Cependant, il faut que les propositions rencontrent ce qui se fait au niveau global. Nous ne devons pas rentrer dans les formules anciennes pour satisfaire simplement certaines personnes. »
Lire aussi : RD Congo : Le torchon brûle entre Mazembe, la FECOFA et la LINAFOOT
Finalement, câest une scission des golf equipment en deux groupes de 10, occupant la zone centre-sud, dâune half et la zone ouest-Est, dâautre half dans le but de juguler les dépenses qui sera choisie. Le championnat se disputant en deux phases ; celle en aller et retour pour chaque groupe de 10. Les quatre premiers de chaque groupe vont se retrouver pour les play-offs en segment classique dâaller et retour dans le but de déterminer le vainqueur du championnat tandis que les autres golf equipment vont sâadonner aux play-down afin de déterminer les relégués.
Le déficit budgétaire comme justificatif du projet
Il faut savoir que le nÅud du problème se trouve être financier, la fédération se constatant dans lâincapacité totale dâorganiser le championnat nationwide. Et pour space off, sa dépendance au trésor public que dénonçait jadis le Maréchal Mobutu à lâaffût du célèbre rapport Blumenthal.
Suivant lâillustre Pierre-Celestin Kabala Mwana Mbuyi, dans son ouvrage « Cent ans des sports en RDC », le Président Mobutu a sonné le glas de la concentration du sport lors dâun discours, le 4 février 1980, au parlement en ces termes.
« Les moments difficiles que nous traversons sur le conception économique ne doivent pas nous conduire à perdre nécessairement la face dans tous les domaines. Je pense par exemple aux sports où, à lâinstar de ce qui existe dans pas mal de pays, ce sont les particuliers privés qui en sont les principaux animateurs et promoteurs. Chez nous, on veut que ce soit lâÃtat qui sâoccupe de tout. Ce nâest pas long-established. Prenons le soccer, le sport roi, comme on dit. Qui ne se souviendra que le Zaïre, il y a quelques années, faisait littéralement trembler tous ses adversaires sur tous les stades africains, grâce à ses vaillants Léopards ? Aujourdâhui, les redoutables Léopards dâhier, ressemblent à peine à quelques vieux « chats bottés ». Il faut que la mission swap. Je ne voudrais rien dramatiser, mais je suis sure quâen nous organisant mieux, notre sport pourra refaire ground. Et je demande au Commissaire dâÃtat aux Sports et Loisirs de sây pencher sérieusement en recherchant surtout les formules qui mettraient les particuliers privés à contribution. Nous devons éviter à perdre à la longue tous nos meilleurs athlètes qui, faute dâun traitement adéquat au pays, voudront tous évoluer à lâétranger, les usaallant jusquâà adopter les nationalités étrangères. »
Les avantages de la zone économique spéciale sportive
Sans ambages, lâ Ãtat congolais sait que la poursuite de la croissance à un rythme soutenu nécessite la stabilité économique et la mise en Åuvre des réformes pour attirer davantage des investissements, notamment par lâamélioration du climat des affaires.
Une zone économique spéciale est, par définition, un espace bénéficiant dâun régime juridique particulier qui le rend plus attractif pour les investissements nationaux et étrangers. Il sied de souligner que lâattractivité de la zone économique spéciale découle des avantages fiscaux, parafiscaux et douaniers qui y sont organisés.
Au demeurant, le comité de normalisation a institué deux zones dâorganisation du championnat, celle centre-sud et ouest-est alors que la RDC compte 3 régions économiques, avec qui il faudrait établir une symétrie, à savoir : celle A comprenant la Ville de Kinshasa ; celle B comprenant le Bas-Congo, la Ville de Lubumbashi, la Ville de Likasi, la Ville de Kolwezi enfin celle C comprenant le Bandundu, lâEquateur, le Kasaï-Occidental, le Kasaï-Oriental, le Maniema, le Nord-Kivu, le Sud-Kivu, La Province Orientale et le Katanga.
Pour le Docteur en droit et Professeur Ordinaire des Universités, Jean-Michel Kumbu ki Ngimbi : « L’investissement se révèle être le facteur par excellence de la croissance économique et du développement qui consiste dans lâaugmentation des grandeurs économiques. La croissance économique direct elle-même des changements majeurs des constructions et dâimportantes changes correspondantes dans les prerequisites institutionnelles et sociales du pays. »
Ãtablir une zone économique spéciale sportive, câest faciliter les investissements dans le sport congolais et son retour dans le développement de lâéconomie nationale. La zone économique spéciale sportive est une partielle réponse à lâexpectative de la rentabilité du soccer congolais par ricochet du sport que nombreux amoureux du ballon rond espèhire.
Ainsi le secrétaire général de lâADFCO Man Mafuta déclarait : « Lâépineuse query reste celle du financement. Moi, je pense pour que le secteur puisse évoluer, il faut quâà un moment donné le Gouvernement swap son regard vis-à -vis du sport. Le sport ce nâest pas une histoire de la détente seulement. Pour preuve, quand vous voyez les fonds que débourse lâEtat congolais lorsque nous devons prendre half aux compétitions africaines et quand les Léopards doivent aller participer dans les compétions comme les CHAN, les CAN, Câest des millions. Pourquoi débourser les millions en aval et ne pas avoir des résultats quâen amont, on peut soutenir les golf equipment de soccer et avoir des résultats. »
Si du choc des idées jaillit la lumière, la zone économique spéciale sportive peut-elle naître consécutivement à la création du nouveau layout du championnat national ?
Contribution de Gauthier PIKADJO, chercheur en droit des sports
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Cette défaite a été précédée par une série des difficultés rencontrées par V. Membership pour rallier l’Afrique du sud. Tout d’abord le délai avec lequel l’Afrique du sud a délivré les visas à la délégation du club devant se rendre à Cape Metropolis. Ensuite, le retard mis par les autorités sud-africaines pour donner l’autorisation d’atterrissage à l’avion affrété par le club kinois pour transporter l’équipe au lieu du match.
Un recrutement bling-bling qui ne porte pas encore de fruits
Tout le monde s’attendait à voir à quoi allait ressembler l’équipe de l’AS V.Membership après le mercato annoncé XXL avec plus de 80% des joueurs venus de l’extérieur du pays. Mais sur le terrain, on peut bien sentir que la mayonnaise tarde à prendre. Lors des matches amicaux face aux grosses écuries, V.Membership s’est fait dominer, non seulement au score, mais aussi dans le jeu.
Lire aussi : AS V.club, un recrutement bling-bling
La première défaite en amical face à un big club, a été concédée face à l’AS Maniema Union (0-1), un des deux représentants de la RDC en Ligue des champions de la CAF. Mais celle qui a sonné la révolte est celle concédée face à l’AS Otoho du Congo Brazzaville (1-4) au Stade des Martyrs.
Après ces matches, les supporters commençaient déjà à réclamer le déhalf du coach Abdeslam Ouaddou et à remettre en space off le recrutement effectué lors du mercato.
La vraie-fausse démission de Ouaddou actée par V. Membership
Sa tête réclamée par les supporters depuis Kinshasa, Abdeslam Ouaddou a vécu la colère des followers de V.Membership en Afrique du sud lors de la défaite face à Stellenbosch (0-2) en Coupe de la Confédération.
Le technicien marocain a reçu des projectiles venant des tribunes. Chose qui l’a révolté au level d’annoncer à la conférence de presse d’après match que c’était son dernier match sur le banc de V.Membership car, étant un coach professionnel, il ne pouvait plus continuer à travailler dans des telles prerequisites.
Mais il a fini par se raviser 4 jours plus tard en adressant un message aux V.clubiens pour leur dire « qu’il allait bien après avoir passé des examens médicaux. Et qu’il allait se remettre dès ce mercredi sur le terrain avec son big frère et respecté coach Raoul Shungu ainsi que les autres membres du team pour mener les troupes au wrestle pour tenter d’arracher la qualification à Kinshasa, tout en appelant les supporters à l’unité. »
Alors qu’Abdeslam Ouaddou écrivait ce texte, la direction de l’AS V.Membership avait déjà décidé de prendre acte de sa démission après ses propos tenus à Cape Metropolis, sauf que la notification lui a été faite bien après. Dans une correspondance lui étant adressée, signée par le président de l’équipe, Amadou Diaby, V.Membership lui a signifié la prise d’acte de sa démission et lui a proposé « d’engager les discussions afin de convenir des conséquences financières liées à cette démission. »
Diaby appelle à l’unité
Cette décision de la direction de l’AS V.Membership de prendre acte de la démission d’Abdeslam Ouaddou est arrivée un jour après les propos du président Amadou Diaby sur les ondes de Prime Congo Fm, disant ne pas avoir eu sur sa table une démission écrite du technicien marocain qui, jusqu’à preuve du contraire, restait coach de l’équipe.
Une sortie médiatique qui n’avait pas beaucoup plu aux supporters de V.Membership qui tenaient absolument à voir Abdeslam Ouaddou partir. Cette décision de finalement prendre acte de la démission du coach marocain va peut-être apaiser les tensions avant le match retour contre Stellenbosch, prévu le dimanche 22 septembre au Stade des Martyrs de Kinshasa.
Amadou Diaby avait appelé les supporters de V.Membership à rester unis derrière l’équipe et à faire confiance à son projet qui est entrain d’être mis en space pour la professionnalisation de l’équipe.
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L’échec de la communication : une brèche exploitée par le piratage
Contemporary World TV, en décrochant les droits exclusifs de la Ligue des champions pour les 26 pays de la région, a fait souffler un vent de renouveau dans le paysage audiovisuel africain. Beaucoup ont dans un premier temps salué l’arrivée d’une concurrence qui, a priori, aurait pu profiter au consommateur. Sauf que cette percée sâest accompagnée de lourdes difficultés liées à la communication et à la distribution. Beaucoup dâabonnés, habitués à Canal+, ont découvert trop tard que leur diffuseur historique nâavait plus les droits complets de la Ligue des champions. Ils se sont réengagés, pensant pouvoir suivre les matchs, alors qu’en réalité, Canal+ diffusera seulement les meilleures affiches de chaque journée et un journal dédié le mercredi.
De l’autre côté, Contemporary World TV peine à se rendre accessible malgré les sous-licences vendues à plusieurs chaînes publiques africaines. Sa distribution est limitée dans certaines zones, et la communication minimaliste de la chaîne togolaise laisse les amateurs de soccer européens dans lâlack of knowledge. Certains ne sachant même pas que Contemporary World TV détient les droits de diffusion, d’autres ignorant comment s’abonner ou nâayant tout simplement pas accès au provider dans leur région. Une mission qui crée une frustration chez les amateurs de soccer, qui, privés d’une resolution straight forward et claire, se tournent vers des méthodes conceivable picks : le piratage.
Un piratage déjà bien ancré en Afrique sub-saharienne, qui pourrait connaître une nouvelle expansion. Les followers, désespérés de ne pouvoir suivre leurs équipes favorites, nâhésitent pas à contourner les boundaries en accédant illégalement aux diffusions through internet. Cette tendance risque d’être exacerbée par l’absence d’une offre claire et accessible pour la Ligue des champions, une compétition qui s’émyth sur toute la saison, là où l’Euro, la CAN ou le Mondial n’excèdent pas 4 semaines.
Canal+ contre-attaque⦠en anglais
Face à la montée en puissance de Contemporary World TV, Canal+ a trouvé une parade en ouvrant son bouquet anglophone à ses abonnés through les chaînes de SuperSport Football et SuperSport Football Plus qui diffusent la LDC en anglais. Sans changer de décodeur et moyennant un supplément à leur abonnement de depraved allant de 2000 à 5000 francs CFA, les abonnés peuvent ainsi accéder à ces chaînes et suivre les rencontres. Formule qui a déjà fait ses preuves lors du Mondial 2022, avec succès.
Ainsi, les matchs de la Ligue des champions sont disponibles en anglais, un avantage pour Canal qui tente de fidéliser sa clientèle malgré la perte des droits de diffusion complets. Mais cette stratégie reste une resolution temporaire, et elle ne résout pas les attentes dâun public francophone qui sâest habitué à suivre les commentaires dans sa langue. De plus, elle ne fait que souligner la complexité croissante du marché de la diffusion sportive en Afrique.
Une concurrence au détriment des abonnés
Cette mission met en lumière un problème fondamental : la confusion que cette bataille crée pour les consommateurs. Avec deux acteurs se partageant les droits, les abonnés ne savent plus où se tourner pour suivre leurs compétitions préférées. Contemporary World TV, malgré ses efforts pour se positionner en tant que nouveau leader, n’a pas encore su bâtir une infrastructure de communication solide et une distribution suffisamment mammoth pour rivaliser pleinement avec un acteur très bien implanté et qui jouit d’une notoriété supérieure. Deux ans après le coup du Mondial 2022, la chaîne togolaise marque le pas et semble ne pas avoir une stratégie définie. Preuve avec ses audiences durant la CAN 2023 et l’Euro 2024.
De son côté, Canal+ ne imply qu’une resolution partielle, insuffisante pour satisfaire pleinement les amateurs de soccer. Les nombreux griefs adressés par les amateurs de ballon rond sur les réseaux sociaux pendant l’Euro 2024 ou depuis ce 17 septembre et le début de la campagne de Ligue des champions en sont la parfaite illustration.
Si cette mission perdure, elle pourrait conduire à une chute des abonnés pour les deux groupes. Les consommateurs, frustrés, risquent de se tourner de plus en plus vers des moyens illégaux pour accéder aux compétitions. Le piratage, déjà bien présent, pourrait devenir la norme pour de nombreux followers de soccer en Afrique sub-saharienne.
Un marché sportif à redéfinir
L’enjeu pour Canal+ et Contemporary World TV ne se limite pas seulement à une bataille pour les droits de diffusion. Il s’agit de redéfinir l’accès aux compétitions sportives dans une région où le sport est une véritable passion populaire. Si les deux groupes ne parviennent pas à répondre aux attentes des consommateurs en matière de simplicité, de disponibilité et de coût, le risque est big de voir se multiplier les plateformes de streaming pirate, au détriment de lâindustrie audiovisuelle légale. Tout un éco-système s’en trouverait chamboulé.
Les deux entités, bien qu’en region de power dans le marché des droits sportifs en Afrique, risquent de se retrouver les grands perdants de cette bataille. Pour éviter ce scénario, les deux diffuseurs devront revoir leur approche, notamment en matière de communication et de distribution, afin de proposer une offre claire et accessible pour le plus big nombre. La direction aux droits sportifs ne pourra être gagnée que si elle sâaccompagne dâune stratégie solide pour conquérir et fidéliser les abonnés, tout en réduisant l’attractivité du piratage.
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La disparition de la maman de 33 ans est jugée inquiétante, puisqu’elle n’a plus donné signe de vie depuis le mardi 10 septembre. Aperçue pour la dernière fois au provider d’assistance maternelle à Sotteville-lès-Rouen, la Béninoise a depuis disparu des radars. Le fait qu’elle ne revienne pas chercher son enfant en fin de journée ayant servi à alerter les products and companies de police.
Lire aussi : Odile Ahouanwanou : « Le niveau de l’heptathlon en Afrique est bas »
Une disparition qui fait parler dans la localité, car Odile Ahouanwanou jouit d’une little notoriété. La native de Savalou est licenciée au Stade Sottevillais 76. Elle y est également entraîneuse des jeunes, en plus et surtout d’être une athlète internationale. Représentante du Bénin, elle est triple championne d’Afrique en heptathlon et a participé aux Jeux Olympiques de Londres et de Tokyo, étant même porte-drapeau de sa délégation. Elle détient également le file nationwide du Bénin dans cette discipline, ainsi que sur le 100m haies, le saut en hauteur et le lancer du poids.
Depuis l’annonce ce sa disparition, ceux qui la connaissent dans la localité mais aussi la population béninoise espèhire qu’elle sera retrouvée saine et sauve. Faute de signalement pour l’heure, pour tenter de la retrouver, la police indique qu’Odile Ahouanwanou mesure 1,78 m, est de corpulence athlétique, a les yeux marron, les cheveux courts et noirs. La tenue quâelle portait au moment de sa disparition est en revanche inconnue.
#AppelATémoin | Aidez nos enquêteurs : Odile a disparu depuis le 10 septembre de #SottevilleLèsRouen. Elle a déposé son enfant à l’assistante maternelle le matin et n’est pas earnings le chercher.
Sa dernière localisation est Neufchâtel-en-Bray. Elle se déspace en Polo Volkswagen pic.twitter.com/6BrwN53NIk— Police nationale 76 (@PoliceNat76) September 17, 2024
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Une space de co-leader avec le Sénégal
Très timides en début de match contre les Lions du Sénégal lors de la première journée des éliminatoires de la CAN 2025, les Ãtalons du Burkina Faso ont réusa à faire une belle entame de jeu contre le Malawi. Pendant les 30 premières minutes, ils ont poussé mais ont péché dans les derniers gestes. à la 35e minute, ils vont surprendre le Malawi pour ouvrir le score sur une tête plongeante de Lassina Traoré. Trois minutes plus tard, l’attaquant du Shakhtar Donetsk double la mise à 2-0.
En seconde période et à la 60e minute, suite à une most major d’un défenseur du Malawi en pleine ground de réparation, l’arbitre central de la rencontre, Bouchra Karboubi, accorde un penalty aux Ãtalons qui sera transformé par Hassane Bandé. Après le troisième but, les hommes de Brama Traoré se relâchent et commettent des erreurs défensives qui vont permettre au Malawi de réduire le score à la 80e minute (3-1).
Avec cette première victoire de Brama Traoré avec les Ãtalons, le Burkina Faso occupe la première space du groupe L devant le Sénégal avec qui, ils ont fait match nul 1-1 lors de la première journée, avec 4 aspects +2.
Le Burundi pour rectifier le tir
Une victoire importante mais avec un peu de réussite et cela appelle au travail pour faire ce quâil faut et aller chercher si conceivable les six aspects face au Burundi lors des 3ème et 4ème journées des éliminatoires de la CAN 2025. Dâailleurs, le sélectionneur des Ãtalons du Burkina Faso, Brama Traoré sait quâil va devoir convenablement préparer son équipe pour cette double inequity et quâil faudra tout mettre en Åuvre pour que les choses se passent au mieux. Dans ce sens, Brama Traoré a trois priorités absolues avant le rendez-vous d’octobre prochain.
Lire sur le sujet : CAN 2025 (Q) -Burkina: Brama Traoré sur lâabsence de Bertrand et Dayo
Même si techniquement parlant le Burkina Faso dispose dâun effectif qui ferait rêver nâimporte quel sélectionneur sur le continent, Brama Traoré a tout de même trouvé des difficultés et notamment sur le conception défensif, voire offensif. L’équipe ne marquait pas autant que ça. Cela sâest également confirmé au cours des deux premières journées où, malgré de nombreuses times, lâefficacité nâétait clairement pas au rendez-vous. Pour le team methodology des Ãtalons, ce sera lâautre priorité en préimaginative and prescient des prochains matchs.
Une solidité défensive à retrouver
à half l’efficacité, il va falloir travailler en défense et au milieu de terrain. En témoigne l’analyse de Moussavou Billa, correspondant de Canal Plus au Burkina Faso : « Câest un bilan positif. Un nul et une victoire, une première space. Brama et les Etalons ont fait du bon travail. Sur le conception comptable, câest parfait pour entamer bien les éliminatoires. Pour cela, ils sont tous à féliciter. Maintenant, la victoire face au Malawi nous réjouit et nous invite au travail pour plusieurs joueurs et le team. Le chantier est encore énorme pour asseoir le meilleur de lâeffectif et câest long-established. Au milieu comme en attaque, il faut que chaque joueur continue de travailler pour progresser. En somme, félicitations à Brama Traoré et son groupe pour la belle entame des éliminatoires. »
Pour Mahamad Sangaré, journaliste à Burkina Data, il urge de travailler à instaurer un climat de sérénité autour de lâéquipe en taisant les polémiques : « On retiendra que ce fut une belle sortie pour les Ãtalons qui reviennent avec quatre aspects et qui sâemparent de la tête du groupe L. On retiendra également la première victoire de Brama Traoré sur le banc des Etalons, le retour en puissance de Franck Lassina Traoré et le bon signal donné par le jeune Ousmane Camara qui était à sa première convocation avec les Etalons A. Mais au-delà du résultat qui est positif, certains secteurs de jeu laissent toujours entrevoir des failles chez les Etalons. Contre le Sénégal malgré le level du nul arraché, nous avons vu un milieu de terrain tendu et une équipe sans automatisme. La défense sur les deux matchs a montré beaucoup dâerrements et des signes dâun peu trop de suffisance et également un manque de complémentarité. Ce sont entre autres des aspects quâil faut revoir avant le prochain rendez-vous contre le Burundi. Il faudra aussi travailler à instaurer un climat de sérénité autour de lâéquipe en taisant les polémiques. »
Brama Traoré a du temps et doit donc passer en revue ce qui nâa pas marché et tenter de trouver des alternate strategies pour faire tomber le Burundi qui défendra farouchement ses potentialities.
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]]> Lâarticle est apparu en premier sur Sport Data Africa. Ãtincelant avec Stuttgart la saison dernière, Serhou Guirassy a mené le club à la 2ème space de Bundesliga, avec à la clé une qualification, en Ligue des champions. Lâglobal guinéen a planté 30 buts en 30 matchs toutes compétitions confondues, dont 28 en 28 rencontres en championnat. Forcément, les cadors allemands et européens ont coché le nom du buteur de 28 ans parmi les pistes à creuser durant ce mercato. Câest finalement Dortmund qui a tiré le gros lot pour seulement 17,5 millions dâeuros. Désormais, le Guinéen devra sâimposer chez les pensionnaires du Signal Iduna Park et son fameux mur jaune. Débarqué blessé, Guirassy nâa disputé quâun seul match, le weekend dernier. Pour palier le déhalf de Serhou Guirassy, Stuttgart a décidé de miser sur un autre attaquant africain : El Bilal Touré. Lâglobal malien est prêté par lâAtalanta Bergame. Lâoccasion pour lâancien rémois de se refaire une santé, lui qui a connu une saison 2023-2024 gâchée par une grave blessure à la cheville. Il nâa disputé que 17 matchs avec les Bergamasques. Suffisant tout de même pour remporter la Ligue Europa. El Bilal Touré a en outre lâoccasion de disputer la Ligue des champions avec Stuttgart, avec un premier match sur la pelouse du Right Madrid, champion en titre, ce mardi 17 septembre. Ce mercato 2024 pourrait donc être un tournant décisif dans la carrière du buteur malien. Indéboulonnable lors des deux dernières saisons avec West Ham, Nayef Aguerd a profité de ce mercato estival pour changer dâair. Le défenseur marocain est prêté à la Right Sociedad qui cherchait à remplacer Robin Le Normand, parti à lâAtlético Madrid. Le joueur de 28 ans, après la France (Dijon et Rennes) et la Premier League (West Ham), va donc découvrir son 3ème championnat européen. Dans une équipe de la Right très joueuse et capable de batailler pour une qualification en Ligue des champions, le Marocain pourrait prendre une nouvelle dimension en Espagne. Grande promesse du soccer sénégalais, Mikayil Ngor Faye a attendu son heure au Barça, en vain. Voyant les autres jeunes comme Cubarsi ou fort avoir du temps de jeu en équipe première alors que lui nâen a pas eu, le joueur formé à Diambars a décidé de filer. Route Rennes, en Ligue 1, pour celui qui est déjà global sénégalais à 20 ans seulement. Dans un club réputé pour faire éclore les jeunes, Mikayil Ngor Faye a une occasion en or de prouver sa valeur. « Jâai choisi le Stade Rennais parce que câest un big club français. Il est réputé pour savoir mettre en valeur les jeunes joueurs comme moi. Je suis très fier de rejoindre Rennes. Jâai eu lâoccasion dâéchanger avec Ousmane Dembélé avec qui jâai participé à la préparation 2023 avec Barcelone, mais aussi Lovro Majer qui mâavait conseillé quand jâétais en Croatie. Ils mâont dit tous les deux que câétait le club parfait pour continuer de progresser et que tout se passera bien », confiait-il dâailleurs après sa signature. La saison dernière, Mohamed Amoura a crevé lâécran avec lâUnion Saint-Gilloise en Belgique. LâAlgérien a planté la bagatelle de 20 buts, avec également 7 passes décisives. Une prestation XXL qui lui a ouvert les portes de la Bundesliga. Wolfsburg a en effet cassé sa tirelire en mettant 18 millions dâeuros sur la table pour le recruter. Lâattaquant de 24 ans débarque dans un championnat résolument offensif, qui fait briller les attaquants. Une occasion à saisir pour, pourquoi pas, devenir enfin le buteur patenté des Fennecs. Parmi les tops de ce mercato, on a aussi Noussair Mazraoui qui a quitté le Bayern pour Manchester United. Le latéral marocain a très vite gagné ses galons de titulaire avec des prestations solides. Pierre-Emerick Aubameynag a quitté lâEurope pour lâArabie Saoudite. Lâattaquant gabonais a signé à Al-Qadsiah. Malgré ses 35 ans, le buteur a prouvé la saison dernière quâil en avait encore sous la semelle avec 30 buts et 11 passes décisives avec lâOM. En Ligue Europa, ses 10 réalisations en 13 matchs lui ont valu les titres de meilleur buteur et de meilleur joueur de la compétition, avec à la clé une demi-finale pour lâOM. Pour un joueur qui a montré tout son abilities en Europe durant les 10-15 dernières années, ce titre de « flop » du mercato nâest que pour signifier quâon aurait aimé voir Aubameyang briller encore en Europe, surtout sur le front de lâattaque de lâOM de De Zerbi. Houssem Aouar a lui aussi rallié la Saudi Pro League lors de ce mercato. Cependant, pour le milieu de terrain algérien, il sâagit clairement dâun flop. Après sa signature à la Roma la saison dernière (25 matchs, 4 buts), beaucoup dâobservateurs espéraient voir le joueur de 26 ans retrouver les sommets. Hélas, câest à Al Ittihad quâil a posé ses valises. 23 buts, 5 passes décisives en 36 matchs, dont 21 buts en championnat du Portugal. Câest le bilan de Simon Banza la saison dernière avec Braga. Le 2ème meilleur réalisateur de la Ligue portugaise était donc pressenti pour un transfert dans un club dâune dimension supérieure à Braga. Néanmoins, câest en Turquie, du côté de Trabzonspor, que lâattaquant de 28 ans a atterri, avec un prêt dâun an. Surprise surprise ! Sébastien Haller va évoluer à Leganés cette saison. Oui, vous avez bien lu. Lâattaquant ivoirien est prêté par Dortmund. Une vacation space totalement inattendue pour lâancien attaquant de lâAjax. Même sâil a connu des pépins physiques ces deux dernières saisons à Dortmund, le champion dâAfrique pouvait espérer meilleure vacation space durant ce mercato. Leganés, promu en Liga cette saison, air of mystery quand même la probability de compter dans ses rangs un attaquant de classe mondiale. Rendez-nous le Sofyan Amrabat du Mondial 2022. A lâépoque, le ratisseur du milieu marocain était suivi par Arsenal, le Bayern, le FC Barcelone. A lâété 2023, il était prêté par la Fiorentina à Manchester United. Néanmoins, sa saison chez les Crimson Devils a été plus que mitigée. Revenu à la Fiorentina, le petit frère de Nordine a cette fois rejoint Fenerbahçe de son coéquipier en sélection Youssef En-Nesyri. Une vacation space loin des standings de ces anciens prétendants. Mais cela pourrait lui permettre de retrouver son soccer sous les ordres de José Mourinho et pourquoi pas, se rappeler au bon memento des cadors européens dans le futur… Enfin, pour clôturer ces flops du mercato estival, comment oublier le cas de Chancel Mbemba ? Le défenseur congolais, pièce maitresse de lâOlympique de Marseille ces deux dernières saisons, a été invité à partir par ses dirigeants. Mais le joueur nâa finalement pas trouvé de porte de sortie, et est donc resté. De plus, avec des démêlées avec sa direction, il a été mis à pied pour mauvais comportement. Selon la presse française, il nây a aucune probability de le revoir porter de nouveau les couleurs de lâOM. Une fin chaotique pour une aventure qui a pourtant charmé les nombreux supporters phocéens. Lâarticle est apparu en premier sur Sport Data Africa.
Serhou Guirassy pour dompter le mur jauneâ¦
â¦El Bilal Touré pour le remplacer
Nayef Aguerd à la conquête de lâEspagne
Mikayil Ngor Faye pour enfin éclore
Mohamed Amoura, chez les Loups pour être le chef de meute
Flops
Les Saoudiens
Simon Banza, vacation space incompréhensible
Sébastien Haller, un choix surprenant
Sofyan Amrabat, reculer pour mieux sauter ?
Chancel Mbemba, triste fin
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Serge Mudogo : Nous sommes contents et très satisfaits de tout ce qu’on a accompli cette saison. Tous les objectifs ont été atteints. Nous avons été sacrés champions au niveau de la province avant d’être sacrés au niveau nationwide. C’est une grande satisfaction.
Le club n’existe que depuis trois ans, Qu’est-ce qui peut justifier ce succès aussi rapide ?Â
C’est tout simplement le sérieux que nous avons mis dans le travail.
Chaux Sport a remporté quasiment tous ses matches lors de la Coupe du Congo, sentez-vous aussi l’évolution au fil des éditions ?Â
Oui, nous avons évolué au fil des éditions; lors de notre première participation à Likasi on n’a pas atteint les demi-finales; à Goma, l’année passée, nous avons terminé troisièmes et cette année à Kinshasa nous sommes champions du Congo. Nous n’avons pas brulé les étapes et nous avons été ambitieux à chaque édition.
Qu’est-ce qui a fait votre power dans cette édition de Kinshasa ?Â
Nous avons eu une très bonne ossature; les 12 joueurs que nous avons rassemblés à Kinshasa ont formé une équipe remplie des qualités. C’est la meilleure sélection que nous n’avons jamais eu.
L’ Est de la RDC domine désormais le basket-ball masculin congolais. Après Virunga de Goma, la saison dernière, c’est Chaux Sport de Bukavu qui est sacré champion cette année. On peut donc dire que le basket prend de l’ampleur dans cette partie du pays ?Â
Oui, je pense que lors des 4 dernières années les équipes de l’Est du pays ont travaillé dur pour rivaliser avec celles de Kinshasa et Lubumbashi. Il y a des grands golf equipment comme Virunga, amis BK, Maendeleo et Chaux Sports entre autre. Le basket a beaucoup changé à l’Est du Can pay.
Après la Coupe du Congo, vous allez représenter la RDC aux préliminaires de la BAL, pensez-vous être en mesure d’écrire une nouvelle internet page d’histoire de la RDC à la BAL ?Â
Nous allons nous battre pour y arriver. Nous allons commencer par les éliminatoires de notre zone, ensuite on jouera l’Elite 16 avant de penser à la segment finale. Nous allons essayer de voir comment rassembler un bon effectif pour représenter valablement le pays à la BAL et écrire une nouvelle internet page d’histoire de la RDC dans cette compétition.
Concernant le recrutement, y a-t-il déjà des joueurs que vous avez pu repérer ici au pays où en dehors?Â
Oui, y en a plusieurs. Notre team methodology est déjà à pieds d’oeuvre pour ce faire.
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« Je nâaime pas spécialement mettre en avant des joueurs individuels, mais Bangoura réalise effectivement une bonne préparation », a déclaré Thorsten Fink.
Succesful d’évoluer sur plusieurs positions au milieu de terrain mais aussi en défense centrale, Ibrahima Sory Bangoura s’est forgé une réputation avec l’équipe espoir de Genk en Challenger Pro League avec au compteur une quarantaine de matchs depuis 2021. Convaincu par son abilities, le club belge a prolongé le contrat du guinéen jusqu’en 2028.
Bonjour Ibrahima, pourrais tu te présenter ?Â
Je suis Ibrahima Sory Bangoura, j’ai 20 ans, joueur de soccer professionnel évoluant actuellement avec le KRC Genk au poste de milieu de terrain défensif.
De quel quartier de Conakry es-tu originaire ?Â
Je suis originaire de Coleah, un quartier de Conakry. C’est là que j’ai grandi et découvert ma passion pour le soccer.
Comment était ton enfance ?Â
Mon enfance ? Il a été marquée par de nombreux défis, mais aussi par une grande passion du soccer. Très jeune j’ai commencé à jouer dans les rues de mon quartier avec mes amis, c’est à cet âge que j’ai réalisé que le soccer était plus qu’un straight forward faded-temps mais une véritable vocation.
Tu as débuté ta formation à l’académie Johnson, raconte-nous ce moment de ta vie ?
Mon passage à l’académie Johnson a été un moment charnière de ma carrière. C’est là que j’ai vraiment commencé à me extinct en tant que footballeur, à apprendre les bases solutions et tactiques de jeu, l’académie m’a aussi inculqué des valeurs comme la discipline, le travail d’équipe, et l’significance de toujours donner le meilleur de soi-même.
Très jeune, à 15 ans, tu as effectué un stage dans l’un des plus grands golf equipment africain le Zamalek SC, mais étant encore jeune tu as fini par rentrer en Guinée. Comment cela s’est passé ?
Effectivement, à 15 ans j’ai eu l’opportunité de faire un stage en Egypte avec quelques dizaines de joueurs de l’académie Johnson. C’est là que j’ai été repéré par le club de Zamalek, un club très prestigieux. C’était une expérience incroyable qui m’a beaucoup appris sur le haut niveau en Afrique. Cependant j’étais jeune et n’ayant pas d’expérience pour rester loin de chez moi, j’ai pris la décision de revenir en Guinée et continuer ma formation, cela m’a permis de mûrir et de mieux me préparer pour les opportunités futures.
Quel memento as-tu de ton premier match en professionnel ?Â
Mon premier match en professionnel, c’est un moment que je ne vais jamais oublier, j’étais nerveux au début, mais une fois sur le terrain tout s’est envolé j’ai ressenti une énorme fierté de pouvoir montrer tout ce que je suis capable de faire à un niveau professionnel, c’est un moment qui restera gravé dans ma mémoire.
Ãvoquons maintenant la Guinée. Le Syli Nationwide dispute les qualifications pour la prochaine Coupe du monde, aimerais tu faire partie de l’aventure ?
Représenter mon pays lors d’une Coupe du monde serait un rêve devenu réalité. Ce serait un honneur de porter les couleurs de mon pays que j’aime tant, et si l’opportunité se présente je donnerais tout pour aider l’équipe à atteindre cet objectif historique.
La Coupe d’Afrique des international locations est-elle un rêve pour toi avec le Syli Nationwide ?
La CAN est un big rêve pour moi, c’est la compétition la plus prestigieuse pour nous les africains, et participer à une CAN avec l’équipe nationale guinéenne serait un gigantic honneur. Je ferai tout ce qui est en mon pouvoir pour contribuer aux succès futurs du Syli Nationwide.
Au sein de l’équipe nationale, as-tu des affinités avec certains joueurs ?
Non, je n’ai pas d’affinités particulières avec les joueurs du Syli A, mais bien évidemment je suis leur actualité et je respecte énormément leur travail. Ils restent nos aînés et certains sont des modèles pour moi, j’apprends beaucoup en les regardant jouer.
Au-delà du soccer, quels sont tes faded-temps préférés ?
En dehors du soccer, j’aime beaucoup lire et m’informer sur divers sujets, surtout l’histoire et la culture, j’aime beaucoup écouter de la musique et passer du temps avec ma famille et mes amis. Ces moments me permettent de me détendre et de me ressourcer.
Quelles sont tes ambitions avec le KRC Genk cette saison ?
Cette saison, j’ai pour ambition de m’imposer comme un joueur clé de l’équipe, de continuer à progresser et de contribuer au succès du club, j’aimerais aussi jouer le plus de matchs possibles et pourquoi pas remporter un titre avec Genk.
On imagine que ton intégration en Europe n’était pas facile, comment s’est passé ton adaptation ?Â
Au début ce n’était pas facile, surtout avec le climat et la langue. Heureusement, mes coéquipiers et le team m’ont beaucoup aidé. Aujourd’hui je me sens bien intégré et prêt à donner le meilleur de moi-même pour l’équipe.
Depuis tes débuts nous te suivons, étant un jeune joueur qu’est-ce que ça t’a apporté de pouvoir jouer un championnat régulier en professionnel ?
Ãvoluer avec l’équipe réback de Genk, cela m’a énormément aidé à gagner en expérience, à m’habituer au rythme du soccer européen, de me confronter à des joueurs plus expérimentés et de développer mes compétences dans un environnement compétitif.
Quel est ton modèle en tant que joueur ?
Paul Pogba et N’Golo Kanté.
Ton meilleur moment, et le moment le plus difficile dans ta carrière ?Â
Mon meilleur moment jusqu’à présent a été ma signature avec Genk, c’était l’aboutissement de beaucoup de travail et de sacrifices. Le plus difficile a été de quitter ma famille et mes amis en Guinée pour poursuivre mon rêve en Europe ça n’a pas été facile mais cela m’a rendu plus fort.
Ton plat guinéen préféré ?
Mon plat guinéen préféré est le «konkoé touré gbéli» un plat délicieux à depraved de poisson fumé et d’huile rouge, c’est un vrai régal et ça me rappelle toujours ma maison en Guinée.
Entretien réalisé par Joueurs Guinéens
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Plusieurs gros noms du soccer africain n’ont pas réusa à faire tomber les Léopards en matchs officiels depuis l’arrivée de Sébastien Desabre. Le Maroc, le Sénégal, l’Egypte pour ne citer que ces trois ogres, n’ont réusa à mettre la RDC à terre. Ces belles performances de la RDC sont à mettre en grande partie à l’actif des gardiens de but. Un poste où la RDC possède actuellement des prétendants qui rassurent à chaque match, d’où la difficulté d’avoir une space incontestable de titulaire.
La grosse bataille après Kidiaba
Le dernier gardien à avoir été longuement titulaire avec les Léopards, ce, de manière incontestable, est Robert Kidiaba qui a passé près de 7 ans en tant que titulaire entre 2008 et 2015 avec une médaille de bronze remportée à la CAN 2015 en Guinée Equatoriale.
Après sa retraite internationale, Joël Kiassumbua a essayé de tenir l’équipe pendant quelques années en tant que gardien numéro 1 sans avoir une très distinctiveness concurrence en face.
Mais après avoir passé une bonne période sans club avant de s’en trouver un en division inférieure en Suisse, Joël Kiassumbua a définitivement perdu sa space dans l’équipe nationale de la RDC après une blessure intervenue avant le match de la cinquième journée des éliminatoires de la CAN 2023 contre le Gabon.
Son absence a été comblée par des gardiens très performants et qui doivent désormais accepter de se partager les matchs.
Qui half à la chasse perd sa space
En équipe nationale de la RDC, il vaut mieux ne pas laisser vacante sa space même pour un petit instant car ce ne sont pas les abilities qui manquent chez les Léopards et ces derniers entendent saisir la moindre occasion.
C’est ce qu’a bien su faire Lionel Mpasi. Appelé régulièrement en équipe nationale, Lionel Mpasi n’avait presque jamais été titulaire en match officiel avec la RDC. Profitant de la blessure de Kiassumbua, il a été titularisé pour la première fois face au Gabon à Franceville lors de l’avant-dernière journée des éliminatoires de la CAN 2023 en juin 2023.
Mpasi n’a pas boudé son plaisir et a sorti une prestation impressionnante qui lui a permis de gagner la space du numéro 1 des gardiens chez les Léopards. Une space qu’il a gardée jusqu’à la CAN 2023 terminée en février 2024.
à son tour, Lionnel Mpasi s’est blessé, peu après la CAN. Absent pour une bonne période, son habituel remplaçant, Dimitri Bertaud, à lui aussi saisi sa probability. Déjà bon lors de la little finale de la CAN 2023 contre l’Afrique du Sud, Dimitri Bertaud a été titularisé pour la deuxième fois face au Sénégal lors de la troisième journée des éliminatoires du Mondial 2026 et a fait une autre prestation convaincante.
Il a enchainé ensuite trois tidy sheets dont un contre le Togo lors de la quatrième journée des éliminatoires du Mondial 2026 et deux lors des deux premières journées des éliminatoires de la CAN 2025 face à la Guinée et face à l’Ethiopie. Lors de ces deux derniers matches, Dimitri Bertaud a été titulaire, ce, malgré le retour de Lionel Mpasi.
Desabre ne se plaint pas
Cette abondance des gardiens performants dans l’effectif de la RDC fait le bonheur de Sébastien Desabre. Le sélectionneur des Léopards sait qu’il peut compter sur tous ses gardiens, sans se faire des soucis et est allege de la qualité et la concurrence qu’il y a actuellement à ce poste dans son équipe. « Le poste de gardien est comme celui des joueurs. La titularisation d’un tel ou tel autre gardien dépend de la forme de ce dernier et de ce qu’il peut apporter à l’équipe. C’est une réflexion globale. On a la probability d’avoir trois bons gardiens, (Lionel Mpasi, Dimitri Bertaud ainsi que Timothy Fayulu) et nous préparons un quatrième, Esdras Kabamba qui a déjà une expérience avec l’équipe nationale. On est monté en valeur à ce poste-là et tous les joueurs savent que les areas sont chères en sélection de la RDC » a-t-il déclaré avant le match contre l’Ethiopie.
Reste à présent à voir lequel des gardiens sera titularisé lors de la trêve du mois d’octobre où les Léopards croiseront la Tanzanie en double inequity en marge des troisième et quatrième journées des éliminatoires de la CAN 2025.
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Sur ces pelouses de banlieue, j’ai croisé des abilities comme Garra Dembélé, attaquant fulgurant promis à une carrière à la Djibril Cissé, mais dont le destin fut entravé hors du terrain. Et Alexandre Raineau, véritable maestro dont la carrière professionnelle ne m’a pas surpris, même si le voir évoluer en défense à Caen m’a étonné.
Ma flamme pour le ballon rond ne s’est jamais éteinte. Fasciné par le vogue argentin – Maradona, Batistuta, Crespo, et surtout Juan Román Riquelme – leur toucher de balle incarne pour moi l’essence pure du soccer.
Ironiquement, c’est l’OM qui a d’abord conquis mon cÅur. Enfant, je vénérais Jean-Pierre Papin, et la victoire en Ligue des champions de 93 reste un moment de pur bonheur. Mais en 2003, j’ai découvert l’ambiance envoûtante du Parc des Princes et succombé au charme parisien. Depuis 2004, le PSG est devenu “mon équipe”.
Ce soir-là , à peine rentré d’un prolonged voyage, je fonce vers le Parc pour Paris-Brest. Paris affiche trois victoires en trois matchs, tandis que Brest, fraîchement débarqué sur la scène européenne, vient défier le leader.
Le stade, plein à craquer, résonne des chants parisiens. Un magnifique tifo accueille les supporters, et la magie du Parc est intacte. Une seule selected trotte dans ma tête : ce match allait nous offrir un big spectacle.
Dès les premières minutes, Brest surprend avec un pressing intense. Paris peine à installer son jeu, et à la 20áµ minute, Brest obtient un penalty. Romain Del Castillo ouvre le score. Le Parc se tait un instant, mais la sérénité de l’équipe est communicative. Les supporters reprennent leurs chants, convaincus que Paris va réagir.
à la 42áµ minute, Ousmane Dembélé égalise dâune tête magistrale sur un centre dâAsensio. Le Parc explose, une déworth dâénergie collective. C’est plus qu’une égalisation, c’est une communion entre joueurs et supporters.
La deuxième mi-temps démarre fort. Paris contrôle le jeu, et Brest s’effondre sous la pression. à la 73áµ minute, Fabián Ruiz donne lâavantage à Paris. à peine le temps de célébrer que Dembélé frappe encore, profitant d’un rebond après une frappe de Kolo Muani. 3-1 pour Paris, le Parc est en transe.
à partir de là , le match est joué. L’ambiance est électrique, et câest cette énergie partagée qui me rend amoureux de ce stade. Le soccer, ce soir, défaded le sport : c’est une expérience émotionnelle qui nous lie tous.
Bradley Barcola, mon nouveau chouchou, a été bien discret ce soir. Mais ce n’est pas grave; Paris a su montrer que, même sans son homme fort de ce début de saison, l’équipe avait plusieurs cordes à son arc.
En quittant le Parc, je ressens fierté et bonheur. Ce match nâétait pas seulement une victoire, mais une immersion totale dans ce quâest le soccer à Paris. Paris est magique, et ce soir, jâai été témoin de cette magie à lâétat pur.
Le soccer continue d’écrire mon histoire, match après match, écirculate après écirculate.
GOMUS
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Après des plaintes des golf equipment masculins et des responsables du soccer féminin concernant des dysfonctionnements, deux arbitres, Idriss Abdoulaziz et Charmarke Mohamed, pointent aussi de graves problèmes de fonctionnement.
Exclus pour avoir réclamé leurs « droits légitimes » ?
Dans une lettre officielle destinée à Mohamed Yasin, les deux hommes évoquent une mission qui « compromet non seulement notre carrière professionnelle, mais également nos droits légitimes en tant quâarbitres formés et qualifiés. »
Lire aussi : Djibouti : nouvelles affaires à la fédération
Sâestimant injustement écartés du terrain par la commission centrale des arbitres « sous prétexte que nous ne parts pas lâuniforme réglementaire », ils avancent que leur exclusion vient « de notre décision commune de revendiquer nos droits légitimes, à savoir :
– Le paiement des primes de matchs qui nous sont dues
– Le rétablissement et la clarification des grades des arbitres, selon nos compétences et performances respectives. »
Cette nouvelle affaire illustre les turpitudes gangrenant le soccer djiboutien qui ne peut même plus compter sur les performances de son équipe nationale, éliminée dès le premier tour qualificatif de la prochaine Coupe dâAfrique des international locations par le Liberia (2-0 en cumulé).
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Lire aussi : Un 2nd rapport accablant contre Véron Mosengo-Omba et la gouvernance de la CAF
Un doc dans lequel plusieurs fédérations auraient formulé des demandes de changes des statuts de la CAF. « L’administration de la CAF a reçu des propositions d’amendements de ses statuts, émanant de plusieurs fédérations en vu d’une soumission durant l’Assemblée générale de l’occasion qui air of mystery lieu le 10 octobre prochain à Kinshasa », indique le courrier qui cite notamment les fédérations du Botswana, des Comores, du Gabon, de la Guinée Equatoriale, du Liberia, de la Mauritanie, et du Niger.
Deux amendements demandés sur les statuts de la CAF
Dans un doc qu’à pu consulter Sport Data Africa, ces associations membres auraient formulé deux demandes :
- Amender l’article 18 paragraphe 9 afin de supprimer le critère de la limite d’âge pour pouvoir être candidat ou siéger au Comité exécutif ou à la présidence de la CAF.
- Modifier l’article 18 paragraphe 13 (a) supprimant les regroupements de l’Union zonale utilisés pour l’élection des membres africains du Conseil de la FIFA.
En somme, les candidats à la présidence de la CAF ainsi qu’au Comité exécutif pourraient se présenter ou postuler un nouveau mandant, alors que les statuts actuels indiquent qu’« à la date de lâélection, les candidats aux postes de président et de membres du Comité exécutif de la CAF doivent être des membres Bona Fide de leurs associations nationales et nâexcédant pas lââge de 70 ans. » Un âge dont approche certains président de fédération, alors que l’actuel président le CAF, Patrice Motsepe a lui 62 ans. Avec la milite d’âge, il ne pourrait par exemple briguer que deux autres mandats.
Pour ce qui est des élections au Conseil de la FIFA, les élection se font par Union zonale. Chaque zone ayant un représentant au Conseil de la FIFA et les candidats pour ces postes ne pouvant être élus que par les présidents des associations membres de leur zone de groupement. Ainsi, les présidents de fédérations francophones pouvant uniquement voter pour un représentant francophone, les Anglophones pour le groupement anglophone, ainsi de suite.
La répartition des postes au Conseil de la FIFA étant actuellement comme suit :
- Catégorie 1 : Deux membres issus du Groupement 1 Francophone
- Catégorie 2 : Deux membres issus du Groupement 2 Anglophone
- Catégorie 3 : Deux membres issus du Groupement 3 Arabophone/ Lusophone/ Hispanophone
- Catégorie 4 : Un membre féminin élu parmi les candidates féminines, sans considération des groupements linguistiques
La modification du regroupement par unions zonales entraînerait que tous les présidents pourraient voter pour des candidats hors de leur groupement, ou encore que les candidats également ne seraient plus limités dans un groupement. Plusieurs candidats issus du même groupement pourraient être élus au Conseil de la FIFA, quand dans le même temps des groupements pourraient ne plus se retrouver représentés.
La Guinée Equatoriale conteste toute demande de modification
Sauf que dans les faits, certaines associations membres citées dans le courrier ne reconnaissent pas avoir fait ces demandes d’amendements. Premier à réagir, Venancio Tomas Ndong Micha. Le président de la Fédération équato-guinéenne de soccer a adressé une lettre au secrétaire général de la CAF afin d’indiquer que sa fédération n’est pas à l’origine de telles demandes.
« Je vous écris pour vous présenter le désaccord de la Fédération équato-guinéenne de soccer avec une partie du contenu du doc envoyé au Conseil exécutif de la CAF le 8 septembre 2024 signé par vos soins (â¦) Dans ce doc, il y a des amendements présentés par la Fédération équato- guinéenne de soccer (â¦) Par cette lettre, nous confirmons que la Fédération équato-guinéenne de soccer n’a soumis aucun amendement à l’administration de la CAF pour l’Assemblée Générale Ordinaire de la CAF forty sixth qui se tiendra le jeudi 10 octobre 2024 à Kinshasa », dénonce t-il.
De quoi semer le doute sur ce doc envoyé par le secrétaire général de CAF et l’objectif visé. Contacté, un président de fédération, dont l’occasion n’est pas citée dans le courrier, s’étonne de ces deux demandes d’amendements et s’interroge sur leurs desseins. Le communiqué de la Fédération équato-guinéenne de soccer est lui venu semer le doute et désormais, il s’interroge sur l’originalité des pièces jointes mises dans ce doc qui risque de faire parler d’ici l’Assemblée générale de la CAF.
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Lire aussi : Kaba Diawara : pourquoi la Féguifoot a décidé de tourner la internet page
Hélas, le Syli Nationwide sâest incliné en République Démocratique du Congo sur un but largement évitable (1-0), puis face à la Tanzanie (1-2). Une seconde défaite qui fait tâche même si les Tanzaniens sont une équipe piégeuse.
Dussuyer de retour avec Paquille en adjoint ?
Dans un contexte très particulier avec une fédération disloquée (cascade de départs, démissions et limogeages depuis lâélection de Bouba Sampil comme président en janvier), marquée aussi par une affaire dâabus sexuels sur mineurs toujours pas résolue, la Guinée cherche un nouveau sélectionneur pour diriger les prochains matchs.
Placé comme intérimaire, lâancien adjoint Charles Paquille ne sera pas reconduit malgré ses bonnes relatives avec Michel Dussuyer, revenu cet été à Conakry à la tête dâun « directoire transitoire ». Et si certains imaginent déjà le technicien français en pompier de provider sur le banc face à lâEthiopie en octobre, dâautres à la fédération ont amorcé des contacts avec des techniciens locaux et étrangers. La tendance, cependant, serait à un duo Dussuyer comme entraîneur main et Paquille comme adjoint.
Romain MOLINA
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]]> Lâarticle est apparu en premier sur Sport Data Africa. Egypte, Algérie, Angola, Maroc, Tunisie et RDC : leaders en confiance Elles ont fait un carton plein avec deux victoires en deux matchs dans ce début d’éliminatoires à la CAN 205 et sont en tête de leurs groupes respectifs avec 6 aspects. Dans le groupe C, lâEgypte de Mohamed Salah, qui a fêté sa 100ème sélection, a brillé avec une démonstration offensive contre le Botswana (4-0) après une première victoire contre le Cap-Vert. Les Pharaons sont déjà presque assurés de la qualification avec un total de 6 aspects et un goal real looking impressionnant de +7. Ils sont talonnés par le Cap-Vert, deuxième avec 3 aspects. L’Algérie, dans le groupe E, a également dominé ses adversaires, notamment avec une mammoth victoire 3-0 contre le Liberia et une autre victoire contre la Guinée Equatoriale. Grâce à un jeu offensif parfaitement orchestré par des abilities comme Amine Gouiri, les Fennecs sont seuls en tête avec 6 aspects et une avance confortable sur leurs rivaux. Lire aussi : CAN 2025 (Q) : les résultats de la 2ème journée Le Maroc, hôte de la CAN 2025, continue de briller dans le groupe B, même s’il est déjà qualifié dâspace of work. Les Lions de lâAtlas, sous la houlette de Walid Regragui, ont montré leur supériorité avec deux victoires, avec une démonstration face au Gabon (4-1), suivi d’un nouveau succès au bout du temps additionnel 1-0 contre le Lesotho. Derrière eux, le Gabon et la République Centrafricaine se battent pour la deuxième space qualificative, tandis que le Lesotho semble déjà hors direction après deux défaites. La Tunisie, solide dans le groupe A. Sans faire de bruit, mais sans être transcendants, le hommes de Faouzi Benzarti ont assuré le carton plein avec notamment un succès face à la Gambie (2-1). Elle est en bonne region avec 6 aspects et devrait continuer sur cette lancée en octobre contre les Comores, une double inequity qui pourrait déjà acter leur qualification. Les Aigles de Carthage se détachent clairement dans un groupe où la Gambie et Madagascar sont en compétition pour la deuxième space. Souvent sous-estimée, l’Angola a surpris en allant d’abord s’imposer au Ghana et idéalement lancer sa campagne. Un succès confirmé par les Palancas Negras avec une nouvelle victoire contre le Soudan qui les propulse en tête du groupe F et en fait de facto un sérieux candidat à la qualification. Peut-être même dès le mois d’octobre. Enfin, la République Démocratique du Congo mène les débats dans le groupe H avec deux victoires précieuses, notamment un succès 2-0 contre lâÃthiopie après avoir remporté le choc preliminary contre la Guinée (1-0). Avec 6 aspects, les Léopards semblent bien partis pour décrocher une nouvelle qualification, sous la houlette de Sébastien Desabre. Jean-Philippe Krasso, lâartificier de la Côte dâIvoire Absent du rassemblement de juin, le nouvel attaquant du Paris FC a fait son retour en sélection de fort belle manière et est lâune des révélations de ce début d’éliminatoires à la CAN 2025. Il a été lâhomme fort de la Côte d’Ivoire dans le groupe G, en marquant un doublé lors de la victoire 2-0 contre la Zambie puis en inscrivant un autre but contre le Tchad (2-0). Son efficacité devant le but et son leadership offensif font de lui le meilleur buteur actuel des qualifications avec trois réalisations, propulsant les Eléphants en tête du groupe. Derrière eux, la Zambie est encore en lice avec 3 aspects, après sa victoire arrachée contre la Sierra Leone. Yves Bissouma, patron du milieu malien Si le Mali a pris 4 aspects dans le groupe I, il le doit en grande partie à son maître à jouer, Yves Bissouma. Positionné en meneur de jeu, le joueur de Tottenham a marqué les deux buts des Aigles lors de ces éliminatoires, notamment un but décisif contre lâEswatini (1-0). Cette nouvelle responsabilité semble parfaitement lui convenir, et le Mali, qui compte 4 aspects tout comme le Mozambique, reste en bonne region pour décrocher sa qualification. Le Ghana n’y come pas Avec seulement 1 level en deux matchs, les Shaded Stars ont été défaits à domicile par lâAngola et ont concédé un match nul contre le Niger (1-1), un résultat qui aurait pu être pire si le Niger avait concrétisé une occasion dans le temps additionnel. Les Ghanéens d’Otto Addo, en perte de vitesse depuis plusieurs mois, doivent impérativement réagir en octobre sous peine de voir leurs espoirs de qualification sâenvoler. Guinée : le Syli inquiète Le Syli Nationwide a complètement manqué son début de campagne qualificative pour la CAN 2025 dans le groupe H avec deux défaites. La défaite 2-1 contre la Tanzanie a particulièrement marqué les esprits, avec un but encaissé en fin de match. Le mois dâoctobre sera mandatory pour la Guinée, qui occupe la dernière space du groupe avec 0 level. Elle devra impérativement battre lâÃthiopie lors de leur double inequity, sous peine de devoir faire une croix sur ses espoirs de qualification. Togo : lâenvol manqué des Eperviers Le Togo, en difficulté dans le groupe E, a été auteur de deux matchs nuls lors des premières journées de ces éliminatoires à la CAN 2025. L’addition aurait même pu être pire, mais le nul 2-2 contre la Guinée Equatoriale, avec un but dans le temps additionnel de Laba, a quelque peu sauvé l’honneur. Mais le nul à domicile contre le Liberia (0-0) est perçu comme une déception. Le sélectionneur Daré Nibombé doit remobiliser ses troupes pour espérer un redressement. Actuellement 2ème du groupe avec 2 aspects, le Togo reste en embuscade derrière lâAlgérie, mais devra montrer plus de consistance pour espérer se qualifier. D’autant plus que se profile une double inequity en octobre face à l’Algérie. Lâarticle est apparu en premier sur Sport Data Africa.
Lâarticle est apparu en premier sur Sport Data Africa. Le bilan que je peux tirer des deux premières journées de qualification à la CAN 2025 est que le Sénégal a mal débuté sa campagne avec un match nul à domicile (06 septembre) en encaissant un but à la dernière minute contre le Burkina. Pour moi on nâa pas vu une équipe sénégalaise conquérante, qui a joué toute la deuxième période sans avoir une occasion de but, qui nâa ecu aucun corner durant tout le match. Donc on a vu une équipe sénégalaise en difficulté lors du premier match contre le Burkina, les Lions ont perdu deux aspects à domicile. On peu dire que le Sénégal est mal entré dans cette segment de qualification. Ensuite, contre le Burundi ce lundi 09 septembre, on a vu une équipe sénégalaise qui gagne difficilement. Avec tout le respect que jâai pour le Burundi, pour moi le Sénégal est largement supérieur. Malheureusement le Sénégal a gagné avec un pénalty tiré par les cheveux, qui pouvait ne pas être sifflé. Mais ce sont des décisions qui peuvent être favorables quelquefois, et défavorables dans dâautres scenarios. Ãa a été favorable pour le Sénégal pour gagner ce match et prendre les trois aspects. Ãa permet aux Sénégalais de se refaire une santé mentale, de retrouver la confiance quâils avaient perdue à la fin du match contre le Burkina. Pour moi, on a ecu deux journées mi-figue, mi-raisin, le Sénégal peut faire mieux. Espérons que ce soit juste le début et espérons que la suite sera encore meilleure. Lire aussi : CAN 2025 (Q) : recours du Burundi après la polémique face au Sénégal Qualif #CAN2025 ð : Ismaila Sarr ð¸ð³ transforme un pénalty obtenu par Mané. Le Sénégal mène au score ð¦ pic.twitter.com/3Mpr3aG9cd — CANAL+ SPORT Afrique (@cplussportafr) September 9, 2024 Les difficultés dans le jeu nâont pas commencé aujourdâhui, ça a débuté depuis belle lurette. Le Sénégal gagne sans dominer, sans convaincre, sans avoir la possession, la mainmise sur le jeu, je pense que câest quelque selected qui ne date pas dâaujourdâhui. Pour moi câest un problème de positionnement de joueurs, un problème dâanimation du jeu, tout un tas de problèmes. Il y a beaucoup de aspects négatifs dans le jeu des Lions. Le Sénégal joue plus dans la transition que dans la possession, dans le déséquilibre. Pour moi câest le coach qui le veut ainsi, câest le team methodology qui le veut ainsi. Après, depuis 2015 (arrivée dâAliou Cissé ndlr) ça nâa pas changé, je ne pense pas que ce soit demain la veille pour voir un changement dans le jeu du Sénégal. On le voit sur le conception offensif, le Sénégal a des problèmes. Pour moi, câest un problème dâanimation offensive. Il y a aussi un problème dâutilisation des joueurs par rapport au poste où ils jouent. Depuis longtemps on voit beaucoup dâavant-centres défiler dans cette équipe nationale mais aucun nâenchaine les buts rencontre après rencontre. Ce nâest pas un problème de qualité de nos avant-centres, câest un problème dâutilisation. Je pense quâil y a un problème dâanimation de jeu pour mettre en orbite nos avant-centres, pour les mettre en valeur. Nos attaquants jouent plus en pivot quâautre selected. Il nây a pas un travail qui est fait derrière pour leur permettre dâêtre mis en très bonne condition pour finir le travail. Aujourdâhui on voit nos avant-centres qui courent beaucoup, qui défendent beaucoup, dâaccord le soccer moderne demande à ce que tout le monde coure et défende. Mais on le voit dans les autres équipes, tout le monde travaille pour lâavant-centre qui est là pour finir le travail. Malheureusement ici nos attaquants sont souvent absents à la finition, et si tu nâes pas présent à la finition tu ne peux pas marquer. Pour moi câest un problème dâensemble, un problème dâanimation offensive, de placement, de confiance aussi. Parce quâà chaque fois si on swap, aucun avant-centre nâair of mystery la confiance quâil faut, et je pense que ce sont des choses auxquelles il faut remédier le plus rapidement conceivable. Malheureusement il nâa pas troqué son 3-5-2 pour un 4-3-3. Lui-même a dit quâil a utilisé 3 défenseurs centraux (Koulibaly, Niakhaté, Formose Mendy). Ãa veut dire quâil maintient son système à trois défenseurs. Pour moi, depuis quâil a commencé à utiliser ce système on nâa pas vu dâamélioration, on nâa pas vu de très bonnes choses, on nâa pas vu une fluidité dans le jeu, ce qui montre que même les joueurs ont des problèmes là -dessus. Nâoublions pas le coup de gueule de Sadio Mané récemment (face à la RDC, match nul 1-1 le 06 juin 2024). Cela veut dire que câest un système qui pose un problème aux joueurs. Il faut trouver des alternate strategies, il faut trouver la meilleure formule pour cette équipe nationale. Pour moi câest un système qui nâest pas bon pour les profils de joueurs que le Sénégal a. Le Sénégal a gagné la CAN avec un 4-3-3, beaucoup de matchs avec ce système, ou le 4-4-2. Je pense quâaujourdâhui il faut revenir à ces anciens systèmes. Câest là où les joueurs se sentent le mieux, où ils trouvent leurs repères. Avec ce 3-5-2 on a beaucoup de difficultés. On lâa vu lors de la dernière CAN et des derniers matchs de lâEquipe nationale. Je pense quâil faut retourner à ce qui a fait nos heures de gloire pour voir une meilleure équipe du Sénégal. Concernant lâutilisation dâHabib Diarra, on a vu quâil essaie de faire de son mieux par rapport au poste où on lâutilise. Ce qui montre que ce nâest pas son poste de prédilection. On sait que son poste câest milieu central et on voit ce quâil fait de bon à Strasbourg et aujourdâhui on lâemmène en Equipe nationale pour le faire jouer comme piston. Et si câétait un rôle où il avait plus de responsabilités sur le conception offensif, là jâaurais pu comprendre. Mais on lâutilise comme piston, là où il a plus de travail à faire défensivement quâoffensivement. On connait Habib, ses qualités premières sont surtout sur le conception offensif. Malheureusement câest le choix du coach, câest lui qui choisit ses hommes, câest lui qui les space et pour moi câest un mauvais choix. Il doit utiliser les joueurs par rapport aux postes où ils good, où ils sont meilleurs. Sinon quand on les utilise à des postes où ils doivent sâadapter il y a toujours des difficultés et là ils ne sont pas performants comme on voudrait, comme on lâback dâeux. Il faut utiliser les joueurs aux postes où ils good, ça faciliterait beaucoup de choses. Et aussi, peut-être, abandonner ce système en 3-5-2 pour utiliser celui où les joueurs se sentent le mieux, le système avec lequel lâEquipe nationale a été championne dâAfrique. Pour moi câest la meilleure resolution parce quâactuellement on a vu une équipe sénégalaise en très grande difficulté lors de ses derniers matchs, une équipe à la peine, où le contenu nâest pas à la hauteur de la valeur de ses joueurs. Et pour moi il y a une remise à niveau à faire. Le team methodology doit changer beaucoup de choses. Les joueurs aussi ont une half de responsabilité, ce sont eux qui sont sur le terrain. Ils doivent prendre leurs responsabilités et essayer de se donner encore plus pour pouvoir hausser le niveau du Sénégal pour quâil soit meilleur que ce quâon voit actuellement. Lâarticle est apparu en premier sur Sport Data Africa.
Sur le conception du jeu, on remarque toujours les mêmes difficultés dans le contenu, comment expliquez-vous cela ?
Offensivement, le Sénégal peine depuis plusieurs mois. Sur six des sept derniers matchs, l’équipe nâa marqué quâun but à chaque fois. Comment comprendre cette inefficacité offensive malgré les forces en présence ?
« Il faut utiliser les joueurs aux postes où ils excellent »
Aliou Cissé a troqué son 3-5-2 des dernières sorties pour un 4-3-3 modulable contre le Burundi. Est-ce que selon vous, cela prouve que le technicien évolue tactiquement, ou est-ce seulement une manière de faire taire les opinions ?
Ce qui interpelle lâconception publique en ce moment, câest lâutilisation dâHabib Diarra. Rayonnant au milieu à Strasbourg, il est utilisé comme piston droit en équipe nationale. Quâen pensez-vous ?
Que doit faire Aliou Cissé pour améliorer le rendement de cette équipe ?
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- Dimanche 8 septembre
Gambie 1-2 Tunisie
- Lundi 9 septembre
Burundi 0-1 Sénégal
Ghana 1-1 Niger
Guinée Equatoriale 2-2 Togo
Madagascar 1-1 Comores
Ouganda 2-0 Congo
Lesotho 0-1Â Maroc
Angola 2-1 Soudan
Ethiopie 0-2 RD Congo
Lire aussi : CAN 2025 (Q) : les résultats complets de la 1ère journée
- Mardi 10 septembre
Rwanda 0-0 Nigeria
Eswatini 0-1 Mali
Mozambique 2-1 Guinée-Bissau
Soudan du Sud 2-3 Afrique du Sud
Gabon 2-0 Centrafrique
Botswana 4-0 Egypte
Guinée 1-2 Tanzanie
Liberia 0-3 Algérie
Namibie 1-2Â Kenya
Zimbabwe 0-0 Cameroun
Bénin 2-1 Libye
Burkina Faso 3-1 Malawi
Cap-Vert 2-0 Mauritanie
Tchad 0-2 Côte d’Ivoire
Zambie 3-2 Sierra Leone
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- Mercredi 4 septembre
Soudan 1-0 Niger
Comores 1-1 Gambie
Libye 1-1 Rwanda
Tanzanie 0-0 Ethiopie
- Jeudi 5 septembre
Malawi 2-3 Burundi
Centrafrique 3-1 Lesotho
Congo 1-0 Soudan du Sud
Ghana 0-1 Angola
Guinée Bissau 1-0 Eswatini
Algérie 2-0 Guinée Equatoriale
Tunisie 1-0 Madagascar
- Vendredi 6 septembre
Kenya 0-0 Zimbabwe
Afrique du Sud 2-2 Ouganda
RD Congo 1-0 Guinée
Sierra Leone 0-0 Tchad
Togo 1-1 Liberia
Maroc 4-1 Gabon
Egypte 3-0 Cap-Vert
Côte d’Ivoire 2-0 Zambie
Sénégal 1-1 Burkina Faso
Mali 0-1 Mozambique
- Samedi 7 septembre
Cameroun 1-0 Namibie
Mauritanie 1-0 Botswana
Nigeria 3-0 Bénin
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Les Léopards de la RDC reçoivent ce vendredi 6 septembre au Stade des qmartyrs de Kinshasa (16h00 GMT), le Syli Nationwide de Guinée dans le choc opposant les deux têtes des séries du groupe. Une finale d’entrée pour ses deux pays qui se retrouvent 6 mois après s’être affrontés en quarts de finale de la CAN 2023 en Côte d’Ivoire avec au bout une victoire des Congolais (3-1).
Les Léopards veulent faire mieux que lors des éliminatoires de la CAN 2023
Qualifiés miraculeusement à la CAN 2023 après un début catastrophiques des éliminatoires avec deux défaites de suite, les Léopards veulent faire mieux cette fois-ci.
Leur sélectionneur, le Français Sébastien Desabre, veut absolument la victoire pour ce vendredi. « C’est une nouvelle compétition qui initiate et toutes les équipes sont sur un même pied d’égalité. Il faut donc bien aborder ce premier match pour être bien lancé. On va avoir des adversaires qui seront difficiles à jouer mais comme d’habitude, on va être sérieux pour commencer ces éliminatoires par une victoire. Nous ne sommes pas favoris; tout ce qui nous intéresse c’est de faire mieux que lors des éliminatoires de la CAN 2023; l’équipe avait commencé par deux défaites avant que je ne vienne », a-t-il déclaré.
Un forfait à signaler côté congolais, c’est celui du milieu de terrain Ngal’ayel Mbuku, blessé.
Le Syli ne vient pas en victime expiatoire
Malgré leurs dernières stats négatives face aux Congolais avec notamment une série de trois défaites, les Guinéens ne viennent pas à Kinshasa en victime expiatoire.
Leur sélectionneur, Charly Paquille s’est montré en même temps rassurant et lucide en conférence de presse d’avant-match. « On prépare les matchs de la même façon sans tenir compte du statut de l’équipe adversarial, qu’elle soit plus distinctiveness ou plus faible que nous sur papier. Historiquement il y a des stats mais ces stats restent des stats, la réalité c’est ce qui va se passer sur le terrain. On ne dit pas qu’on vient ici pour tout faire, on sait que c’est difficile de jouer ici et contre un collectif en face qui est très fort; mais on va se défendre et essayer de rendre fier notre peuple », a-t-il avancé.
Les deux équipes auront pour objectif de gagner pour prendre la première space du groupe H après le nul (0-0) concédé par la Tanzanie contre l’Ethiopie lors du premier match du groupe à Dar es Salaam.
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]]> Lâarticle est apparu en premier sur Sport Data Africa. Concernant le déclassement sportif de Chancel Mbemba, en réalité on se rappelle bien que Chancel Mbemba a été très performant lors de la saison sous les ordres dâIgor Tudor (2022-2023), lorsquâil est arrivé du FC Porto. Il avait dâailleurs été désigné Prix Marc-Vien Foé 2023, meilleur joueur africain de Ligue 1, remis par RFI et France 24. Et à lâépoque tout le monde trouvait ça assez logique au vu de ses performances. En revanche, la saison dernière les choses se sont moins bien passées pour lui. Il a un petit peu perdu son rôle dâincontournable, peut-être que le schéma le plus classique lui convenait moins (retour à une défense à 4 au lieu dâune défense à 3 sous Tudor). Et au last, petit à petit, câest plutôt lâArgentin Leonardo Balerdi qui a pris le rôle de vrai leader défensif de lâOM, et Mbemba lui a été en nette difficulté notamment sur la deuxième partie de saison, après son retour de la CAN. Ce nâest pas forcément lié mais chronologiquement ses performances se sont aggravées. Et ce nâest pas complètement étonnant quâavec lâarrivée dâun nouvel entraineur au projet de jeu extrêmement typé et spécifique quâest Roberto De Zerbi, il ait décidé plutôt de renouveler le logiciel défensif et de ne pas compter sur Chancel Mbemba. Ce nâest pas totalement illogique. Je ne sais pas si câest justifié mais il y a quelques raisons. Disons quâavec ses performances en recul, on peut lâexpliquer comme cela. Effectivement, pour lâinstant Chancel Mbemba nâa pas eu de possibilité de quitter lâOM. Il y a ecu une offre dâAl Shabab en Arabie Saoudite, câest la seule offre concrète et substantielle quâil ait reçu cet été. Donc le risque, comme il est assez inflexible, câest de le voir vivre une saison sans temps de jeu avec lâOM sâil reste. Est-ce que cela va rejaillir sur son niveau ? Oui ça rejaillit forcément si un joueur manque de rythme, il est forcément moins bon que sâil a beaucoup de temps de jeu. Sans jouer dans lâexcès et de jouer 55 matchs dans la saison et dâarriver rincé comme on lâa vu pour beaucoup de joueurs à lâEuro, mais ça ne peut pas être une bonne nouvelle pour lui. Même si on sait que câest un garçon sérieux et professionnel et quâen lâabsence de temps de jeu on peut lui faire confiance pour rester rigoureux sur lâhygiène de vie et entretenir sa forme un minimum, mais malgré tout ça ne remplacera pas la haute compétition. Cela va dépendre de lâappréciation du sélectionneur Sébastien Desabre qui va avoir le joueur quelques jours sous ses ordres (face à la Guinée le 6 septembre et lâEthiopie le 9 pour les 2 premières journées de qualification à la CAN 2025), il va pouvoir juger de sa fraicheur et de sa capacité à répéter les efforts. Et puis ça dépend aussi des conceivable picks. Est-ce que la RDC a suffisamment de joueurs expérimentés et aussi puissants défensivement que Chancel Mbemba, et avec cet état dâesprit là dâhomme de sacrifice, de joueur qui va au wrestle ? Ce nâest pas évident. On le souhaite à la RDC. Si elle come à sâen passer cela voudra dire quâun bon travail a été fait pour doubler les postes et pour trouver des conceivable picks. Je nâai pas encore la réponse, en revanche Sébastien Desabre a sa little idée. Mais je pense que les matchs du mois de septembre et des mois suivants, puisquâil y air of mystery six journées dâéliminatoires CAN très rapprochées, nous permettront dâen savoir plus. Oui, le marché turc est un des rares marchés encore ouverts (jusquâau 13 septembre). On peut très bien imaginer Chancel Mbemba quitter la Ligue 1 pour la Süper Lig turque. Vu son âge, vus ses états de provider et le kind de joueurs prisés par les golf equipment turcs, qui apprécient les joueurs assez charismatiques, démonstratifs dans lâeffort sur le terrain, je pense que ça peut convenir à Mbemba. Maintenant reste à savoir si un accord est conceivable parce que visiblement ni lâOM, ni Mbemba ne sont prêts à vraiment faire des concessions, donc ça risque dâêtre compliqué de ce côté-là . On sait en plus que Chancel Mbemba est un joueur qui est déjà allé au clash par le passé avec ses golf equipment parce quâil est assez intransigeant. Sur les six derniers mois au FC Porto avant quâil nâcome à Marseille, il était déjà en conflit avec le club, donc la mission se répète un peu pour lui du côté de la Commanderie. Donc je ne suis pas franchement optimiste pour un transfert avant la fin du mercato estival en Turquie, mais je lui souhaite parce que je pense que comme tout joueur de soccer, il a avant tout besoin de jouer. Lire aussi : Fécafoot : quand Samuel Etoâo fait reculer le gouvernement du Cameroun Lâarticle est apparu en premier sur Sport Data Africa.
Alors que plusieurs pistes ont été explorées, notamment en Arabie Saoudite, il est toujours à lâOM et risque de ne pas jouer de la saison. Est-ce que cela ne va pas se rejaillir sur son niveau et celui de la RD Congo ?
« Si la RDC come à faire sans Chancel Mbembaâ¦Â »
Est-ce que la sélection de la RD Congo peut se passer dâun Chancel Mbemba, même sâil nâa pas de compétition dans les jambes ?
Aujourdâhui, le marché turc est encore ouvert. Est-ce quâà lâinstar de Victor Osimhen, Chancel Mbemba pourrait rallier la Süper Lig afin de rester compétitif ?
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Le Chef du gouvernement est allé droit au but en demandant aux joueurs sâils souhaitent que le Cameroun perde à domicile contre la Namibie sur tapis vert. Une query à laquelle les joueurs ont vite fait de répondre par la négative. Alors « où voulez-vous jouer ? », aurait demandé le Premier ministre. Malgré quelques hésitations, les joueurs, bousculé par un Zambo Anguissa visiblement agacé par toute la polémique autour de la mission, ont répondu « à Garoua ». Le vice-capitaine des Lions Indomptables aurait lancé à ses coéquipiers : « la désobéissance à la Fédération va déjà trop loin, allons à Garoua… ». Après dialogue, le Premier ministre, ayant pris en compte la region des joueurs, a dit sâen remettre à la CAF : « si la CAF décide, avec les arguments qui ont été fournis, que nous allons jouer à Garoua, nous irons jouer à Garoua ».
Une équipe bis prête à jouer
Si le bras de fer avec le ministère des sports est loin dâêtre terminé, cette accalmie apparente fait bien les affaires de Samuel Etoâo. Le patron de la Fécafoot nâa ménagé aucun effort pour faire entendre â et respecter â le choix de la fédération quâil dirige depuis décembre 2021. Alors que les joueurs ont boycotté le programme de préparation initialement mis en space par la Fécafoot en ne se présentant pas au lieu du regroupement à Douala, le président de la Fécafoot lui, a activé un conception B. Etoâo, déterminé à foncer, était prêt à aligner une équipe bis, composée principalement de joueurs de la sélection U20. Ces jeunes abilities, renforcés par quelques joueurs expérimentés, étaient déjà en route pour Garoua à bord dâun vol de la compagnie nationale Camair-Co. Cependant, sur instruction des autorités étatiques, ils ont été débarqués de lâavion à la dernière minute à Douala, un coup de théâtre qui aurait pu compromettre la tenue du match.
Les joueurs menacés par la Fécafoot
La veille déjà , face à la résistance des joueurs, la Fécafoot nâa pas hésité à recourir à des mesures coercitives. Des lettres de probability ont été envoyées aux golf equipment des joueurs, laissant planer dâéventuelles sanctions contre eux, sâils restent dans une logique de défiance. « Qu’il soit bien entendu que les 24 joueurs régulièrement convoqués par l’Entraîneur-Sélectionneur Nationwide sont attendus au plus tard le 04 septembre 2024 à 08 heures à l’Hôtel la Falaise Bonanjo à Douala. Faute pour eux de se conformer à cette prescription, la Fécafoot prendra toutes ses responsabilités sans états d’âmes conformément au cadre juridique en vigueur », a écrit lâoccasion faîtière du soccer.
Menace de suspension
Le conflit a pris une dimension internationale peu de temps avant, lorsque la FIFA, dans une correspondance adressée au secrétaire général de la Fécafoot, a exprimé sa préoccupation face à la mission. Lâoccasion mondiale a rappelé aux deux occasions la nécessité de travailler de manière concertée pour éviter toute sanction qui pourrait nuire à lâimage du soccer camerounais. Cette intervention de la FIFA a servi de rappel que les conflits internes pourraient avoir des répercussions bien au-delà des frontières nationales.
Ainsi, tout au prolonged de cette crise, Samuel Etoâo sâest montré déterminé et téméraire. Son refus de céder face aux pressions gouvernementales et son habileté à manÅuvrer dans un environnement adverse conforté par une éventuelle suspension du Cameroun ont forcé le gouvernement à revoir sa region. Toutefois, si ses partisans le célèbrent pour cette « victoire », rien ne semble indiquer que le bras de fer est terminé. Et si Etoâo nâavait remporté quâune bataille ?
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Nibombé Daré et son team déjà à l’Åuvre…
Les Ãperviers du Togo ont officiellement débuté lundi avec leur toute première séance d’entraînement au Stade de Kégué à Lomé et ce, en préimaginative and prescient de ses deux prochains matchs de la segment éliminatoire de la CAN 2025. Cette première séance était axée sur le jeu de possession et de passes. Mardi, au Centre Swallows, les hommes de Nibombé Daré ont enchaîné avec le travail tactique, les combinaisons et les phases de jeu offensives. Après le travail sur les phases offensives, les Ãperviers du Togo ont poursuivi avec les phases défensives. Mercredi et jeudi, les joueurs retrouveront le stade de Kégué après les séances effectuées au Centre Swallows.
Opération séduction
Au-delà du sportif, l’équipe nationale de soccer du Togo, a également entamé, sous l’égide de la fédération (FTF), l’opération séduction qui précède toutes les grandes compétitions internationales. Avec une dimension particulière, cette fois-ci, puisque le Togo joue à domicile. Les entraînements effectués devant les supporters lundi ont permis aux Ãperviers de mesurer leur popularité. Idem pour le nouveau team methodology de Nibombé Daré.
Derniers réglages
Sauf accidents, les deux dernières séances d’entraînements se feront à huis-clos avec les 15 premières minutes ouvertes à la presse comme l’exige le règlement de la CAF. Nibombé Daré a tout de même du anxiousness sur la planche : gagner pour mettre l’équipe sur la marche de la victoire car l’équipe a du mal à s’imposer depuis quelque temps devant son public. A contrario, l’effectif du Togo regorge de alternate strategies pour remporter les trois aspects du match face au Libéeia.
Le Togo affrontera le Liberia le 6 septembre prochain au Stade de Kégué à Lomé à partir de 16h GMT (1ère journée) et la Guinée Equatoriale, le 9 septembre à lâEstadio de Malabo, à partir de 16h GMT (2ème journée) et ce, en préimaginative and prescient de ses deux prochains matchs de la segment éliminatoire de la CAN 2025.
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En effet, lors son dernier Conseil des ministres, le gouvernement congolais a placé l’organisation de cette 26ème CAN séniors dames de handball parmi ses priorités. La Première ministre, Judith Suminwa, a instruit le ministre des Sports de suivre de très près le file lié à l’organisation de cette CAN, la toute première CAN séniors que la RDC va organiser, toutes disciplines confondues.
L’abilities du CNJF sollicitée
Pour réussir l’organisation de cette CAN, la Fédération de handball de la RDC va recourir à l’abilities du Comité nationwide des IXème Jeux de la Francophonie organisés à Kinshasa en 2023. Le président de la Fédération congolaise de handball, Amos Mbayo, a rencontré le directeur du CNJF pour solliciter son accompagnement dans l’organisation de cette CAN de handball séniors dames 2024. « Les IXèmes Jeux de la Francophonie restent pour nous Congolais une référence dans l’organisation des grands événements. Et nous avons voulu nous servir de cette abilities locale pour réussir l’organisation de cette première CAN que la RDC va organiser, toutes disciplines confondues », a déclaré Amos Mbayo.
Pour sa half, le directeur du CNJF a bien reçu cette approche de la Fédération, surtout dans l’optique d’organiser un jour une CAN de soccer. « Je remercie le président de la Fédération de handball de la RDC pour son approche. Nous avons la probability d’avoir un président de la République qui tient au sport et qui veut organiser une CAN de soccer en RDC. L’organisation de cette CAN de handball est l’occasion pour notre pays de prouver au monde qu’il est capable d’organiser la CAN de soccer. Voilà pourquoi nous devons réussir à bien l’organiser », a déclaré Isidore Kwandja.
Un Comité organisation de cette CAN a été mis en space depuis quelques mois. Il est chapeauté par le vice-président de la Fédération de handball de la RDC, Adonis Ngambani. La compétition se déroulera dans les deux gymnases du Stade des Martyrs de Kinshasa. Il ne reste plus qu’à les adapter à la pratique du handball, avec notamment la pose d’un parquet bien adapté.
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Accor, leader régional de l’hôtellerie, invite les voyageurs à redécouvrir différentes capitales africaines, avec une réduction allant jusqu’à 25% sur leurs séjours, petit-déjeuner inclus, valable jusqu’au 30 septembre 2024. Cette offre queer est accessible aux membres de ALL â Accor Reside Limitless dans une sélection de 30 établissements répartis dans 12 pays Africains.
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Situé au cÅur du Plateau, le quartier d’affaires, le Pullman Abidjan offre une vue panoramique sur la lagune Ãbrié. L’hôtel imply des chambres spacieuses et des suites élégantes, où confort et bien-être sont les maîtres-mots. Les potentialities peuvent se détendre au bord de la piscine, se ressourcer au spa et découvrir la assortment d’artwork de l’hôtel, qui crée une atmosphère à la fois culturelle et contemporaine. Que vous soyez en voyage d’affaires, en quête d’une escapade urbaine, en vacances en famille ou en couple, le Pullman Abidjan saura répondre à vos attentes.
PULLMAN DAKAR TERANGA
Le Pullman Dakar Teranga, situé au cÅur de Dakar, imply aux membres ALL des expériences uniques. L’hôtel se distingue par sa vaste terrasse offrant une vue panoramique sur l’océan Atlantique, la plus grande du Plateau. Les potentialities peuvent déguster une cuisine variée au restaurant ou apprécier des cocktails au bar, le tout dans une ambiance festive animée par des soirées à thème et des animations. Les amateurs de culture peuvent visiter le Musée d’Art Contemporain Africain Théodore-Monod, tout proche, tandis que ceux qui cherchent à se détendre profiteront du Teranga Sea walk Membership. Les marchés locaux et l’île historique de Gorée offrent également des opportunités d’explorer et de s’immerger dans la culture sénégalaise.
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En plus de bénéficier de tarifs et d’offres exclusifs, les membres de ALL â Accor Reside Limitless peuvent accumuler des aspects de fidélité lors de chaque séjour, ainsi que dans les involving areas, bars et autres aspects de vente. Ces aspects peuvent ensuite être utilisés pour réserver des nuits dans les hôtels participants d’Accor. Ils peuvent également être transférés et être utilisés chez les partenaires d’Accor à travers le monde. Ils permettent également de vivre des moments inoubliables grâce aux âExperiences Limitlessâ dans les domaines du divertissement, du sport, de la culture, du having a secret agent, des voyages, et bien plus encore. Pour une aventure dépaysantes, ils peuvent profiter des offres estivales exclusives d’ALL dans de nombreux établissements du groupe, que ce soit au Moyen-Orient, en Afrique, en Turquie ou dans la région Asie-Pacifique.
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Le chef de la police, Jeremiah ole Kosiom, a livré les premiers éléments de lâenquête. « Le couple a été entendu en convey de se disputer devant leur maison. Au cours de l’altercation, le petit ami a été vu en convey de verser un liquide sur la femme avant de la brûler ». A noter que le compagnon Dickson Ndiema Marangach présente lui aussi des brûlures et est admis à l’hôpital.
Rebecca Cheptegei a récemment participé au marathon des Jeux olympiques de Paris où elle a fini 44ème. Elle a en outre remporté les Championnats du monde de direction en montagne et sur sentier à Chiang Mai, en Thaïlande, en 2022. A noter que câest dans la même ville d’Endebess que lâathlète Agnes Tirop a été poignardée à mort en octobre 2021 par son mari. Alors quâen avril 2022, lâathlète Damaris Mutua a été assassinée dans la ville d’Iten, dans la vallée du Rift.
We remorse to reveal that our athlete Rebecca Cheptegei, who competed at the Olympics has suffered severe accidents and is hospitalized at Moi Educating and Referral Neatly being facility in Eldoret. This follows an incident inspiring her Kenyan boyfriend pouring petrol and environment fire on her pic.twitter.com/rgnWvgTpkb
— Uganda Athletics Federation-UAF (@UgaAthletics2) September 3, 2024
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Un guerrier sur et en dehors des terrains
Sur les pelouses, tout le monde se souvient de Sol Bamba comme dâun roc. Du haut de son mètre quatre-vingt-dix, le défenseur central a mené la vie dure à bien des attaquants. Et en dehors des terrains, lâancien global ivoirien a aussi donné du fil à retordre à un ennemi vicieux : le most cancers. Il souffrait en effet d’un most cancers du système lymphatique qui avait été diagnostiqué en janvier 2021.
Depuis, Sol Bamba a lutté contre la maladie avec power et braveness, jusquâà même entrevoir le succès puisquâayant pu devenir entraineur. Sa femme a confirmé cet esprit guerrier. « Depuis quelques années, j’ai vu Sol combattre son most cancers de front avec une power mentale et physique et un stoïcisme étonnants. »
Finaliste de la CAN avec la Côte dâIvoireâ¦
Sol Bamba, outre sa riche expérience en club, a aussi connu une riche carrière internationale. Il a porté les couleurs de la Côte dâIvoire à 46 reprises, pour 1 but. Ses débuts avec les Eléphants remontent à 2008, avec notamment 12 matchs de Coupe dâAfrique des Worldwide locations (CAN) disputés tout au prolonged de sa carrière. Il dâailleurs été finaliste de la CAN 2012 perdue contre la Zambie. Ses deux autres CAN (2010 et 2013) se sont soldées par des éliminations en quart de finale.
Sol Bamba a également disputé la Coupe du monde deux fois. Dâabord en 2010 en Afrique du Sud où il nâa joué aucun match. Ensuite, en 2014, au Brésil, le défenseur a disputé les 3 rencontres de groupe en tant que titulaire. Câest dâailleurs en 2014 quâil participe à son dernier match avec la Côte dâIvoire.
â¦Mais aurait pu jouer pour la France
Sâil a ecu une très belle carrière internationale avec la Côte dâIvoire, Sol Bamba aurait aussi pu jouer pour la France. Détenteur de la double nationalité, il avait même pris half à un stage de détection avec l’équipe de France des moins de 18 ans, au CTNFS à Clairefontaine. Il était notamment aux côtés dâun sure Lassana Diarra, qui a porté le maillot des Bleus à 34 reprises, ou encore de Mohamed Sissoko, qui a quant à lui porté les couleurs du Mali.
Par la suite, il va finalement rejoindre les U23 de la Côte dâIvoire avant de monter chez les A et dâavoir la réussite quâon connait.
Lâun des rares entraineurs africains en Europe
Ce début de saison était celui de toutes les promesses pour Sol Bamba. Après sa retraite, il a été intronisé coach dâAdanaspor. Il sâapprêtait même à diriger son 4ème match à la tête de lâéquipe qui évolue en deuxième division. Un fait uncommon que dâavoir un entraineur africain en Europe. Outre Kolo Touré qui a été coach éphémère de Wigan en 2022, Habib Bèye qui a dirigé le Crimson Wide name avec brio ou encore Mbaye Leye actuel entraineur du RFC Seraing en Belgique, les techniciens africains en Europe ne sont pas légion. Bamba était donc parti pour montrer la voie à ses potentiels successeurs, avant dâêtre emporté par la grande faucheuse.
Formé au PSG, adopté par la Grande Bretagne
Natif dâ Ivry-sur-Sein, Sol Bamba a fait ses débuts dans le monde du soccer avec le Paris Saint-Germain. Formé dans le club francilien, il y fait dâailleurs ses débuts professionnels. Câétait le 27 novembre 2004, lors dâun match de Ligue 1 contre Nice. Il avait alors 19 ans et 11 mois. Mais, câest de lâautre côté de la Manche que lâIvoirien a éclos au haut niveau.
En 2006, il quitte le PSG, direction Dunfermline FC en Ecosse. Après deux ans, il swap de club pour rejoindre Hibernian FC, toujours en Ecosse. Sol Bamba va ensuite rejoindre Leicester, en Angleterre, en 2011, mais nây passera quâune seule saison avant de sâengager en faveur de Trabzonspor, en Turquie. Il y joue deux ans puis file en Italie, du côté de Palerme. Toutefois, la Grande-Bretagne va de nouveau lui faire les yeux doux, ce qui le mènera à Leeds. Cependant, câest à Cardiff que Bamba va trouver de la stabilité puisquâil y évolue de 2016 à 2021, avant de porter les couleurs de Middlesbrough.
The sector of soccer pays tribute to Sol Bamba ð pic.twitter.com/1HjV09SPj3
— Sky Sports Football (@SkyFootball) September 1, 2024
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Yael Tiendrebeogo : Tout se faded très bien, nous avons bien travaillé pendant cette préparation dâété afin dâêtre prêts pour le championnat, avec des infrastructures de qualité. Je suis allege dâêtre au FC Lunéville.
Comment expliquez-vous votre état de forme actuel après votre longue blessure, une rupture des ligaments croisés du genou ?
Yael Tiendrebeogo : Pour le moment mon état de forme est bon. Jâai retrouvé mes sensations à 100%. Jâenchaîne les prestations avec du temps de jeu !
Présentez-nous un peu votre club, FC Lunéville ?
Yael Tiendrebeogo : Le FC Lunéville est un club dirigé par Di sangro Franco depuis des années maintenant. Le club a plusieurs terrains en herbe et un synthétique. Le coach actuel est Kevin Diemunsch que je connais depuis longtemps. Câest un club qui a évolué pendant plusieurs années à un bon niveau de Nationwide français ! Un club avec des ambitions et une bonne formation au niveau des jeunes.
Comment ça se faded en championnat pour le club ?
Yael Tiendrebeogo : Nous avons repris le championnat cette semaine avec un match nul pour le premier match. Nous verrons dans quelques semaines où nous allons nous situer au classement ce nâest que le début du championnat, une saison est longue.
Avant de venir à Lunéville, vous avez joué à l’AS Nancy, l’ES Thaon, Gaz Metan, Neuves-Maisons. Racontez-nous un peu comment ça a été ?
Effectivement, jâai pu passer par ces 4 golf equipment. LâASNL où jâai pu faire toutes mes classes en jeunes jusquâà mes 18 ans. Un plentiful club structuré. Je suis ensuite allé à l’ES Thaon en Nationwide 3 où nous avons fait un good parcours en Coupe de France. Ensuite, jâai signé mon premier contrat professionnel à Gaz Metan Médias ou nous avons fait le championnat mais le club a dû fermer pour des raisons financières. Suite à cette mission, je suis revenu au GS Neuves Maisons où nous sommes montés dâune division.
Câétait votre première expérience professionnelle hors des frontières françaises à Gaz Metan en Roumanie ?
Oui câest bien ça. Jâai eu lâopportunité de signer à Gaz Metan par lâintermédiaire de Salif Nogo et Judicael Nabole que je remercie encore.
Après votre formation à l’AS Nancy-Lorraine, vous avez commencé à vous révéler avec les espoirs de votre club formateur. Parlez-nous un peu de votre formation ?
Jâai intégré le club dès lââge de mes 12 ans. Jâai suivi tout le cursus de préformation jusquâà ma signature au centre de formation. A partir du centre de formation câest un autre niveau nous étions dans des groupes de nationwide toutes les années avec de grosses équipes comme Lyon, Strasbourg, Troyes ou encore Metz.
à l’AS Nancy-Lorraine, où vous avez passé de bons moments, quâest ce qui vous a manqué pour rester au plus haut niveau avec ce club ?
Peut-être de la probability. Jâétais prêt à tout niveau : mentalement, physiquement, techniquement. Je nâai pas eu la probability au bon moment mais câest le foot.
Vous avez beaucoup de regrets après ?
Jâai eu des regrets comme toute réponse négative. Mais câest le foot que ce soit dans la vie de tous les jours ou dans le sport, il y a toujours des hauts et des bas. Il faut avoir le mental pour savoir rebondir à cela.
Outre votre parcours en club, vous avez été le capitaine des Ãtalons U20 du Burkina Faso. Dites-nous ce qui a réellement freiné votre progression en sélection burkinabè ?
Au contraire, la sélection mâa donné un coup de pouce pour avoir de la visibilité. Avec mes bonnes performances durant la CAN, jâai eu des appels de plusieurs golf equipment. Cela a été un tremplin pour moi et plusieurs de mes coéquipiers.
Justement, à quoi avez-vous pensé au moment de fouler la pelouse pour la première fois avec le Burkina Faso ?
Câétait un sentiment de fierté et de joie. Jâattendais cette occasion depuis longtemps. Tous les sacrifices que jâai pu faire de ma vie ont payé. Je suis fier et heureux dâêtre global burkinabè.
Ãtes-vous toujours en contact avec les dirigeants ou les joueurs burkinabè ?
Bien sûr. Jâai tissé des liens dâamitié avec les joueurs. On sâécrit et on s’appelle souvent. Pareillement pour les dirigeants, on sâécrit de temps en temps pour prendre des nouvelles.
Comment analysez-vous votre évolution en club et avec le Burkina Faso ?
Je ne me plains pas, partout où je suis passé jâai appris auprès de mes camarades et des dirigeants. Je remercie toutes les personnes qui ont contribué à ma progression.
Comment voyez-vous la suite de votre carrière ?
Pour le moment je me concentre au FC Lunéville dans mon club actuel. Par la suite nous verrons les offres qui se proposent. Je vais faire du mieux de mon côté et le reste est entre les mains de Dieu.
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10. Ismaïla Sarr (Sénégal) – 16 millions dâeuros
De lâOlympique de Marseille à Crystal Palace
Ismaïla Sarr a rejoint Marseille en 2023, où il a montré quelques fulgurances malgré une saison en demi-teinte pour le club. Son transfert à Crystal Palace marque un retour en Premier League, où il espère raviver la flamme de ses performances passées.
9. Sehrou Guirassy (Guinée) – 18 millions dâeuros
De Stuttgart à Dortmund
Après une saison exceptionnelle avec Stuttgart, où il a marqué 30 buts en 30 matchs, l’global guinéen a attiré lâconsideration de Borussia Dortmund. Ce transfert est une opportunité pour lui de sâillustrer dans un club de premier conception en Bundesliga et de découvrir la Ligue des champions.
8. Mohammed El Amine Amoura (Algérie) – 18 millions dâeuros
De lâUnion Saint-Gilloise à Wolfsbourg
Après une saison prolifique en Belgique, l’attaquant agérien rejoint Wolfsbourg avec lâambition de confirmer ses qualités de buteur en Bundesliga. Ses 20 buts en Jupiler Pro League ont convaincu les dirigeants allemands de miser sur lui.
7. Iliman Ndiaye (Sénégal) – 18,5 millions dâeuros
De Marseille à Everton
Arrivée à l’OM, son club de coeur, le Sénégalais n’est réellement jamais parvenu à prendre ses marques, même s’il a contribué à plusieurs victoires importantes du club. Son transfert à Everton lui offre lâopportunité de tenter de se relancer en Premier League et de continuer sa progression.
6. Ibrahim Osman (Ghana) – 19,5 millions dâeuros
Du FC Nordsjaelland à Brighton
Osman, jeune abilities ghanéen, a explosé au Danemark avec le FC Nordsjaelland. Ses performances lui ont valu un transfert à Brighton, où il sera scruté de près en Premier League.
5. Noussair Mazraoui (Maroc) – 20 millions dâeuros
Du Bayern Munich à Manchester United
Mazraoui, après une saison solide au Bayern Munich, rejoint Manchester United pour renforcer la défense des Crimson Devils. Son expérience européenne sera précieuse pour les Mancuniens qui veulent retrouver les sommets de la Premier League.
Lire aussi : Football : le high 5 des joueurs africains sans club
4. Bilal El Khannouss (Maroc) – 20,5 millions dâeuros
De Genk à Leicester Metropolis
Le jeune prodige marocain a été lâun des meilleurs joueurs de Genk, participant activement à leur belle saison en Jupiler Pro League. Longtemps au bras de fer avec son club pour avoir un bon de sortie il rejoint finalement Leicester, où il air of mystery lâopportunité de franchir un cap et de sâillustrer en Premier League.
3. Youssef En-Nesyri (Maroc) – 25 millions dâeuros
De Séville à Fenerbahçe
En-Nesyri quitte Séville après plusieurs saisons réussies en Liga. Son déhalf pour la Turquie marque une nouvelle étape dans la carrière de l’global marocain, où il espère continuer à briller devant le but.
2. Moussa Niakhaté (Sénégal) – 31,9 millions dâeuros
De Nottingham Woodland à Lyon
Niakhaté, défenseur central solide, a été lâun des piliers de Nottingham Woodland. Son transfert à Lyon en fait le défenseur africain le plus cher de ce mercato, avec forcément des attentes élevées en Ligue 1.
1. Yankuba Minteh (Gambie) – 35,3 millions dâeuros
De Newcastle à Brighton
Le jeune ailier gambien a impressionné lors de son prêt à Feyenoord, ce qui a poussé Brighton à casser sa tirelire pour le recruter. Minteh est désormais le joueur africain le plus cher de ce mercato estival 2024. Un statut qu’il va devoir assumer à présent sur le terrain.
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Quand Brys boycotte sa conférence de presse
La conférence de presse du sélectionneur de l’équipe nationale de soccer du Cameroun, Marc Brys, a été annulée à la dernière minute, ce qui a suscité de la confusion et de la déception parmi les journalistes et les supporters. Prévue pour discuter de la préparation de l’équipe et de la liste des joueurs convoqués pour les prochains matchs, la conférence n’a pas eu lieu en raison d’un empêchement imprévu de Brys, selon la Fédération camerounaise de soccer.
Or, selon des indiscrétions, il y a ecu des incompréhensions concernant l’heure et les preparations de la conférence. Marc Brys s’est en effet rendu au siège de lâoccasion faîtière en début de journée (9 heures GMT), mais a dû partir « en raison d’un manque de préparation de la half de la Fédération », apprend-on. La conférence a été reprogrammée à midi, mais Brys sâest pointé deux heures plus tard avant de définitivement quitter les lieux sans se présenter aux représentants des médias qui lâattendaient en salle de presse.
Lire aussi : Marc Brys : « Je ne suis pas l’ennemi de la Fécafoot »
La Fécafoot accusée de « filouterie de bus »
Parallèlement, le même jour, la Fécafoot a été impliquée dans une autre controverse avec la société de transport Trans Universel Voyages (TUV). TUV accuse la Fédération de retenir sans autorisation ni paiement un bus qu’elle utilise depuis plus d’un an pour le transport des joueurs et pour d’autres activités. Le bus, un Volvo Paradisco 1200, est resté en possession de la Fécafoot malgré les demandes répétées de restitution ou de compensation de TUV. « La société Trans Universel Voyages considère premièrement quâelle est victime dâune mission de filouterie de son bus », a communiqué le patron de lâentreprise. Celle-ci sollicite « la restitution de son bus abusivement retenu ».
Désaccords persistants sur le choix du stade
Cette série d’événements se déroule dans un contexte marqué par des divergences entre la Fécafoot et le ministère des Sports autour du choix du stade devant accueillir le match Cameroun-Namibie, prévu le 7 septembre 2024. La Fécafoot, dirigée par Samuel Eto’o, a choisi le stade Roumdé Adja de Garoua, citant des prerequisites météorologiques plus favorables et le soutien de la CAF (Confédération Africaine de Football) et de la Fédération namibienne de soccer.
De l’autre côté, le ministère des Sports, représenté par Narcisse Mouelle Kombi, préfère le stade Ahmadou Ahidjo de Yaoundé, mettant en avant la fonctionnalité des installations et l’significance de minimiser les répercussions financières et logistiques pour l’Ãtat. Ces désaccords suscitent de vives opinions et désorientent les supporters des Lions Indomptables, qui sont partagés entre les différentes positions.
Certains estiment que le manque de consensus entre les autorités sportives reflète un problème plus profond de gestion et de communication. Le débat reste tendu, et les partisans espèhire un retour à la normale pour que l’équipe puisse se concentrer pleinement sur sa efficiency lors de ce match mandatory pour les éliminatoires de la CAN 2025.
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Pourtant, à la surprise générale, l’accord a volé en éclats au dernier moment, empêchant l’Allemand de signer son contrat avec la NFF. Un retournement de mission qui ajoute un nouvel épisode mouvementé à l’histoire récente du soccer nigérian.
Un accord qui semblait scellé
Labbadia, qui jouit d’une solide réputation en Europe grâce à ses nombreuses expériences en Bundesliga, était censé apporter son expérience et son savoir-faire pour redonner un nouveau souffle aux Tremendous Eagles. Les négociations avaient atteint un level où tout semblait en space : le salaire, jugé compétitif par les deux occasions, et la durée du contrat, qui devait permettre au technicien de mener un projet à moyen terme. Les médias nigérians et internationaux commençaient même à relayer lâimminence de sa nomination officielle.
Le désaccord de dernière minute
Cependant, à la toute dernière étape, un détail de taille a tout fait basculer. En pleine finalisation du contrat, un désaccord est survenu concernant les taxes quâaurait dû payer Bruno Labbadia en Allemagne sur ses revenus nigérians. Le technicien allemand a exigé que la NFF prenne en worth la totalité de ces impôts, ce qui représentait une augmentation de près de 40 % du bundle financier initialement convenu.
Face à cette demande de dernière minute, la Fédération nigériane s’est retrouvée dans l’incapacité de répondre favorablement. Les contraintes budgétaires, mais aussi la complexité des implications fiscales internationales, ont poussé la NFF à rejeter cette requête. En conséquence, les discussions se sont brutalement arrêtées, et l’accord qui semblait presque conclu a été rompu.
« La NFF et M. Labbadia sont parvenus à un accord de principe avant d’annoncer qu’il deviendrait l’entraîneur-chef des Tremendous Eagles. Les détails fiscaux nâont jamais fait partie de nos discussions, et il avait personnellement accepté toutes les prerequisites avant que la query fiscale ne soit soulevée. Nous avons fait de notre mieux pour être flexibles dans les discussions, mais il a insisté sur le fait que la NFF devait également payer la totalité du montant de la taxe. Nous ne pouvons tout simplement pas faire cela », a déploré Ibrahim Musa Gusau, président de la NFF, dans un communiqué.
Une nouvelle déconvenue pour la NFF
Ce revirement de mission vient s’ajouter à une série de mésaventures pour la Fédération nigériane, qui peine depuis plusieurs années à stabiliser son équipe nationale. La recherche d’un sélectionneur capable de mener les Tremendous Eagles vers de nouveaux succès se transforme en un véritable casse-tête, alors que les délais pour les prochaines échéances sportives se resserrent.
Pour la Fédération nigériane de soccer, ce nouvel échec reflète les défis persistants qu’elle doit relever pour attirer et retenir des abilities internationaux. Entre les exigences financières, les prerequisites de travail et désormais les problems fiscales, le file Labbadia illustre les difficultés structurelles auxquelles le soccer nigérian est confronté.
Augustine Eguavoen en pompier
Le Nigeria doit désormais repartir de zéro dans sa quête d’un nouveau sélectionneur. Avec les qualifications pour la CAN 2025 qui se profilent à lâhorizon, la pression monte pour la Fédération, qui doit non seulement trouver un remplaçant rapidement, mais aussi éviter les écueils qui ont fait capoter lâaccord avec Labbadia. En attendant de trouver le nouvel homme fort des Tremendous Eagles, c’est Augustine Eguavoen qui va une nouvelle fois assurer l’intérim pour les deux premières journées des éliminatoires à la CAN 2025. Le Nigeria va affronter le Bénin et le Rwanda les 7 et 10 septembre.
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Les deux capitaines partis
Dans cette vague des départs des joueurs cadres, on retrouve les deux capitaines de l’équipe, à savoir, le défenseur central Kévin Mondeko et le milieu de terrain Glody Likonza.
Arrivés, tous les deux fin contrat, ces cadres des Corbeaux se sont engagés avec le club algérien de l’USM Alger cet été. Pour la dernière saison, Glody Likonza a été à plusieurs reprises buteurs et passeur décisif tant en Ligue des champions de la CAF qu’au niveau du championnat nationwide.
Il a su sonner la révolte dans certains matches où le TP Mazembe était en difficulté tel que contre Mamelodi Sundows à Lubumbashi, inscrivant l’spellbinding but du match pour les Corbeaux.
Philippe Kinzumbi finalement parti
Dans le secteur offensif, le Tout puissant Mazembe a aussi perdu un gros pion, en la personne de Philippe Kinzumbi. L’attaquant congolais a été l’un des meilleurs atouts offensifs du club en créant le hazard dans le camp adversarial lors de tous les matches sur son couloir.
Percutant et ayant une grande pointe de vitesse, Philippe Kinzumbi a décanté, à plusieurs reprises, la mission pour le TP Mazembe soit en marquant soit en effectuant une faded décisive.
Philippe Kinzumbi s’est engagé cet été avec le Membership Africain de la Tunisie sans l’accord du TP Mazembe qui lui réclame encore une saison de contrat. L’affaire pourrait virer en litige à la FIFA.
Augustin Oladapo, autre déhalf
Parmi les cadres partis, il y a aussi Augustin Oladapo. Le milieu de terrain nigérian, arrivé fin contrat, s’est engagé avec le club algérien de l’Entente Sportive Setifienne.
Arrivé au TP Mazembe à la fin du mois d’août 2022, Augustin Oladapo su prendre ses marques jusqu’à devenir incontournable dans l’entrejeu des Corbeaux. Il faisait partie des récents joueurs étrangers qui ont réusa à bien s’intégrer au TP Mazembe ces dernières années.
Joël Beya, un réveil, puis s’en va
Joël Beya également n’est plus au sein de l’effectif. L’attaquant congolais s’est engagé avec le club marocain de l’AS FAR cet été. Dans le dur, perdant même sa space de titulaire, Joël Beya a su se réinventer depuis le retour de Lamine Ndiaye sur le banc des Corbeaux.
L’attaquant congolais a su reprendre une space de titulaire par intermittence la saison dernière avec un chemin du but retrouvé. Il a même été titulaire en demi-finale de la Ligue des champions de la CAF face à Al Ahly. Il va donc se servir de son retour en forme ailleurs qu’au TP Mazembe.
L’interdiction de recrutement
Selon plusieurs analystes sportifs, outre l’envie d’aller voir ailleurs, le déhalf de certains cadres qui étaient fin contrat peut se justifier par la peur de ne pas pouvoir être à nouveau enregistrés suite à l’interdiction d’enregistrement des nouveaux joueurs qui frappait le TP Mazembe, qui était plongé dans plusieurs litiges au niveau de la FIFA.
Selon un communiqué du club, tous les litiges viennent d’être finalement résolus en payant toutes les indemnités y étant relatives. Le TP Mazembe prévoit de présenter son effectif pour la nouvelle saison le 5 septembre prochain.
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Les grands axes du programme d’Oumarou Sawadogo
Il s’agit de l’axe 1 qui porte sur lâamélioration de la gouvernance du soccer burkinabè. A ce stade, Oumarou Sawadogo et son équipe proposent de renforcer les outils de la gouvernance de la Fédération à travers la relecture de certains textes de depraved de ladite institution, des golf equipment, des districts et des ligues afin de les rendre plus opérationnels et conformes aux normes. Les golf equipment seront dotés de equipment de bonne gouvernance. Les golf equipment entreprises et golf equipment associations recevront un appui pour améliorer leur gouvernance.
L’axe 2 porte sur le renforcement des capacités des acteurs et la promotion du soccer burkinabè. à ce niveau, Oumarou Sawadogo compte également reformuler les choses, en renforçant les capacités des acteurs et promouvoir le soccer burkinabè. L’axe 3 se focalise sur lâentretien et le renforcement des infrastructures sportives. L’axe 4 porte sur la mobilisation des ressources financières et lâoptimisation de leur gestion.. Pour cela, il est prévu la mise en Åuvre dâune coopérative sportive et d’autres projets qui nâont pas été révélés.
C.L.A.R.T.E
Pour accompagner la mise en Åuvre de ce programme, des valeurs du soccer et de celles prônées par le candidat Oumarou Sawadogo ont été déclinées dans un système de valeurs dénommé « C.L.A.R.T.E » qui tient compte du contexte actuel du soccer burkinabè.
Le C, comme collégialité qui signifie que le travail doit se faire en toute collégialité, de façon consensuelle. Le L, symbolise la loyauté traduisant le respect des engagements. Le A, qui signifie l’ambition. Le R, la responsabilité. Le T, la tolérance. Le E, lâengagement.
Premier défi
Seul candidat en raison de lâinvalidation des dossiers de ses challengers Ali Guissou et Jonathan Pitroipa, Oumarou Sawadogo rassure que son premier défi sera la reprise du championnat qui a connu deux arrêts brusques la saison écoulée. « Le premier recount, câest la reprise du championnat. Il faudrait quâon ait un championnat qui ira à son terme sans accroc ».
Lire sur le sujet : Arrestations, disparitions et militarisation : que se faded-t-il dans le soccer au Burkina Faso ?
Au soir du 31 août prochain, Oumarou Sawadogo et son équipe prendront les commandes du soccer burkinabè miné par les divisions des acteurs.
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]]> Lâarticle est apparu en premier sur Sport Data Africa. Après une carrière impressionnante à Liverpool, où il a remporté la Ligue des champions et la Premier League, Joel Matip se retrouve sans club. Le défenseur central camerounais, d’une valeur marchande de 8 millions d’euros, n’a pas encore trouvé d’équipe pour la saison à venir. Lors de la saison 2022-2023, Matip a disputé 14 matchs toutes compétitions confondues avec Liverpool. Connu pour sa solidité défensive et sa capacité à relancer proprement le ballon, Matip a vu son temps de jeu diminuer en raison de blessures et de la concurrence accrue. Néanmoins, son expérience et son leadership pourraient encore apporter une plus-worth à de nombreux golf equipment européens ou d’autres continents. Aaron Boupendza, dont la valeur marchande est estimée à 5 millions d’euros, a quitté Cincinnati aux Etats-Unis le 8 août après une saison compliquée. L’attaquant gabonais, qui avait brillé auparavant avec Hatayspor en Turquie en terminant meilleur buteur de la Tremendous Lig en 2020-2021, a connu une baisse de régime avec seulement 2 buts inscrits en 14 matchs de MLS lors de la saison 2023-202. Boupendza possède un sens aigu du but et une puissance physique qui peuvent faire la différence, et il espère retrouver une space en Europe pour relancer sa carrière à un niveau compétitif. L’global algérien Youcef Atal, 28 ans, reste sans club après son déhalf dâAdana Demirspor, club du championnat turc. Avec une valeur marchande de 4,3 millions d’euros, Atal est connu pour sa polyvalence sur le côté droit, capable de jouer aussi bien comme latéral que comme ailier. Toutefois, sa carrière a été marquée par plusieurs blessures qui ont limité son temps de jeu. Lors de la saison 2023-2024, il n’a disputé que 11 matchs de championnat, avec 1 but et 2 passes décisives à son actif. Malgré ses qualités solutions et sa rapidité, Atal cherche à prouver qu’il peut rester en bonne santé et redevenir un atout pour une équipe de premier conception. Achraf Bencharki, avec une valeur marchande de 3,7 millions d’euros, est un autre joueur en quête d’un nouveau club. Après avoir quitté le Zamalek en Ãgypte, où il a remporté plusieurs titres dont la Ligue des champions de la CAF, Bencharki a tenté sa probability à Al Jazira en Ãmirats Arabes Unis. Cependant, son passage n’a pas été à la hauteur des attentes avec seulement 5 buts en 24 apparitions. Connu pour sa capacité à percer les défenses adverses grâce à sa methodology et à son intelligence de jeu, Bencharki est libre après avoir disputé son dernier avec Al-Rayyan le 14 mai dans le championnat qatari où il a fait 19 apparitions pour un plentiful bilan de 10 buts inscrits et 3 passes décisives ? Enfin, Serge Aurier, le défenseur ivoirien avec une valeur marchande de 3,7 millions d’euros, est également sans club après son déhalf de Galatasaray. Ancien joueur de Tottenham, du Paris Saint-Germain et de Nottingham Woodland, Aurier nâa pas réusa à sâimposer au sein du club stambouliote. Membership quâil a rejoint en février pour un contrat devant expirer à la fin de la saison. Il nâair of mystery disputé que 4 matchs, passant le clair de son temps à cirer le banc. Arthur Wandji Lâarticle est apparu en premier sur Sport Data Africa.
Joel Matip, dans lâattente dâun nouveau défi
Aaron Boupendza, la Panthère en quête de relance
Youcef Atal, un abilities freiné par les blessures
Achraf Bencharki, Ã la recherche de nouveaux horizons
Serge Aurier, vétéran ivoirien en quête d’une dernière aventure
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Yves Kapa : La sensibilisation est très bien faite en RDC. C’est depuis très longtemps que le CNAC l’a fait. Il est vrai que ce n’est pas le premier cas mais le CNAC a même accentué la sensibilisation avec son situation Cyber internet qui détient toutes les informations sur les produits interdits par l’Agence mondiale antidopage. Nous avons même innové en créant une application que nous avons mise à la disposition des athlètes qui se sont faits enregistrer.
Vous vous êtes souvent entretenu avec les athlètes qui étaient à Kinshasa. Mais Celui qui été testé positif à Paris n’était pas à Kinshasa. Il s’est préparé au Sénégal. Est-ce que cela sous-entend que votre sensibilisation s’arrête au niveau native ?Â
Nous avons une depraved des données avec les noms de tous les athlètes qui étaient qualifiés pour les Jeux Olympiques de Paris. Nous avons fait le travail comme il se doit. Pour ceux qui étaient au pays, nous avons parlé avec eux et ça a continué jusqu’à Paris. Mais comme on ne cesse de le dire, l’athlète est le seul responsable de tout ce qu’il consomme.
Au-delà de dire aux athlètes que le dopage est mauvais, le CNAC leur a-t-il donnés les noms de tous les produits interdits par l’Agence mondiale antidopage ?Â
Oui, la liste des produits interdits est disponible sur le situation de l’Agence mondiale antidopage et nous les avons tous mis aussi sur le situation du CNAC. Nous avons même fait une actualisation par rapport aux produits qui sont souvent consommés ici au Congo. Pour les athlètes qui se sont fait enregistrés, tout est disponible. Le situation du CNAC c’est www.cnac.org.
Lire aussi : Dopage : Dominique Lasconi testé positif
Les noms scientifiques de ces produits peuvent être compliqués à comprendre pour les athlètes. Est-ce vous avez essayé de faire correspondre ces noms aux noms des produits, naturels ou pas, fréquemment utilisés au pays pourqu’un athlète qui pense prendre un produit naturel ne se dope sans le savoir ?
Nous avons fait un big travail sur l’application que nous avons créé. Nous avons essayé d’expliquer tout ça. à half ça, nous avons rattaché les produits interdits par l’Agence mondiale antidopage aux différents produits pharmaceutiques vendus au pays.
Les encadreurs solutions peuvent servir de pont entre vous et les athlètes, le CNAC organise-t-il des ateliers de recyclage à leur endroit ?Â
Nous avons déjà eu à participer à plusieurs séminaires avec les cadres solutions de plusieurs fédérations. Ils sont outillés et nous aussi, nous continuons à les sensibiliser.
Un message à adresser aux athlètes congolais ?Â
Se doper c’est tricher, se doper conduit à la mort et surtout qu’ils viennent d’enregistrer au système adams afin d’être mis au parfum de tout ce dont ils ont besoin pour lutter contre le dopage.
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Exprimant son inquiétude pour les jeunes joueurs qui doivent faire face à ces attaques massives, Caroline Garcia a partagé des messages violents reçus, certains allant jusqu’à lui souhaiter la mort. Elle a également critiqué l’industrie du tennis pour son partenariat continu avec les sociétés de paris, qui, selon elle, alimentent ce comportement toxique.
« Lutter contre cette tragédie »
Concernée par ce phénomène et engagée pour le combattre, Ons Jabeur, solidaire de Garcia, a applaudi son braveness pour avoir pris la parole, soulignant la nécessité pour la communauté tennistique de se serrer les coudes face à cette haine qui prend de plus en plus d’ampleur. «â¯Merci à Caro de sâêtre exprimé. Cela devient frustrant pour la plupart dâentre nous lorsque nous perdons un match. Nous devons tous nous serrer les coudes pour lutter contre cette tragédie. Soutien totalâ¯Â», a posté la Tunisienne, blessée à l’épaule et forfait pour l’US Originate, en guise de réponse.
En plus d’Ons Jabeur, d’autres joueuses, comme Iga Swiatek et Paula Badosa, ont également apporté leur soutien, appelant à une meilleure régulation des plateformes sociales et à une prise de judgment of right and wrong collective. Cette affaire, la dernière en date, met en lumière un problème de plus en plus répandu dans le sport, où la pression des attentes et les paris en ligne exacerbent le harcèlement, soulignant la nécessité de mesures urgentes pour protéger les athlètes.
Thanks Caro for talking upðð¼ Its changing into nerve-racking for most of us after we lose any match. Lets all stick together to wrestle this tragedy ðð¼â¤ï¸ Fleshy enhance https://t.co/lDlcFfSKoW
— Ons Jabeur (@Ons_Jabeur) August 28, 2024
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Cette circulate judiciaire a été déposée en Suisse, un choix stratégique pour la FIFA, car le pays a des lois sur la diffamation plus strictes que d’autres juridictions. En Suisse, la responsabilité pour diffamation peut s’étendre aux plateformes qui facilitent la diffusion de contenus diffamatoires, ce qui est précisément l’argument avancé par la FIFA contre Google.
De son côté, Google rejette les accusations, arguant qu’il n’a aucun contrôle sur les contenus des internet sites internet qu’il indexe et qu’il n’est pas responsable de la véracité des informations publiées par des tiers. De plus, Google souligne que le situation incriminé n’est pas facilement accessible through une recherche long-established, ce qui, selon l’entreprise, minimise l’impression potentiel sur la réputation de la FIFA.
Un procès qui pourrait créer un dangereux précédent ?
L’discipline de ce procès pourrait avoir des répercussions significatives, non seulement pour Google, mais aussi pour la manière dont les moteurs de recherche et les plateformes numériques en général gèhire les demandes de suppression de contenus. Si la FIFA obtient impression de space off, cela pourrait établir un précédent permettant à d’autres organisations de poursuivre Google ou d’autres moteurs de recherche pour des contenus similaires, ce qui pourrait à terme restreindre la liberté d’expression sur Cyber internet.
Cette affaire s’inscrit également dans un contexte plus mammoth de contestations contre Google, notamment aux Ãtats-Unis où l’entreprise est accusée de maintenir un monopole illégal sur le marché de la recherche en ligne. Un jugement en faveur de la FIFA pourrait affaiblir encore plus la region de Google, déjà fragilisée par des poursuites antitrust.
Alors que le procès ne fait que commencer, il n’y a pas encore de calendrier précis pour un verdict. Cependant, les conséquences potentielles de cette affaire en font un file à surveiller de près, tant pour les spécialistes du droit que pour les entreprises numériques du monde entier. La FIFA, en cherchant à protéger son image, pourrait bien redéfinir les règles du jeu pour les géants de la technologie.
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Lire aussi : Jeux Paralympiques 2024 : lâAfrique à la croisée des chemins
Au total, ils seront en lice dans les disciplines pour lesquelles ils ont décroché leur qualification. Cecifoot, para-athlétisme, para-cyclisme, para-haltérophilie, para-judo, para-canoé, para-Taekwondo, tennis de table, tennis fauteuil, natation, volley-assis, goalball, para-triathlon et Rowling seront au menu. L’occasion pour le big public de découvrir certaines de ces disciplines et pour les athlètes africains de tenter d’aller chercher des médailles.
Des champions en titre et des médailles très attendus
Au premier rang desquels Ntando Mahlangu. Sacré champion olympique en 2021 à Tokyo, le Sud-africain avait éclaboussé le concours du saut en longueur en battant le file du monde avec un bond à 7,17m. C’est avec ce statut de tenant du titre qu’il débarque à Paris. Autre big espoir de médailles, Raoua Tlili. A 34 ans, la Tunisienne qui compte quatre olympiades à son actif et quatre médailles d’or espère compléter son palmarès avec de nouvelles médailles au lancer du disque et du poids. Même son de cloche pour Samir Nouioua. Le vétéran algérien, médaillé d’or à Pérelatives et Londres sur 800m espère finir en beauté pour ce qui pourrait être ses derniers Jeux Paralympiques.
Autre vétérane la Nigériane Flowers Ugwunma tentera de faire honneur à son statut. A 40 ans, la double championne paralympique de javelot sera en lice sur son épreuve de prédilection, mais aussi sur le lancer du poids. Sa compatriote Folashade Oluwafemiayo (39 ans), championne olympique en titre en para haltérophilie (féminine, + de 86 kg) tentera aussi de préserver sa couronne.Triple champion paralympique, avec un doublé retentissant à Rio 2016 sur 1500 et 5000m, le Kényan Samwel Mushai Kimani va tenter de rééditer l’exploit.
Quelques exemples parmi d’autres qui symbolisent le potentiel du continent, malgré le peu de moyens dont disposent souvent ces athlètes tout au prolonged de leur saison. Pas de quoi entamer leur factual et leurs ambitions, avec en ligne de mire les 63 médailles glanées par le continent africain à Tokyo pour, pourquoi pas, tenter d’atteindre à nouveau la barre des 100 médailles qui était atteinte et même dépassée lors des éditions précédentes.
Les délégations africaines aux Jeux Paralympiques de Paris 2024
- Egypte : 54 para-athlètes
- Maroc : 38 para-athlètes
- Afrique du Sud : 32 para-athlètes
- Tunisie : 30 para-athlètes
- Algérie: 26 para-athlètes
- Nigeria : 23 para-athlètes
- Rwanda : 13 para-athlètes
- Kenya: 13 para-athlètes
- Ile Maurice: 6 para-athlètes
- Namibie : 5 para-athlètes
- Cameroun : 5 para-athlètes
- Ouganda: 4 para-athlètes
- Sénégal: 4 para-athlètes
- Ethiopie: 4 para-athlètes
- Ghana : 4 para-athlètes
- Libye : 3 para-athlètes
- Côte dâIvoire : 3 para-athlètes
- Angola, Botswana, Bénin, Burundi, Cap-Vert, Centrafrique, Congo, Gabon, Guinée, Guinée-Bissau, Liberia, Mali, Malawi, RD Congo, Zambie, Zimbabwe : 2 para-athlètes
- Burkina Faso, Erythree, Niger, Mozambique, Tanzanie, Togo : 1 para-athlète
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Un symbole dâespoir, mais un chemin semé dâembûches
Car pour la grande majorité des para-athlètes africains, participer aux Jeux Paralympiques est un accomplissement en soi, un symbole d’espoir et de résilience. Ces athlètes doivent souvent surmonter des boundaries qui vont bien au-delà de la compétition sportive. En effet, le manque d’infrastructures adaptées, de financements adéquats, et le peu de soutien institutionnel constituent autant de freins au développement de leurs performances.
La faible accessibilité aux équipements spécialisés, l’absence de formations adaptées pour les entraîneurs, et une reconnaissance sociale insuffisante pour les personnes en mission de handicap sont autant de facteurs qui limitent la croissance du sport paralympique en Afrique. Ces difficultés sont exacerbées par une visibilité médiatique limitée, ce qui restreint l’engouement du public et le soutien des sponsors. Dans des pays où le handicap physique a souvent des répercussions sociales significatives, être un para-athlète relève du parcours du combattant.
Lire sur le sujet : Ghana : les Jeux africains paralympiques menacés
Mais, malgré ces défis, des éclaircies sont à noter et le continent africain initiate à montrer une ambition accrue. Plusieurs pays, comme la Tunisie, l’Afrique du Sud ou encore le Kenya investissent davantage dans le sport paralympique, conscients de lâsignificance de soutenir ces athlètes qui portent haut les couleurs de leur nation sur la scène mondiale. Le gouvernement tunisien et diverses organisations sportives locales par exemple ont investi dans des programmes spécifiques pour les athlètes paralympiques, avec des infrastructures adaptées et un soutien financier accru.
L’Afrique du Sud a pris la même voie avec des initiatives comme la Sasol Cool weather Games, un événement multisport pour athlètes en mission de handicap, qui contribue à développer le sport paralympique. Mais en dépit de ces efforts, il reste encore beaucoup à faire pour rattraper le retard accumulé face aux international locations les plus avancées dans ce domaine. Notamment en termes de financements et de sensibilisation.
Un get recul du continent aux Jeux Paralympiques
Conséquence de ce financement manquant, lâévolution des performances africaines aux Jeux Paralympiques est pour le moins préoccupante. En 16 ans, le nombre de médailles remportées par les athlètes africains a été réduit de moitié : de 120 médailles à Athènes en 2004, à seulement 63 à Tokyo en 2020 (pour 117 à Pérelatives 2008, 112 à Londres 2012 et Ninety nine à Rio 2016). Ce déclin soulève des questions sur les raisons profondes de cette chute.
Une régression qui s’explique par de nombreux facteurs, à commencer par lâintensification de la concurrence internationale, avec de nombreux pays qui ont significativement augmenté leurs investissements dans le sport paralympique. Ce qui a élevé le niveau global de la compétition, au détriment des international locations les moins bien loties financièrement et qui investissent le moins dans le sport paralympique. Conséquence : les pays africains, confrontés à des contraintes économiques et institutionnelles, peinent à suivre ce rythme.
Aussi, lâévolution des catégories sportives et des critères de classification a également joué un rôle. Ces ajustements solutions, bien que justifiés par une quête dâéquité, peuvent parfois défavoriser les athlètes africains, dont les programmes dâentraînement et de préparation sont moins sophistiqués que ceux de leurs concurrents, tout comme le matériel d’entraînement et de compétition qui est pour certains bien moins à la pointe de la technologie en raison des coûts engendrés.
Stratégies nationales et continentales à adopter
Autre facteur à prendre en compte : la réduction du nombre de para-athlètes africains qualifiés pour les Jeux est la conséquence directe du manque de constructions sportives adaptées sur le continent. Ce déficit empêche de nombreux abilities potentiels dâémerger et de se préparer efficacement pour ces rendez-vous mondiaux.
Autant de aspects qui font des Jeux Paralympiques de Paris 2024 un tournant mandatory pour le sport paralympique africain par rapport aux défis colossaux qui subsistent. Si en comparaison aux Jeux Olympiques, les Jeux Paralympiques rapportent plus de médailles à l’Afrique, le recul des performances africaines au cours des dernières années est un signal dâalarme qui appelle à une réévaluation des stratégies nationales et continentales en matière de soutien aux para-athlètes. Alors que Paris accueille ces Jeux, câest un message d’espoir et de persévérance que porteront les 305 athlètes africains, déterminés à hisser leur continent au sommet du sport paralympique mondial.
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Quel memento gardez-vous de votre passage au Up to date Sport d’Ãgypte ?
Hassane Imourane : Je garde de très bons souvenirs de mon passage en Ãgypte. Au Moderne Future, j’ai rencontré des personnes exceptionnelles qui ont tout mis en Åuvre pour me mettre dans les meilleures prerequisites possibles. Je n’oublierai pas leur soutien.
Pourquoi avoir choisi le Grasshopper Membership Zurich ?
Hassane Imourane : Parmi les propositions que j’avais, celle de Grasshopper m’a le plus séduit et correspondait le mieux à ce que je recherchais.
Heureux d’être au Grasshopper ?
Hassane Imourane : Naturellement. Et je suis très motivé à l’idée de jouer pour le club. C’est merveilleux d’être à Zurich.
Comment vous sentez-vous déjà avec votre nouveau club ?
Hassane Imourane : Bien. Mes premières impressions vis-à -vis du club sont très positives. J’espère que mon séjour sera agréin a region et je ferai de mon mieux pour honorer la confiance qu’ils ont placée en moi.
Quels sont vos projets avec le club ?
Grasshopper a lutté pour se maintenir en première division la saison dernière. Mon premier objectif est de contribuer à ce qu’il se maintienne plus sereinement cette saison. J’espère m’acclimater rapidement au soccer européen, réaliser de bonnes performances, et nous verrons pour la suite.
Vous êtes un global béninois depuis mars 2023. Comment vous vous sentez en sélection ?
Je me sens très bien. C’est comme une famille, et l’ambiance est excellente. J’ai toujours rêvé de représenter mon pays, c’est un rêve d’enfant qui se réalise pour moi. Je porte toujours la tunique jaune avec beaucoup de fierté et la volonté de donner le meilleur de moi-même.
Comment voyez-vous la suite de votre carrière ?
Je préfère prendre les choses une à une. J’essaie de faire les choses du mieux conceivable aujourd’hui, et demain, nous verrons ce que cela donnera, en espérant que ce sera encore meilleur.
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Discussions prometteuses avec Metz
Pourtant, après avoir annoncé son déhalf à ses dirigeants, l’ancien défenseur semblait déjà avoir un level de chute en vue. Si Reims a un temps été évoqué en vue du déhalf de Will Mute à Lens, l’un des golf equipment les plus sérieux à avoir approché Habib Beye fut le FC Metz. Le club lorrain, qui venait de subir la relégation en Ligue 2, était à la recherche d’un entraîneur capable de les ramener rapidement parmi l’élite.
Lire aussi : Crimson Wide name-Habib Beye : « Quel entraîneur va dire non à Marseille ? »
Les discussions ont été avancées, mais la relégation a refroidi Beye, qui avait des ambitions plus élevées. Quitter un promu en Ligue 2 pour un relégué en Ligue 2, n’emballant pas vraiment l’ancien défenseur de l’OM. Malgré un intérêt preliminary, les deux occasions n’ont pas réusa à trouver un terrain d’entente, notamment en raison des divergences sur le projet sportif du club.
Strasbourg : une opportunité qui s’envole
Malgré cette première déconvenue, une autre opportunité a vite émergé par la suite du côté de Strasbourg après le déhalf surprise de Patrick Vieira. L’idée de revenir dans un club où il avait évolué en tant que joueur semblait séduisante pour Beye. Des discussions ont même été amorcées. Cependant, cette piste n’a pas abouti non plus, Strasbourg ayant finalement choisi de se tourner vers d’autres alternate strategies. Cette occasion manquée a été particulièrement décevante pour Beye, qui voyait en Strasbourg un projet aligné avec ses ambitions de coach en Ligue 1.
Le guide toujours en attente
Malgré ces déconvenues estivales et à l’heure où tous les golf equipment ont trouvé leur entraîneur, Habib Beye va don devoir prendre son mal en patience avant de retrouver un banc. D’ici là , il va malgré tout rester actif en tant que guide pour Canal+. Si cette region lui permet de rester proche du soccer et d’affiner ses analyses tactiques, elle n’est qu’un substitut temporaire à ce qui est désormais sa véritable passion : le instructing.
Au last, l’été 2023 air of mystery été celui des times manquées pour Habib Beye, le plaçant parmi les grands perdants de cette période de mercato alors qu’il été annoncé pour rejoindre un nouveau projet et, pourquoi pas, prendre une nouvelle dimension pour confirmer le travail entrevu avec le Crimson Wide name. Une mission qui met en lumière la difficulté de percer au plus haut niveau, même pour un entraîneur talentueux et ambitieux. Ne lui reste plus qu’à faire preuve de patience et attendre son heure, car nul doute que d’ici quelques mois, comme après chaque début de saison manqué pour de nombreux golf equipment, des postes vont se libérer.
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En effet, créé le 12 août 2023 par l’ancien président du Fearless Membership Motema Pebembe, Vidiye Tshimanga, le FC les Aigles du Congo a disputé la Ligue 1 de la RDC dès sa première année d’existence, utilisant la space de la Jeunesse Sportive de Kinshasa, équipe achetée par Vidiye Tshimanga pour le créer.
Dès sa création, le comité dirigeant de l’équipe ont ouvertement affiché les ambitions du club, avec comme objectif à moyen terme, remporter une coupe africaine interclubs à l’horizon 2030, soit, 7 ans seulement après la création du club.
Un projet séduisant
Pour atteindre ses objectif, le FC les Aigles du Congo met tout en oeuvre selon la imaginative and prescient de son président, Vidiye Tshimanga.
Dès sa première année d’existence, le club s’est doté des équipes d’âges, les U16 et les U20. Une façon, non seulement, de vouloir déjà assurer la relève, mais aussi de rajeunir l’effectif de l’équipe première en offrant l’opportunité aux plus talentueux de ces Jeunes, de découvrir le haut niveau en ayant la probability de monter rapidement dans l’équipe première pour les plus talentueux.
L’équipe U16 des Aigles du Congo d’ailleurs participé à un premier tournoi global aux Can pay-Bas. Durant ce séjour hollandais, deux des joueurs de l’effectif, Tegra Ekamba et Benjamin Mamboya, ont été repérés par l’AZ Alkmaar, qui les a intégrés dans son équipe des jeunes.
Outre cela, le club a entamé la construction d’un centre de formation avec notamment des dortoirs et des terrains qui vont disposer des pelouses naturelle, hybride et synthétique.
Mélange jeunesse et expérience
L’objectif du comité dirigeant du FC les Aigles du Congo est plus d’offrir des opportunités aux jeunes de s’exprimer. Mais sans expérience, ils ne pouvaient, peut-être pas tenir dans un championnat congolais où on retrouve des grands golf equipment à l’instar du TP Mazembe, l’AS V.Membership, Lupopo, DCMP ou encore l’AS Maniema Union.
Et pour commencer leur aventure en Ligue 1, le club a fait appel à quelques joueurs expérimentés pour venir gonfler son effectif qui comprenait beaucoup des jeunes.
Parmi ces joueurs il y a notamment eu Michael Wango, ancien de V. Membership et Maniema Union, Dieumerci Mukoko Amale, global congolais, ancien du DCMP ou encore du club marocain de Diffa El Jadida.
D’autres joueurs également sont venus de l’étranger, à l’instar du Maxwell Djoumekou, qui a été le meilleur buteur du Congo en play-offs avec 8 réalisations. Ce mélange a donné un effectif plaisant à voir jouer à chaque match.
Victorieux face à tous les grands golf equipment sauf Mazembe
Après seulement une année d’existence, le FC les aigles du Congo à déjà une belle histoire à raconter. En effet, pour sa première participation en Ligue 1, le club kinois est allé au-delà de ses propre attentes et a surpris tout le public en réussissant à se qualifier pour la segment de play-offs; un Closing 8 du championnat qui était composé des 4 meilleurs golf equipment de deux groupes de la segment classique.
Dans cette segment décisive du championnat, FC les Aigles du Congo a terminé 4ème, devant l’AS V. Membership. Une grande efficiency qui a été réalisée grâce aux exploits accomplis en battant tous les grands du pays, sauf le TP Mazembe. Sinon, V. Membership, Lupopo, Maniema Union et DCMP ont tous été battus au moins une fois par le FC les Aigles du Congo au championnat lors de la saison 2023-2024
Extension à d’autres disciplines
Outre le soccer, le club s’est étendu à d’autres disciplines sportives. La Route de l’équipe a décidé de créer une équipe féminine de handball et une équipe masculine de volley-ball.
Et comme pour le soccer, le club connaît un big succès dans ces deux autres disciplines. De quoi inspirer plusieurs entrepreneurs sportifs en RDC.
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1- Mamelodi Sundowns (Afrique du Sud)
Le club sud-africain des Mamelodi Sundowns détient actuellement le titre de club le plus valorisé d’Afrique avec une valeur estimée à 36,7 millions d’euros.
2- Al Ahly SC (Ãgypte)
Al Alhy SC est le deuxième club du high 10. Le club égyptien dispose d’une valeur estimée à 28 millions dâeuros.
3- Espérance Sportive de Tunis (Tunisie)
L’ES Tunis occupe la troisième region du classement avec une valeur de 21,8 millions dâeuros.
4- Orlando Pirates (Afrique du Sud)
Les sud-africains des Pirates sont quatrièmes avec une valeur estimée de 21,2 millions dâeuros.
5- Pyramids FC (Ãgypte)
Valorisé à 20,2 millions dâeuros, le club égyptien des Pyramids FC est le cinquième.
6- Zamalek SC (Ãgypte)
Coté à 16,1 millions dâeuros, le Zamalek Carrying Membership occupe la sixième space de ce high 10.
7- Kaizer Chiefs (Afrique du Sud)
Le représentant sud-africain, Kaizer Chiefs avec une valeur monétaire de 15,4 millions dâeuros occupe la septième space de ce classement.
8- CR Belouizdad (Algérie)
Le CR Belouizdad d’Algérie est le huitième club le plus valorisé d’Afrique avec 14,6 millions dâeuros.
9- Stellenbosch FC (Afrique du Sud)
Valorisé à 13,9 millions dâeuros, le club sud-africain de Stellenbosch Football Membership est neuvième de ce classement.
10- Raja Membership Athletic (Maroc)
Avec une valeur estimée à 13,4 millions dâeuros, le club de la ville de Casablanca au Maroc ferme ce high 10.
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Née en 1998 à Douala, Cindy Winner Djankeu Ngamba de son nom complet, a pourtant connu un parcours de vie complexe. A seulement 9 ans, elle quitte le Cameroun avec sa mère et son frère pour la France, avant de s’installer finalement en Angleterre deux ans plus tard. En terre britannique, Ngamba fait face à plusieurs défis, dont le harcèlement scolaire et la barrière de la langue. « Quand je vivais au Cameroun, j’étais une enfant extravertie, pétillante et tout, avait-elle relaté à lâAFP. Mais quand je suis arrivée en Angleterre, j’ai voulu devenir plus introvertie, je voulais me protéger, sûrement à space off de la barrière de la langue ». Câest justement à travers ces boundaries quâelle trouve la power de se lancer dans la boxe, encouragée par son frère aîné.
Asile
A 15 ans, elle rejoint un club de boxe native et, rapidement, elle se révèle comme une athlète prometteuse. Avec les années, le travail et lâpatience, elle gagne en expérience et se distingue dans plusieurs catégories de poids, devenant championne du Royaume-Uni des moins de 81 kg, puis des moins de 75 kg, et enfin des moins de 70 kg. Cependant, malgré ses succès, son rêve de représenter la Grande-Bretagne aux Jeux Olympiques se heurte à un obstacle administratif : son statut de réfugiée. En raison de son orientation sexuelle et de la répression de l’homosexualité dans son pays natal, elle obtient l’asile au Royaume-Uni, mais sans la nationalité britannique, elle ne peut porter les couleurs de l’Union Jack aux Jeux Olympiques.
Câest donc sous la bannière de lâéquipe des réfugiés quâelle fait ses débuts aux JO de Paris. Porte-drapeau de cette équipe aux côtés du taekwondoïste syrien Yahya al-Ghotany, Cindy Ngamba représente l’espoir et la résilience de millions de personnes déplacées à travers le monde. Sur le ring, elle wrestle avec détermination. Lors de la demi-finale des moins de 75 kg, elle affronte la Panaméenne Atheyna Bibeichi Bylon, une adversaire redoutable. Bien que battue sur décision partagée des juges (4-1), elle quitte la compétition avec une médaille de bronze, une première historique pour lâéquipe des réfugiés, composée de 36 athlètes venus de 11 pays. Ce métal représente non seulement un exploit personnel pour Ngamba, mais aussi un symbole fort pour tous les réfugiés, démontrant que lâadversité peut être transformée en power.
Arthur Wandji
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Les résultats des JO de Paris 2024 ont mis en lumière les faiblesses du sport africain. Le Kenya, avec ses 11 médailles, et l’Afrique du Sud, avec 6 médailles, se sont placés en tête des international locations africaines. Cependant, ces pays se retrouvent respectivement à la 17ème et 44ème space au classement mondial, illustrant la difficulté pour l’Afrique de rivaliser avec les grandes puissances sportives. Ces résultats contrastent avec les succès individuels notables, tels que les exploits en athlétisme du Kenya, qui continue de dominer les épreuves de fond.
Un sous-investissement chronique
L’un des principaux défis du sport africain est le sous-investissement chronique. Le sport ne représente que 0,5% du PIB africain, contre une moyenne mondiale de 5%. Cette faible allocation budgétaire se traduit par un manque d’infrastructures de qualité, des programmes de formation insuffisants, et une incapacité à retenir les abilities qui fuient vers des pays offrant de meilleures opportunités. Ce phénomène est exacerbé par l’absence d’une corrélation directe entre les budgets alloués et les performances, comme l’illustre la comparaison entre l’Ouganda et le Maroc, où les résultats sportifs ne reflètent pas les investissements réalisés.
Lire aussi : Que retenir des JO 2024 pour l’Afrique ?
Des défis de gouvernance et de imaginative and prescient à prolonged terme
Le sport africain souffre également d’une faible gouvernance et d’un manque de imaginative and prescient stratégique à prolonged terme. La gestion des fonds sportifs manque souvent de transparence et de responsabilité, ce qui limite l’efficacité des investissements. De plus, le capital humain dans le domaine sportif est insuffisamment formé, et l’accès limité aux financements freine le développement de projets sportifs ambitieux. La fuite des abilities vers l’étranger constitue un autre défi majeur, privant le continent de ses meilleurs athlètes.
Déséquilibre dans l’investissement sportif
Le soccer prédomine largement dans les investissements sportifs en Afrique, au détriment d’autres disciplines. Des événements comme la Coupe d’Afrique des international locations et la Coupe du monde 2030, que le Maroc va co-organiser avec l’Espagne et le Portugal, captent une half disproportionnée des ressources. Cette concentration des investissements sur le soccer néglige le développement du sport newbie et de depraved, pourtant essentiel pour extinct les futures générations de champions dans diverses disciplines.
Manque de stratégie panafricaine et sous-exploitation du potentiel économique
L’absence de coordination continentale dans le développement du sport africain est une autre space off de la stagnation des performances. Les disparités importantes entre les pays dans l’approche du sport et la faible mutualisation des ressources et des expertises à l’échelle continentale limitent l’impression des initiatives isolées. Une stratégie panafricaine cohérente pourrait permettre de surmonter ces boundaries en alignant les efforts des différentes international locations sur des objectifs communs.
Le sport est encore largement sous-exploité en tant que secteur économique en Afrique. Alors qu’il pourrait jouer un rôle clé dans le développement des industries connexes, telles que les équipements sportifs, les médias, et le tourisme sportif, ces opportunités restent peu développées. De plus, le sport africain est peu utilisé comme un outil de at ease strength et de diplomatie, contrairement à d’autres régions du monde.
Vers une renaissance du sport africain ?
Pour relancer le sport africain, il est essentiel d’élaborer une stratégie sportive panafricaine à prolonged terme. La création d’une agence continentale de développement du sport pourrait coordonner les efforts des différentes international locations et mettre en space des mécanismes de transparence dans la gestion des fonds. Une telle approche favoriserait une meilleure allocation des ressources et une planification plus stratégique du développement sportif.
L’augmentation de la half du PIB consacrée au sport pour atteindre la moyenne mondiale de 5% est une étape cruciale pour renforcer les infrastructures sportives et les programmes de formation. La création d’un fonds panafricain pour le développement du sport pourrait également encourager les partenariats public-privé dans le financement des projets sportifs, tout en assurant une distribution équitable des ressources.
Développement des infrastructures et de la formation
Le sport africain ne pourra se développer sans des infrastructures de qualité. Un programme continental de construction et de rénovation d’infrastructures sportives, couplé à la création d’académies régionales pour diverses disciplines, est indispensable. Renforcer l’éducation physique dans les systèmes éducatifs contribuerait également à développer une culture sportive dès le plus jeune âge.
Le développement de ligues professionnelles continentales dans plusieurs disciplines, ainsi que la création d’un écosystème médiatique sportif africain, sont des initiatives clés pour professionnaliser le secteur. Soutenir l’entrepreneuriat dans le domaine du sport et des industries connexes permettrait de créer un environnement favorable à l’innovation et à la croissance économique liée au sport.
Promotion d’une culture sportive inclusive
Enfin, il est mandatory de développer des programmes spécifiques pour encourager la participation des femmes et des jeunes au sport, soutenir les sports adaptés pour les personnes en mission de handicap, et valoriser les sports et jeux traditionnels africains. Cette approche inclusive contribuerait à renforcer l’engagement communautaire et à promouvoir la diversité dans le sport africain.
Pour concrétiser ces ambitions, un conception d’circulate clair doit être mis en Åuvre. à court terme, un sommet panafricain sur le développement du sport pourrait poser les bases d’une collaboration continentale renforcée. La création d’une agence continentale de développement du sport, chargée de la coordination des initiatives, est également une priorité. En investissant dans ces réformes, l’Afrique pourrait transformer son gigantic potentiel sportif en une power motrice pour son développement économique et social.
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Dans sa lettre, Marc Brys rappelle une déclaration de Samuel Etoâo en 2019 sur la nécessité pour le Cameroun dâavoir des entraîneurs capables de faire preuve dâindépendance et de rigueur : « Très souvent au Cameroun, on veut des entraîneurs béni oui-oui. Vous ne pouvez pas. Si vous voulez un changement, il faut des entraîneurs qui vous disent : non ». Il souligne que ses opinions envers la Fécafoot ne sont pas motivées par une volonté de conflit, mais par le désir de défendre des principes de transparence et dâefficacité dans la gestion de lâéquipe nationale. « Je ne suis donc pas un entraîneur béni oui-oui », a-t-il clarifié dès lâentame.
Brys : « jâai vécu les plus grandes frustrations de ma carrière dâentraîneur »
Lâentraîneur exprime sa surprise face à la demande dâexplication reçue, s’attendant plutôt à des propositions concrètes pour améliorer les prerequisites de travail de lâéquipe, telles que lâorganisation des prochaines rencontres et la e-newsletter des convocations des joueurs. Brys déplore le manque de soutien de la Fécafoot face aux agressions verbales et physiques dont il a été victime jusquâici, ainsi que les décisions administratives contestables qui ont affecté les derniers préparatifs de lâéquipe.
Il évoque des incidents précis, comme la confiscation de matériel et lâintervention de certains employés de la Fécafoot dans ses vestiaires. Il critique également la décision de la Fécafoot de ne pas accréditer ses adjoints lors dâun match mandatory contre lâAngola (1-1) et des « courriers de probability » envoyées aux joueurs avec copie à leurs golf equipment. « Cela avait bien pour but de les démoraliser », dit-il. Et dâajouter : « jâai vécu les plus grandes frustrations de ma carrière dâentraîneur ».
Marc Brys insiste : « Je ne suis pas lâennemi de la Fécafoot », dit-il tout en rappelant « jâai un contrat avec lâEtat du Cameroun ». Le technicien dit souhaiter être jugé uniquement sur ses résultats. Car regrette-t-il : « vous avez toujours un ton martial, un ton de probability, jamais un ton poli et respectueux vis-à -vis de vos collaborateurs et des joueurs ». Il appelle la Fécafoot et ses dirigeants à une collaboration basée sur le respect et la courtoisie, espérant que les tensions passées puissent être mises de côté pour se concentrer sur les objectifs à venir, notamment la Coupe dâAfrique des Worldwide locations 2025 et la Coupe du Monde 2026.
Arthur WandjiÂ
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L’ambition derrière ce projet va bien au-delà de la straight forward construction d’une infrastructure sportive : il s’agit de positionner le Maroc comme un acteur incontournable sur la scène mondiale, notamment à travers l’accueil de la Coupe du monde 2030, que le pays co-organisera avec lâEspagne et le Portugal.
Un projet XXL pour un événement historique
Le Stade Hassan II a été conçu par les cupboards d’architectes Populous et Oualalou + Choi, qui ont imaginé une structure inspirée des tentes traditionnelles marocaines, les « Moussem ». Le stade sera orné de jardins suspendus à 28 mètres de hauteur, offrant une vue imprenable sur Casablanca. L’une des caractéristiques les plus remarquables de ce stade sera sa toiture imposante, conçue pour couvrir l’ensemble des tribunes, faisant de cet édifice un véritable chef-d’Åuvre d’ingénierie et de originate.
Trois tribunes raides et à plusieurs niveaux pourront accueillir 29 500 spectateurs et cinq niveaux dâhospitalité et de sièges dâentreprise sont prévus, pouvant accueillir 12 000 invités et visiteurs VIP dans la loge royale. Le stade se situera dans la ville dâEl Mansouria, à 38 km au nord de Casablanca, sur un situation de 100 hectares.
460 millions d’euros investis
Le chantier du Stade Hassan II commencera à la fin de l’année 2024 et devrait s’étendre sur quatre ans, avec une inauguration prévue en 2028. La construction mobilisera des ressources considérables, tant sur le conception financier que sur celui des compétences solutions. Une consideration particulière sera portée au respect des normes internationales de la FIFA et de la CAF, afin de garantir que le stade soit prêt à accueillir les plus grands événements sportifs mondiaux. Le montant total estimé pour la construction du futur stade est de 5 milliards de dirhams, ce qui équivaut à environ 460 millions d’euros. Un funds qui englobe non seulement la construction du stade lui-même, mais également tout le complexe autour, ainsi que des investissements dans la mise à niveau d’autres infrastructures sportives du pays, en préimaginative and prescient du Mondial.
Un Mondial 2023 qui est la principale motivation pour la construction de ce stade. Un événement historique pour le Maroc qui sera co-organisé avec l’Espagne et le Portugal. L’occasion pour le royaume chérifien d’abriter la grande fête du soccer mondial, après avoir vu l’édition 2010 lui échapper au earnings de l’Afrique du Sud. Le Maroc espère que la finale ce jouera dans cette enceinte flambant neuve, mais aucune décision n’est prise pour l’heure car l’Espagne veut également accueillir la finale de la compétition.
Impact et héritage
Mais, au-delà de la Coupe du monde, le Stade Hassan II ne sera pas seulement une prouesse architecturale. Il est destiné à devenir un catalyseur pour le développement urbain et économique de Casablanca. En plus d’être un lieu dédié au soccer, le stade pourra accueillir des concert occasions, des événements culturels et autres manifestations internationales, dynamisant ainsi l’économie locale et attirant des investisseurs étrangers. Après la Coupe du monde 2030, le stade deviendra le domicile des deux grands golf equipment de Casablanca, le Raja et le Wydad, assurant ainsi une utilisation continue de l’infrastructure.
Une façon pour le Maroc de s’assurer que le Stade Hassan II ne devienne pas un éléphant blanc, une infrastructure sous-utilisée après la Coupe du monde, au risque de la voir se délabrer au fil du temps. Raison pour laquelle il a été conçu pour être polyvalent, avec la capacité d’accueillir divers varieties d’événements en plus des matchs de soccer. Une façon aussi de tirer le meilleur parti de cet investissement massif pour le pays, tout en renforçant sa region sur la scène internationale.
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Mais alors que la Fécafoot pousse pour faire valider son choix, une nouvelle vient contrecarrer ses plans. D’après lâPlace of job Nationwide des Infrastructures et Ãquipements Sportifs (ONIES), le Stade de Japoma ne sera pas disponible à cette période. L’occasion, dont le président du comité de pilotage est l’ancien global Joseph-Antoine Bell, a adressé un courrier à la Fédération camerounaise de soccer afin de lui signifier lâindisponibilité de l’enceinte. Ce, notamment en raisons des intempéries actuelles au Cameroun, mais aussi des matchs des compétitions interclubs de la CAF, qui ont détérioré la pelouse.
L’ONIES invoque les intempéries
« J’ai l’honneur d’appeler votre consideration sur l’abondance et la quasi-permanence des pluies dans la ville de Douala, de même que la tendance haussière des précipitations (…) Il y a donc une distinctiveness probabilité que les différentes séances d’entraînement des deux (02) équipes se déroulent sous la pluie, de même que la rencontre du 07 septembre 2024 », a indiqué l’ONIES dans sa correspondance. « A date, la pelouse du Complexe Sportif de Japoma ne peut plus garantir les prerequisites minimales d’exploitation, notamment de confort du jeu, de santé des athlètes et de beauté du spectacle. Cette pelouse se doit d’être préservée et de subir en urgence des soins particuliers de remise à niveau d’au moins 30 jours. Il va sans dire que dès la fin de la période de remise à niveau, ladite pelouse sera en meilleur état pour accueillir de futures rencontres sportives d’envergure.»
Une déconvenue pour la Fécafoot, alors que l’ONIES avait initialement donné son feu vert pour que le match se déroule à Douala. Une volte-face qui ne faded pas du côté de l’occasion dirigeante du soccer camerounais. « Il est par ailleurs surprenant dâapprendre de votre half que lâindisponibilité du Complexe Sportif de Japoma serait due à lâabondance des précipitations et au niveau élevé de la nappe phréatique. Il faut sâen étonner dâautant plus que les prerequisites climatiques de la région littorale du Cameroun sont les mêmes depuis des siècles », a rétorqué Samuel Eto’o dans des propos relayés par Camerplaysport. « Sauf à démontrer que le constructeur du Complexe Sportif de Japoma a failli à son obligation dâeffectuer des études géotechniques préalables, il nous semble judicieux de considérer que lâouvrage a été conçu pour servir en dépit des aléas climatiques. »
Joseph Antoine Bell catégorique
De quoi susciter le débat chez les supporters des Lions Indomptables, qui voient dans cette affaire le prolongement du bras de fer qui oppose depuis des mois le ministère des Sports et Marc Brys d’un côté, et la Fédération camerounaise de soccer de l’autre. Mais de son côté, l’ONIES n’en démord pas. « Ce débat sur la disponibilité des stades entre lâONIES et la Fecafoot est un débat de trop. La CAF a déjà homologué 4 stades au Cameroun pour ses compétitions. Maintenant, câest au Cameroun de choisir le stade sur lequel il reçoit son adversaire. LâONIES qui gère les stades du Cameroun dit que le stade de Japoma nâest pas disponible pour cette période que sollicite la Fecafoot et il nây a pas de débat là -dessus », a tranché Joseph-Antoine Bell sur le plateau de la chaîne Imaginative and prescient 4.
Lire aussi : CAN 2023 (Q) : sous pression, la FECOFA envisage de ne plus recevoir à Japoma
Face à cette mission la resolution de repli qui semble s’imposer est donc le Stade Ahmadou Ahidjo de Yaoundé. Le stade initialement voulu par le sélectionneur Marc Brys, qui aurait là une nouvelle victoire dans ces luttes intestines. A moins que la Fécafoot ne décide finalement de choisir le Stade de Garoua, lui aussi géré par l’ONIES et qui pourrait abriter la rencontre… et de relancer le débat autour du lieu de la tenue de ce Cameroun – Namibie.
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Billy Nelson : Ãa fait 6 ans et demi que je suis avec Martin, mais nous nous sommes rencontré il y a 7 ans lors d’un sparring. Et quand il est devenu agent libre il m’a contacté depuis Kinshasa pour devenir son entraîneur et son supervisor. Et je l’ai fait parce qu’il avait déjà du abilities qui ne demandait qu’a être développé. Nous l’avons fait ensemble et c’était plentiful.
Quand vous avez commencé à travailler ensemble, pouviez vous imaginer qu’il allait atteindre le niveau qu’il a aujourd’hui ?Â
Je le croyais à 100% parce que j’ai entrainé des champions du monde avant et j’avais directement su que Martin avait des qualités pour devenir champion du monde.
Quelles sont les grandes qualités de Martin Bakole ?Â
Il a une grande intelligence sur le ring, il fait des bons choix des coups à donner à l’adversaire, il est puissant et très fort.
« Plusieurs boxeurs évitaient de se battre avec Bakole »
Pensez-vous que c’est sa victoire contre Tony Yoka qui a été le déclic de son succès actuel ?Â
Non, je ne crois pas. Tony Yoka est un bon boxeur mais il n’ est pas du niveau de Bakole. Seulement plusieurs boxeurs évitaient de se battre avec Bakole, parce qu’ils avaient peur de lui. Le wrestle de Martin Bakole avec Yoka avait été conceivable parce que le père de Yoka est congolais et que les deux parlent français. Mais avant Yoka, Bakole était déjà craint. Â
Maintenant on peut dire qu’il est tout proche d’un titre mondial des poids lourds. Pensez-vous qu’il pourra le gagner un jour ?Â
Oui, à 100%; il ne lui reste qu’un wrestle avant d’avoir un wrestle pour le titre. Je crois que Martin est le meilleur poids lourd actuellement et tout ce dont il a besoin c’est une opportunité et nous, nous allons nous occuper du reste.
Lire aussi : Boxe : Martin Bakole corrige Jared Anderson
Selon vous, Qu’est-ce qui a manqué à Martin Bakole depuis tout ce temps pour obtenir un wrestle pour le titre mondial ?Â
Rien du tout, c’est juste que les autres boxeurs l’évitent sachant qu’il est le meilleur. Ils l’évitent même pour un sparring. Mais aussi longtemps que Martin va continuer à gagner, je suis sûr qu’il peut devenir champion du monde en 2025.
Quelle est la suite après la victoire contre Anderson ?Â
Martin air of mystery un wrestle le 21 décembre en Arabie Saoudite pour le compte de Zhilei Zhang et je pense que ça devrait être contre le Chinois Zhilei Zhang. Ensuite Turki Alalshikh, responsable du programme Ryad Season, devrait lui offrir un wrestle last car Martin n’ a peur de personne.
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]]> Lâarticle est apparu en premier sur Sport Data Africa. Le premier de ce classement ne se nomme pas Pierre-Emerick Aubameyang, mais plutôt Mario Lemina. Le robuste et expérimenté milieu défensif est actuellement évalué à 10 millions dâeuros sur la plateforme Transfermarkt. Transféré de Nice à Wolverhampton en janvier 2023 pour 11 millions dâeuros, il a signé un contrat de deux ans, soit jusqu’en juin 2025. Mario Lemina, qui a également joué pour Southampton et la Juventus, continue dâapporter sa solidité au milieu de terrain du club anglais. Denis Bouanga, attaquant polyvalent, a rejoint le Los Angeles FC en provenance de Saint-Ãtienne en août 2022 pour 4,55 millions dâeuros. Actuellement sous contrat jusqu’en 2027, Bouanga a rapidement trouvé ses marques aux Ãtats-Unis, où sa valeur a grimpé à 10 millions dâeuros. Son impression sur la Fundamental League Soccer (MLS) ne cesse de croître, confirmant son statut parmi les meilleurs joueurs gabonais du moment. Le Ballon dâor gabonais Pierre-Emerick Aubameyang come troisième dans ce classement. Lâancien capitaine des Panthères du Gabon reste l’une des figures emblématiques du soccer gabonais. Après une saison bien remplie à lâOlympique de Marseille, il a rejoint Al-Qadsiah FC en Arabie Saoudite en juillet 2024 pour 9 millions dâeuros. A 34 ans, Aubameyang est évalué à 5 millions dâeuros et reste un attaquant redoutable. Bien qu’il soit actuellement sans club, Aaron Boupendza, ancien joueur d’Al-Shabab et de Hatayspor, est estimé à 5 millions dâeuros. Attaquant prolifique, Boupendza s’est fait un nom en Turquie et au Qatar, et pourrait rebondir dans un nouveau club prochainement. Le dernier de ce Prime 5 des joueurs gabonais les plus chers du moment se nomme Shavy Babicka. Le jeune ailier droit évoluant au Toulouse FC, a vu sa valeur grimper à 2 millions dâeuros après son transfert en provenance dâAris Limassol en janvier 2024 pour 2,75 millions dâeuros. Sous contrat jusqu’en 2027, Babicka est l’un des jeunes abilities prometteurs du Gabon, avec une belle marge de progression. Arthur Wandji Lâarticle est apparu en premier sur Sport Data Africa.
Mario Lemina (10 millions dâeuros)
Denis Bouanga (10 millions dâeuros)
Pierre-Emerick Aubameyang (5 millions dâeuros)
Aaron Salem Boupendza Pozzi (5 millions dâeuros)
Shavy Babicka (2 millions dâeuros)
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« Lâheure a sonné de raccrocher les crampons. Il est temps, jâai tellement travaillé, ça a été tellement difficile et compliqué mais jâcome vraiment à la fin. Pour finir en beauté, jâorganise un jubilé à Lomé avec toutes les légendes de lâAfrique et du monde. Câest le dernier ou ma dernière fois que je vais jouer peut-être au stade de Kégué », a confié Emmanuel Adebayor dans une vidéo postée sur ses réseaux pour annoncer l’évènement.
32 buts en 87 sélection, un Mondial et un Ballon d’Or africain
Une façon de boucler la boucle devant son public, pour lequel il a inscrit 32 buts en 87 sélections avec le Togo. Et de célébrer près de 20 ans de carrière au plus haut niveau, qui l’air of mystery vu passer par Metz, Monaco avant de connaître le summum au Right Madrid. Et pour l’occasion, Sheyi Adebayor a invité du beau monde pour venir célébrer avec lui une carrière riche en buts et en titres, dont le level d’orgue air of mystery été son Ballon d’Or africain remporté en 2008, mais aussi la participation du Togo au Mondial 2006. La seule du pays à ce jour.
Lire aussi : Ballon dâOr CAF : Osimhen a ému Adebayor
Et pour fêter un Ballon d’Or, qui d’autres que d’autres Ballons d’Or pour l’accompagner ? Samuel Eto’o, Didier Drogba ou encore El Hadji Diouf et Abedi Pelé seront de la partie, tout comme son idole dâenfance, Kalusha Bwalya, ainsi que Jay-Jay Okocha. Les stars mondiales ne seront pas en reste avec Ronaldinho, Thierry Henry ou encore Robert Pirès qui seront de la partie. Une constellation d’étoiles qui ballon rond, qui vont faire briller les yeux des nombreux supporters qui seront présents pour l’occasion afin de célébrer celui qui reste à ce joueur le meilleur joueur de l’histoire du Togo.
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Power émergente du soccer continental depuis une quinzaine dâannées avec une participation sans discontinuité à la Coupe dâAfrique des international locations â hormis en 2019 -, le Burkina Faso est cependant confronté à dâimportantes crises de gouvernance en interne, notamment depuis lâélection en août 2020 de Lazare Banssé sur fond de conflit larvé avec son prédécesseur, le colonel Sita Sangaré.
Lire sur le sujet : Burkina : Oumarou Sawadogo, seul candidat à lâélection du président de la FBF
Déchirement, plaintes, la relation entre les deux hommes – qui sâétaient pourtant soutenus lors des élections – sâest envenimée avec lâappui de plusieurs « golf equipment frondeurs » qui demandèhire même la démission de Banssé. Imperturbable, le président de la FBF a gardé le cap pour aller au bout de son mandat de quatre ans malgré les intimidations. Toutefois, le 29 juin dernier, il publia une mammoth lettre annonçant quâil ne se représenterait pas. Une little surprise pour ceux qui louaient sa « power de caractère » tandis que dâautres rappelaient sa « lassitude » et son « usure » dans ce contexte oppressant.
En réalité, Banssé sâest simplement écarté de lui-même suite à une entrevue avec les autorités, notamment le président de la Transition, le capitaine Ibrahim Traoré. Sans anicroche particulière, les deux hommes convinrent quâil était préférable dans lâintérêt du soccer nationwide – et du gouvernement – dâavoir un nouvel homme capable dâunifier (enfin) les différentes composantes du sport roi burkinabè.
Un pouvoir militaire de plus en plus fort
Prévues initialement le 17 août, les élections furent décalées deux semaines plus tard. De quoi laisser le temps, a priori, aux divers protagonistes dâétablir une liste répondant aux critères dâéligibilité. Câest ainsi que lâUnion Sportive des Forces Armées (USFA), un club omnisports avec une half soccer en première division nationale, a présenté un candidat : Oumarou Sawadogo, un ancien colonel-most major à la retraite qui présida le comité exécutif de lâUSFA pendant cinq ans.
Ex-directeur central de provider des sports des armées, Sawadogo était immédiatement cité comme le candidat des militaires et du gouvernement. Ce quâil réfuta lors de ses interventions médiatiques. Pourtant, depuis le 30 septembre 2022, le Burkina Faso était marqué par un 2nd coup dâÃtat en lâespace de huit mois mené par le capitaine Ibrahim Traoré, devenu le président de la Transition, qui conforta lâassise militaire sur le pays.
Dans un contexte sécuritaire délicat, où les autorités ne contrôlent pas lâentièreté du territoire face à des milices armées, la société sâest peu à peu militarisée avec lâenrôlement des VDP, les Volontaires pour la défense de la patrie. Pour aller au front, les autorités mobilisèhire aussi (de power) des opposants ou des membres de la société civile dénonçant des abus au Burkina comme Daouda Diallo, lauréat du Prix Martin-Ennals pour les défenseurs des droits de lâhomme en 2022. Interpellé, puis porté disparu le 1er décembre 2023, il réapparut trois jours plus tard en treillis avec une kalachnikov sur des images avec les VDP…
Dâautres voix discordantes connurent le même kind (activistes, journalistes, imams, politiciens, etc.) dans une politique totalement assumée par Ibrahim Traoré. La semaine dernière encore, cinq magistrats furent détenus illégalement avec la perspective dâêtre envoyés auprès dâune unité militaire de Kaya, au nord du pays, pour « participer aux opérations de sécurisation du territoire » selon Le Monde. Ces cinq hommes avaient auparavant lancé des procédures contre des proches du pouvoir pour des allégations allant de lâorpaillage illégal au vol de bétail tout en instruisant à la police judiciaire dâenquêter sur des cas de disparitions.
Un président de la Transition très investi dans le soccer
Pour justifier ses actes, Ibrahim Traoré ne sâétait pas caché, répétant que « tous ceux qui pensent quâils sont cachés à lâintérieur comme à lâextérieur, qui continuent dâinformer, de communiquer pour lâennemi, vont le payer ». Une théorie du complot surjouée même si son régime, qui sâest allègrement tourné vers la Russie au détriment de la France, subit des opérations de déstabilisation ; quatre tentatives de putsch furent dâailleurs déjouées selon le gouvernement depuis deux ans.
Avec une charte spéciale adoptée le 25 mai 2024, la période de transition a été prolongée de cinq années et nâempêchera pas Traoré de se présenter, si tel est son souhait, aux élections suivantes. Avec sa distinctiveness personnalité et ses véhéments discours repris en boucle sur les réseaux sociaux, le président incarne un pouvoir très personnel aux yeux de ses concitoyens. De quoi susciter moult fantasmes et rumeurs y compris dans le soccer, un sport dans lequel le président sâest personnellement investi.
Outre ses messages dâapaisement et dâunion pour lâéquipe nationale, sortie piteusement en huitièmes de finale contre le Mali lors de la dernière Coupe dâAfrique des international locations â en comparaison de sa quatrième space de lors de lâédition précédente -, Traoré enfilait aussi son maillot jaune floqué du numéro 10 dans un match de gala entre lâéquipe de la présidence du Faso et celle des footballeurs professionnels.
Face à des internationaux actuels et passés, sur un terrain réduit avec des petites cages, le capitaine Traoré marqua un doublé – dont un penalty arrêté dans un premier temps, puis retiré par décision de lâarbitre – et donna une faded décisive pour permettre aux siens de sâimposer 3-2. Sâadressant ensuite aux joueurs devant les caméras, il les pria dâhonorer le pays et de mettre « leurs différends » de côté. Une missive qui sâadressait également aux dirigeants du soccer burkinabè dont les querelles énervaient sérieusement les autorités.
Un appel du Tribunal de grande occasion la veille de la date limite de dépôt des candidatures…
Outre Oumarou Sawadogo, le candidat présenté par les militaires, trois autres hommes apposèhire donc leur nom pour les élections de la FBF :
- Ali Guissou, lieutenant-colonel qui préaspect lâAS Douanes, le double champion en titre
- Jonathan Pitroipa, ancien global burkinabè (84 sélections) qui stoppa sa carrière professionnelle en 2021
- Moctar Diallo, homme dâaffaires qui présida Djawaba Djawaba FC, une modeste équipe aujourdâhui en troisième division
Si Diallo déposa sa liste avant de la retirer, les trois autres protagonistes démarrèhire leur campagne avec des conférences de presse et lâélaboration dâun programme. Toutefois, rapidement, la commission électorale invalida le file dâAli Guissou pour space off de « file incomplet » ; sur les vingt-et-un membres, un sâétait désisté (le colonel Alain Traoré). Furieux, le président de lâAS Douanes match appel dès le lendemain, ce à quoi le candidat Oumarou Sawadogo rétorqua en contestant la validité du file de son rival.
Devant la commission des recours, les avocats de chaque partie avancèhire leurs arguments. Pêle-mêle :
– Présence dans la liste de Guissou dâAssami Roamba, président du comité exécutif de lâÃtoile Filante de Ouagadougou, qui a été condamné en 2018 à deux ans de prison pour pretend en écriture privée, utilization de pretend en écriture privée, et complicité dâabus de confiance. Sa peine lâécartait, de facto, dâun poste au sein du comité exécutif de la FBF selon lâarticle 36.6. Cependant, les avocats de Guissou donnèhire à la commission des recours lâannulation en appel de cette condamnation.
– Ali Guissou, inspecteur des douanes dans le civil, avait été arrêté en 2021 dans une affaire de trafic de carburant. Sous enquête, il bénéficia dâun non-lieu le 12 juillet 2024. Toutefois, le 16 juillet 2024, la veille de la date limite de dépôt des candidatures pour la FBF, le procureur du Tribunal de grande occasion de Ouagadougou match appel de cette décision. Une décision en most major dâOumaraou Sawadogo qui avait saisi le 24 juillet la commission électorale en rappelant « quâAli Guissou fait lâobjet dâune procédure pénale pour concussion, abus de fonction, délit dâapparence, blanchiment de capitaux. »
Nâayant pas averti la commission électorale de ce rebondissement judiciaire, la commission des recours a confirmé lâinvalidation de la candidature de Guissou, qui a fait « preuve dâune faute particulièrement grave », en se basant sur lâarticle 38.6 et la règle de bonne moralité.
Sans Diallo – qui sâest rattaché a posteriori derrière Sawadogo – et Guissou, un seul autre homme pouvait contrecarrer la candidature de lâancien colonel-most major : Jonathan Pitroipa, lâancienne huge name des Ãtalons.
Pas dâautorisation de la hiérarchie de la gendarmerie
Validée par la commission électorale, la candidature de Pitroipa se heurtait à un recours intenté par Sawadogo qui estimait celle-ci non conforme aux statuts. Devant la fameuse commission des recours, les avocats de chaque partie sâéchinèhire donc à défendre leur client. Pêle-mêle :
– Un militaire (Ousmane Sinaré) et un gendarme (Sidiri Ibrahim Ouédraogo) figurent sur la liste de Pitroipa sans lâautorisation de la hiérarchie, ce qui est contraire à lâarticle 25 de la loi portant sur les armées.
– Si le militaire, Sinaré, sâest retiré de lui-même, le gendarme, Ouédraogo, est resté, ce qui a enjoint une invalidation.
Si dâautres arguments furent avancés â comment les anciens internationaux présents sur la liste ont-ils pu bénéficier de certificats fiscaux et de résidence alors quâils ne résident justement pas au Burkina Faso ? -, la commission des recours a motivé sa décision sur lâabsence dâautorisation de la gendarmerie.
Candidat du blooming-play, avec la présence dâex-footballeurs, Pitroipa était donc lui aussi disqualifié. Une déception, partagée sur sa internet page Facebook, à travers un texte bienveillant dans lequel il disait respecter la décision finale qui laissait Oumarou Sawadogo, lâhomme à la depraved des recours, en candidat spellbinding pour les élections.
Les disparus de la liste dâAli Guissou
Dans ce tohu-bohu juridique et médiatique, dâautres nouvelles plus inquiétantes vinrent entacher un processus électoral déjà tendu. Bourama Sawadogo, responsable à lâorganisation de lâAS Douanes, le club présidé par Guissou, et Jean-Paul Mone, membre du bureau exécutif des Léopards de St Camille, disparurent. « Ils sont enfermés dans les cellules des products and companies de police », affirme à Sport Data Africa Ali Guissou, lui-même victime dâune tentative dâenlèvement le 24 juillet au matin.
Si lâinfortuné candidat dit « aller bien », il évoque les « pressions » mises sur « ceux qui sont sur ma liste et les responsables de club de soccer dâabord à la direction de la sûreté nationale, ensuite par des militaires, et enfin par le ministre de la Défense ». Ce dernier, Kassoum Coulibaly, était visé spécialement par une correspondance officielle du camp Guissou lue par Sport Data Africa :
« Les autres acteurs et prétendants à la présidence de la Fédération burkinabè nâont plus le sommeil. Dans un premier temps, un ralliement forcé des prétendants a été opéré. Ainsi, la plupart ont été convoqué soit par le ministre de la Défense et des anciens combattants, soit par le directeur des sports de lâarmée pour leur intimé (sic) lâordre dâarrêter toute ambition et de rejoindre le candidat de lâarmée. Ainsi, lâOLAO (space of work de liaison de lâAfrique de lâOuest qui fut présidé un temps par Sawadogo) de qui est dans une caserne militaire a servi de lieu de convocation des acteurs du soccer en vue des ralliements.
Malgré les diverses pressions, y compris la convocation par le ministre de la Défense pour intimer lâordre de se rallier, notre leader, le candidat des footballeurs a dit non et sâest porté candidat. Depuis lors un autre niveau de violence sâabat sur nos partisans et sympathisants. »
Depuis, un autre collaborateur de Guissou, Hassane Yanogo, a également été arrêté. Les élections, elles, sont toujours prévues le 31 août pour sacrer « lâenvoyé par qui vous savez », le surnom très implicite du colonel-most major à la retraite, Oumarou Sawadogo.
* Depuis ces évévements, David Yaméogo (coordinateur) et Jean-Paul Moné (soutien) ont été remis en liberté provisoire, en attendant leur jugement.
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9. Edouard Mendy (Sénégal) – Al-Ahli : poussé vers la sortie à Chelsea, le portier sénégalais a été l’un des premiers à répondre à l’appel de l’Arabie Saoudite. A la clé pour l’ancien Rennais, un contrat annuel de 11 millions d’euros qui fait de lui le portier africain le mieux payé, devant le Yassine Bounou d’Al Hilal.
8. Inaki Williams (Ghana) – Athletic Bilbao : l’attaquant des Shaded Stars du Ghana, avec un salaire de 11,4 millions d’euros par an, reste fidèle à son club de toujours, l’Athletic Bilbao. Ses revenus hors terrain incluent des contrats avec Nike, son équipementier et d’autres marques localesâ.
7. Franck Kessié (Côte d’Ivoire) – Al-Ahli : Kessié, avec un salaire de 14 millions d’euros par an, a signé avec Al-Ahli après une saison difficile à Barcelone. Il a des contrats de sponsoring avec des marques comme Adidas, qui complètent ses revenusâ.
6. Seko Fofana (Côte d’Ivoire) – Al-Nassr (en prêt à Al-Ettifaq) : Parti de Lens pour rejoindre l’Arabie Saoudite, le milieu de terrain ivoirien perçoit pas moins de 15 millions d’euros par an grâce à son contrat avec Al-Nassr. Ses revenus hors terrain sont moins développés, mais il bénéficie de quelques partenariats locaux en Côte d’Ivoireâ.
5. Victor Osimhen (Nigeria) – Naples : de loin le joueur le mieux payé de Serie A, Osimhen gagne 18 millions d’euros par an à Naples. Sa popularité croissante en Europe lui a permis de signer des contrats avec des marques comme Nike et de nombreux partenariats au Nigeria, qui lui garantissent des revenus supplémentaires hors terrain.
4. Mohamed Salah (Egypte) – Liverpool : Salah gagne 21,2 millions d’euros par an à Liverpool, une somme qui peut monter jusqu’à 24,3 millions avec les bonus. Mais le Pharaon est tout aussi bien loti hors du terrain avec des revenus tout aussi impressionnants. Avec des contrats publicitaires avec Adidas, Pepsi, Vodafone, et d’autres, l’Egyptien gagne environ 16,3 millions d’euros supplémentaires chaque année grâce à ces partenariats.
3. Kalidou Koulibaly (Sénégal) – Al-Hilal : Koulibaly, avec un salaire de 25 millions d’euros par an, a rejoint Al-Hilal après un passage mitigé à Chelsea. Ses revenus hors terrain sont plus modestes comparés à d’autres stars continentales, mais il est tout de même affilié à des marques comme Puma, son équipementier, ou IBS le distributeur des boissons du groupe Coca au Sénégal.
2. Sadio Mané (Sénégal) – Al-Nassr : jugé indésirable au Bayern Munich où il était déjà le plus gros salaire du club, l’global sénégalais a réalisé une opération financière XXL en rejoignant Al-Nassr. A la clé, un contrat de l’ordre de 40 millions d’euros par an. Et ce sans compter le partenariat avec son équipementier, Contemporary Steadiness, ainsi que des collaborations avec Air Sénégal ou Orange.
1. Riyad Mahrez (Algérie) – Al-Ahli : l’global algérien est le joueur africain le mieux payé avec 52,2 millions d’euros par an. Une somme qu’il perçoit depuis qu’il a signé son très lucratif contrat avec Al-Ahli après avoir quitté Manchester Metropolis. En dehors du terrain, Mahrez gagne également des millions grâce à des contrats publicitaires avec des marques comme Nike, Pepsi et EA Sportsâ.
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De son côté, l’Abidjan Basketball Membership (ABC) de Côte d’Ivoire, un habitué du tournoi, s’apprête à faire son retour après une défaite serrée contre les champions en titre, Petro de Luanda d’Angola, lors de la saison 3 de la BAL. L’ABC, qui a remporté son tag pour la Avenue to BAL en battant son rival native SOA dans un match décisif, espère bien faire mieux cette année et viser les sommets.
L’Algérie sera représentée cette fois-ci par Boufarik, qui a remporté la finale de sa ligue nationale contre TRA Draria pour se qualifier pour les éliminatoires. Boufarik tentera de redonner à l’Algérie une space de choix dans la BAL, après l’absence du pays depuis la saison inaugurale de 2021.
Le KSA de Douala portera les espoirs du Cameroun, succédant aux Forces Armées et Police (FAP), tandis que la Libye sera représentée par Al-Ahly Tripoli, un club au riche palmarès domestique.
Au Kenya, les Nairobi Metropolis Teach ont écrit l’histoire en devenant la première équipe en 37 ans d’existence de la ligue à être couronnée championne du Kenya sans perdre un seul match. Leur qualification pour la BAL est donc un moment historique pour le basketball kényan.
Du côté de la Zambie, les Matero Magic continuent de représenter fièrement leur pays après avoir décroché un 11ème titre nationwide, tandis que d’autres équipes comme celles du Zimbabwe se préguardian également pour la segment éliminatoire.
Enfin, les champions d’Angola, d’Ãgypte, du Nigeria, du Rwanda, du Sénégal et de la Tunisie sont automatiquement qualifiés pour la saison régulière de la BAL, avec notamment Petro de Luanda, qui s’apprête à défendre son titre de champion lors de la Coupe intercontinentale de la FIBA le mois prochain à Singapour.
Les détails des villes hôtes pour les phases éliminatoires sont encore à confirmer, mais la compétition s’annonce déjà intense et promet de belles confrontations. Les équipes qualifiées devront se préparer minutieusement pour franchir les étapes et avoir une probability de se mesurer aux meilleures formations du continent.
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Le fait que les élites du soccer dans différents pays du continent s’engagent avec ferveur au provider de leurs international locations permet d’entretenir ce rêve de prospérité à lâillustration de Didier Drogba qui exprimait son attachement à RFI : « Jâai vécu de grandes émotions en Afrique. Je ne me vois pas tourner le dos à ce soccer, même sâil y a dâautres golf equipment dans lesquels jâai évolué. Câétait well-known pour moi dâintégrer la famille du soccer ivoirien et dâessayer de contribuer à son développement. »
L’circulate des élites, avancée tant significative qu’inopérante ?
Au big dam des amoureux du ballon rond, dâune half, l’circulate des élites du soccer africain est une avancée à la fois significative et inopérante face au défaitisme qui sévit dans les institutions sportives africaines, sous diverses formes notamment la corruption, l’ingérence, les mauvais traitements réservés aux officiels et aux joueurs, la criminalité que le journaliste Romain Molina ne cesse de révéler tout en dénonçant lâomerta et le manque de braveness des autorités compétentes pour mettre fin à ces atrocités.
Lire aussi : RDC-Abus sexuels sur mineurs : la FIFA va suspendre la FECOFA
« On a lâimpression que tout le monde était au courant de ces pratiques mais que câétait tabou », affirmait-il en présentant son enquête, publié par Sport Data Africa et que le journal Le Monde a cité, sur les abus sexuels dont ont souffert de jeunes garçons en République Démocratique du Congo de la half des entraîneurs et des dirigeants du soccer.
D’autre half, il faut souligner que mener une circulate ne suffit pas, il faut aboutir à d’excellents résultats alors que la nonchalance caractéupward thrust de nombreux champions qui oublient leur responsabilité sociale notamment à l’égard des jeunes athlètes et que l’infime partie des footballeurs qui mènent des actions sociales peinent à répondre à la croissante demande, même si leur désir de faire du soccer un vecteur de développement est avéré.
Lors du lancement de sa fondation, lâglobal Congolais, Cédric Bakambu a affirmé « la fondation reste ouverte à tous ceux qui travaillent pour le développement et lâamélioration des prerequisites de vie du peuple congolais ». Lâon remarque le même désir de développement à travers les actions de la fondation Banazola que le footballeur global congolais Distel Zola a initié et qui a pour mission notamment « soutenir, protéger et élever la jeunesse congolaise face aux défis imposés par la pauvreté et les inégalités. »
Les syndicats sportifs dans la lutte pour les droits des footballeurs
Un constat mérite d’être rappelé au regard des maux africains : Ce ne sont level les hommes qui mènent la révolution, c’est la révolution qui emploie les hommes. De ce fait, la volonté de professionnaliser le soccer doit être orientée vers des principes et des valeurs que défendent des organisations comme les syndicats sportifs car « les hommes passent mais les institutions demeurent » tout en insistant sur le fait que les moyens conséquents ne peuvent provenir que des institutions. Lâ Union des footballeurs du Mali semble avoir emboîté le pas suite aux évènements ayant perturbé leur soccer notamment lâinitiative commune des joueurs de boycotter la Fédération malienne de soccer dans son communiqué officiel dont lâintroduction est épique : « Après ces dernières semaines chargées en écirculate il est temps de réagir mais toujours dans la mesure [â¦] ».
Tout au prolonged de l’histoire du soccer français, l’Union nationale des footballeurs professionnels a impacté les grandes décisions touchant le contrat de travail des footballeurs, la professionnalisation du soccer féminin. Ce syndicat est un modèle sur lequel doivent se baser les organisations syndicales africaines.
La FIFPro Afrique, un éléphant qui accouche d’une souris ?
Au niveau africain, la FIFPro Afrique se veut être l’organisation qui milite pour les droits des athlètes. Comme toute organisation syndicale, elle a pour objet l’étude, la défense et le développement des intérêts professionnels ainsi que le progrès social, économique et factual de ses membres car « un footballeur est un salarié comme un autre », confiait Stéphane Saint-Raymond, lors dâune interview à RFI faisant le level sur la syndicalisation des footballeurs sur le continent africain.
Par ailleurs, les objectifs de la FIFPro semblent trop beaux pour être vrais, voire une démesurés face aux réalités palpables qui démontrent la dégringolade de la qualité de vie du soccer africain selon de nombreux fanatiques, supporters et amoureux du soccer à lâimage du constat effectué par Sport Data Africa, publié en avril 2024, selon lequel « sur les 54 fédérations membres que compte actuellement la confédération africaine de soccer, 22 se trouvent sans stade homologué. »
Lire aussi : CAF : la moitié de l’Afrique sans stade homologué
Les syndicats sportifs peuvent-ils établir les jalons d’une meilleure organisation du soccer dans le continent ? En tout cas, faut-il ne pas oublier que « le monde a été bâti par ceux qui ont osé rêver ce qui semblait not probably. »
Contribution de Gauthier PIKADJO, chercheur en droit des sports
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Ardent défenseur de son secrétaire général, le président Patrice Motsepe avait pris les devants en annonçant que le file serait transmis à la commission dâaudit et de gouvernance qui nommera un auditeur « indépendant ». Une décision contestée en interne à space off des accointances entre Mosengo-Omba et Dieudonné Happi, le vice-président de cette commission.
Lire aussi : Véron Mosengo-Omba dans la tourmente, réunion de crise à la CAF
Dans ce contexte tendu, un 2nd rapport rédigé par une ancienne dirigeante de la CAF (Abiola Ijasanmi) confirma les allégations rédigées par Nur en allant même plus loin quant à la « culture toxique » inséminée au sein de la Confédération africaine de soccer.
« Jâai été victime de harcèlement et intimidation par le secrétaire général »
Précis, le rapport transmis à la commission dâaudit et de gouvernance le 1er août pointe toute une série de dysfonctionnements divisés en quatre aspects clés : un cadre de travail malsain et dangereux, lâinefficacité du département des ressources humaines, de mauvaises pratiques de gouvernance et un abus de pouvoir et favoritisme du secrétaire général.
Partie en avril dernier, Ijasanmi dit avoir été « victime de harcèlement et intimidation par le secrétaire général pour forcer ma démission » au cours des huit/dix derniers mois de son engagement à la CAF.
Dâautres qualificatifs sont attribués au management de Mosengo-Omba, notamment le « népotisme ». Pour appuyer ses dires, lâancienne responsable des opérations à la CAF, donne lâexemple de sponsors concernés par « lâapproche agressive » du secrétaire général.
Avec Orange, notamment, la relation sâest gravement détériorée avec un Véron déblatérant sur des pratiques « coloniales » tandis que la firme française, qui devait de lâargent à la CAF depuis 2019, rappelait quâil était temps pour la Confédération africaine de soccer dâappliquer des réformes. Finalement, une équipe légale menée par Ijasanmi mettra simplement dix semaines début 2023 pour débloquer la mission et permettre à la CAF dâempocher les 19 millions de greenbacks dus par Orange. « Durant ce processus, le secrétaire général a tenté de faire dérailler les négociations à plusieurs reprises sans donner une raison claire », écrit-elle.
Les « intérêts personnels » du secrétaire général au détriment de lâinstitution
Si le rapport de Hannan Nur se focalisait principalement sur Sarah Mukuna, la directrice des associations membres nommée par Véron Mosengo-Omba sans lâapprobation du comité exécutif, ce nouveau file se focalise principalement sur le secrétaire général et ses « intérêts personnels » au détriment de la bonne gouvernance de lâinstitution : « Des postes clés, comme la directrice des associations membres ou la responsable des ressources humaines, ont été attribués en fonction de la loyauté plus que sur la compétence. »
Plusieurs fédérations sont également citées comme bénéficiant de « favoritisme » et de faded-droit selon les accointances quâelles entretiennent avec le secrétaire général ou les membres (nationalités) de son bureau. Ainsi, le Cap-Vert, le Ghana, la République démocratique du Congo ou le Togo se virent attribués des ballons ou des heaps de matériels sans aucune transparence. Une « opacité » qui touche, selon le rapport, lâensemble des décisions de la CAF, de lâengagement du personnel à la liste des invités pour les événements…
Prerequisites de sécurité non respectées
Au milieu de ces errances, symbolisées par un cadre de travail déplorable et inique où Véron Mosengo-Omba a obligé les contrats à dépendre du droit suisse â signifiant quâen cas de litige, les employés du Caire doivent faire appel à dâonéreux avocats suisses ! -, les locaux de la CAF constituent aussi un problème global.
Sans équipement digne de ce nom, avec un mobilier et des ordinateurs passés dââge, les employés se massent dans des bureaux irrespirables en été sans air conditionné ; contrairement au bureau du secrétaire général qui dispose dâune climatisation fonctionnelle. Pis encore, les prerequisites de sécurité ne sont même pas réunies et la catastrophe a été évitée de peu lorsquâun début dâincendie sâest déclaré dans les areas of work du département légal en 2023.
Incapable de maintenir aux normes des sorties dâévacuation ou même dâavoir des extincteurs, le quartier-général de la CAF se distingue par une gestion déplorable où la responsable des ressources humaines, Reem Adel, « a divisé le personnel entre les Egyptiens et les non-Egyptiens en plaidant seulement pour le team local ». Adel, quant à elle, avait obtenu deux promotions en lâespace de cinq mois (entre avril et août 2022) par Véron Mosengo-Omba.
Si dâautres conflits dâintérêts et soucis sont confirmés par ce 2nd file â notamment vis-à -vis des fonds FIFA Ahead -, la CAF ne sâest aventurée à aucun commentaire et dit attendre le rapport demandé par son président, Patrice Motsepe.
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]]> Lâarticle est apparu en premier sur Sport Data Africa. Francis Ngannou, ancien champion de lâUFC, sâest récemment reconverti avec succès dans la boxe anglaise. Après avoir marqué lâhistoire en tant que lâun des poids lourds les plus redoutables du MMA, Ngannou a décidé de relever un nouveau défi. En octobre 2023, il a affronté Tyson Fury, champion en titre des poids lourds de la WBC, dans un wrestle qui a retenu lâconsideration mondiale. Bien que Ngannou nâait pas remporté la victoire, il a prouvé sa capacité à rivaliser au plus haut niveau dans un sport où il est encore considéré comme un amateur. Cette saison, tous les regards seront tournés vers lui alors quâil poursuit son ascension dans la boxe professionnelle. Champion du monde de sambo chez les -98 Kg en 2023, Nji Mouluh Seidou est une figure montante dans cette discipline. Le Camerounais a su sâimposer sur la scène internationale, devenant le premier Africain à décrocher ce titre prestigieux. Cette saison, il air of mystery la lourde tâche de défendre son titre mondial tout en poursuivant sa quête de succès dans dâautres compétitions internationales notamment en Afrique où il compte 6 titres de champion des moins de 98 Kg. Seidou incarne lâespoir de voir le sambo se développer davantage en Afrique, un continent où ce sport reste encore peu médiatisé. Judokate de abilities, Marie Céline Baba Matia sâest déjà illustrée à plusieurs reprises sur la scène africaine. Avec une assortment de plusieurs médailles remportées sur le continent, elle nourrit désormais des rêves de grandeur à lâéchelle mondiale. Cette saison sera cruciale pour elle, alors quâelle vise à se qualifier pour les championnats du monde de judo. Avec sa détermination et sa methodology, Baba Matia pourrait bien être la prochaine grande huge name du judo mondial en provenance du Cameroun. Gardien de but de Manchester United, André Onana est lâune des figures de proue du soccer camerounais. Vainqueur de la FA Cup avec son club en 2023-24, il est désormais déterminé à faire encore mieux cette saison, tant en club quâen sélection nationale. Ses performances ont fait de lui un pilier de lâéquipe des Crimson Devils, et il aspire à mener le Cameroun vers de nouveaux sommets lors des compétitions internationales à venir. Sa détermination et son abilities en font un joueur incontournable à suivre. Clovis Kamzong a marqué les esprits en remportant le Tour cycliste global du Cameroun cette année, consolidant ainsi son statut de meilleur cycliste du pays. Cette victoire est le fruit de plusieurs années dâefforts et de détermination. Pour la saison à venir, Kamzong ambitionne de conserver son titre et de poursuivre son règne sur le cyclisme camerounais en remportant du 1er au 5 octobre déjà , le Gargantuan Prix Cycliste Chantal Biya 2024. Lâarticle est apparu en premier sur Sport Data Africa.
Nji Mouluh Seidou, le roi du sambo
Marie Céline Baba Matia, lâétoile montante du judo africain
André Onana, le mur de Manchester United
Clovis Kamzong, le maître du Tour du Cameroun
Arthur Wandji
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« Rigobert Song était sa girouette »
Brys dénonce particulièrement les efforts de la Fédération pour « nous déstabiliser et donc pour augmenter nos potentialities de perdre ». Selon lui, Samuel Eto’o et son entourage ne cherchent pas à soutenir l’équipe nationale mais semblent au contraire agir contre les intérêts des Lions Indomptables. « Comment peut-on être contre son propre pays ? », sâinterroge-t-il, soulignant lâabsurdité de la mission. « Mon prédécesseur Rigobert Song était sa girouette et n’avait rien à dire. Eto’o rentrait dans le vestiaire avant le match et au repos et il changeait l’équipe de A à Z. Les joueurs se sentaient tyrannisés ; c’était une farce totale. Dans un tel environnement, il ne fallait pas attendre que le Cameroun réalise les performances qu’on back de lui ».
Le clash avec Etoâo
L’entraîneur a également relaté un épisode particulièrement tendu qui a ecu lieu au sein de la Fécafoot le 28 mai 2024. Ce jour-là , lors dâune réunion où il était de nouveau convoqué “sans ordre du jour”, Brys raconte quâEto’o lâa d’abord ignoré avant de lui faire signe de le rejoindre de manière “agressive”. « Je lui ai laissé un vent, et c’est à partir de ce moment-là que la vidéo démarre. Il s’est senti humilié parce que je lui ai rendu la monnaie de sa pièce en étant méprisant comme lui et il a donc commencé à crier et à me menacer », present Brys. Cette altercation a marqué un level de non-retour dans leur relation.
Loin d’être un incident isolé, ce conflit semble illustrer une série de dysfonctionnements sur la manière dont la Fécafoot gère la sélection fanion du Cameroun. Enfin, selon Marc Brys. Le sélectionneur pointe en effet du doigt la gestion plus ou moins chaotique de l’organisation. Comme l’avant-veille de son premier match (victoire 4-1 contre le Cap-Vert) où lâéquipe nâavait ni bus, ni ballons, ni équipements. « C’était fait exprès. Et donc, j’ai dit à mes joueurs que l’entraînement était remplacé par une creep. J’ai voulu montrer que ça n’allait pas comme ça. Ce n’était pas tout. Avant notre match en Angola, il n’y avait soi-disant pas de chambres dans l’hôtel pour les entraîneurs, uniquement pour les joueurs et les dirigeants. J’ai refusé d’aller ailleurs et on a reçu une chambre », present-t-il.
« André Onana a dû sâéchauffer seul »
« La nuit avant le match, j’ai reçu un mail à 1h30 et 5h40 disant que les passeports des joueurs et les noms de l’équipe de depraved devaient être fournis à un commissaire de la Fifa qui logeait à une heure et demie de là . à 7 heures du matin, j’ai loué une voiture pour aller tout lui donner moi-même. Je craignais que la Fécafoot fasse des changements dans mon équipe. Et puis, nouvel incident : les membres de mon team n’étaient pas accrédités pour ce match. André Onana, gardien de Manchester United, a donc dû s’échauffer lui-même, sans entraîneur des gardiens ! Du jamais-vu. Voilà ce que Samuel Eto’o, big footballeur qu’il a été, a fait en tant président de sa fédération ».
En dépit de ces tensions, Marc Brys reste déterminé à accomplir sa mission à la tête des Lions Indomptables. Lorsqu’on lui demande comment il envisage sa future collaboration avec Eto’o, il répond de manière pragmatique : « La balle est dans son camp. S’il veut des relatives cordiales et apaisées, je suis preneur. S’il veut des relatives inamicales et brutales, elles le resteront jusqu’à ce que je finisse ma mission ».
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Issiaga Sylla : Je me sens bien, bien aussi physiquement. On a fait une bonne préparation et maintenant on a ha^te que le championnat démarre.
Au niveau du club, quelles sont les attentes pour cette saison ?
Issiaga Sylla : Ce sera d’être parmi les sept premiers au classement. C’est l’objectif des dirigeants.
La saison dernière il a ecu Brest qui a fait un parcours surprenant. Est-ce que c’est quelque selected qui est dans les têtes du côté de Montpellier pour créer la surprise ?
Issiaga Sylla : C’est vrai qu’ils ont fait une plentiful saison. Quand on voit ça, on se dit forcément, pourquoi pas nous ? Surtout quand on voit la préparation, tout ce qu’on a fait. On se dit que cette année il faut faire quelque selected.
Comment trouvez-vous le groupe de Montpellier cette saison et y a-t-il eu des changements par rapport à la saison dernière ?
Issiaga Sylla : Il n’y a pas eu de changement majeur. On a fait une bonne préparation et on a ecu de bonnes discussions avec le coach. Tout le monde sait ce qui nous back cette année. C’est quasiment le même groupe qui est là , on a juste plus parlé entre nous et on nous a demandé d’aller gratter un peu plus pour atteindre notre objectif.
Lire aussi : Montpellier : Issiaga Sylla veut retrouver son niveau
Vous évoluez au sein du championnat français depuis 2012. Comment expliquez-vous cette longévité ?
Issiaga Sylla : C’est vrai que ça fait longtemps que je suis ici, mais c’est un championnat que je suivais avant d’arriver et que j’aime beaucoup. J’aime toujours la Ligue 1 et également mon parcours dont je suis fier. Et ce n’est pas fini, je veux encore continuer.
Quel est votre secret pour avoir une telle longévité ?
Issiaga Sylla : On me pose souvent la query, mais je n’ai pas de réponse. Le seul truc c’est que je récupère beaucoup. Je me repose beaucoup chez moi. Je mange bien, je bois bien et je récupère bien. C’est ce qui m’a aidé pour rester aussi longtemps à ce niveau.
De par votre longévité, comment jugez-vous l’évolution de la Ligue 1 ?
Issiaga Sylla : C’est un championnat qui a bien évolué et a pris de la valeur. Chaque année ça évolue, on l’a encore vu avec de nouvelles règles mises en space avec les arbitres. On y prend du plaisir et personnellement c’est un championnat que j’ai toujours aimé, même à l’époque où j’étais en Guinée.
Cette saison n’y air of mystery-t-il pas plus de concurrence au poste d’arrière gauche ?
Issiaga Sylla : La concurrence de toute façon il y en a toujours eu, ça fait partie du soccer. Moi, ça ne me pose pas de problème. Pour être bon et être sur le terrain il faut s’entraîner et être bon aux entraînements. Ensuite l’entraîneur fait ses choix. Mais à mon niveau je n’ai pas de crainte par rapport à la concurrence.
A côté du club il y a aussi la sélection de Guinée. Avez-vous suivi le parcours de l’équipe aux JO 2024 ?
Issiaga Sylla : J’ai regardé tous les matchs. C’est dommage car il y avait la space pour faire mieux mais bon… Il y avaient des adversaires costauds c’est vrai, mais on pouvait faire mieux.
Dans la foulée le sélectionneur Kaba Diawara a été remercié. Beaucoup de joueurs ont réagi à cette décision. Est-ce que c’est un choix que vous comprenez ?
Issiaga Sylla : Vous savez, en Afrique c’est souvent comme ça. On est pressé. Dès qu’il n’y a pas de résultat, il y a du changement. Si ça ne tenait qu’à moi, je n’aurais pas pris cette décision. C’est le choix de la Fédération, nous ne sommes que des joueurs à notre niveau.
En parlant du terrain, il y a les éliminatoires à la CAN 2025 qui vont débuter en septembre. Vu votre parcours en Côte d’Ivoire, vous aurez un petit sentiment de revanche ?
Issiaga Sylla : Oui bien sûr car on aurait pu faire mieux à la CAN en Côte d’Ivoire. Mais déjà l’objectif ce sera de se qualifier. On a deux matchs pour débuter, il faut qu’o come à enchaîner pour bien se lancer. L’objectif c’est de gagne les deux.
Mais une fois de plus vous allez disputer ses éliminatoires loin du public guinéen faute de stade homologué. Une mission qui dure depuis des années. N’est-ce pas frustrant ?
Issiaga Sylla : C’est quelque selected qui me fait mal. Avec tout le abilities au sein de cette équipe, ça me fait mal de ne pas jouer chez nous devant notre public. C’est au niveau du gouvernement que les choses doivent être faite. En tout cas c’est une mission que je n’aime pas du tout. Jouer à chaque fois à l’extérieur, ça complique les choses pour nous et je n’en suis pas allege.
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Youssouf Mulumbu : Pour l’instant je dirai que J’avais pris une année sabbatique pour voir là où j’allais m’orienter. Je suis spécialisé dans les sports, je vais passer mes diplômes de directeur sportif et de instructing en Belgique avec mon ami Dieumerci Mbokani.
C’est prévu pour quand ?
Youssouf Mulumbu : Normalement la session doit commencer en septembre.
C’est donc une reconversion que vous préparez; devenir directeur sportif ou coach a toujours été votre objectif ?
Youssouf Mulumbu : Mon vrai rêve est d’avoir un rôle prédominant à la Fédération congolaise de soccer affiliation. Mais ça se fait doucement, il faut d’abord appendre, avoir de l’expérience et surtout il faut être sur le terrain. Voilà pourquoi j’avais fait de mon mieux pour jouer à Lupopo pendant une saison. Cela m’a permis de goûter aux saveurs du championnat de la RDC.
Pour un joueur qui n’avait jamais joué dans un club africain, d’où vous est venue l’idée de terminer votre carrière en RDC ?
Ãa a choqué plusieurs personnes du monde du soccer, ma famille et tout mon entourage. Mais mon objectif était de venir comprendre ce que c’était le championnat congolais, quelles en étaient les difficultés et voir là où les améliorations étaient nécessaires. Mon passage à Lupopo s’est très bien passé. Ãa m’a permis de faire venir un coach expérimenté et des joueurs venus de l’extérieur. La mission a été brillamment accomplie et Lupopo a retrouvé sa splendeur en tant que big club en RDC. Personnellement, ça m’a permis de voir dans quel mécanisme arriver à la FECOFA ou au ministère des Sports.
Votre contrat avec Lupopo prévoyait que vous deveniez supervisor de l’équipe après votre passage en tant que joueur du club, qu’en est-il aujourd’hui ?
Youssouf Mulumbu : C’était assez difficile, j’étais venu voir comment ça fonctionnait. Le fait d’avoir les gens proches du président Kyabula, gouverneur de la province du Haut-katanga, dans le Comité était dur. C’est pourquoi après ce temps passé à Lupopo je suis allé au FC Tanganyika en tant que supervisor. Nous avons fait venir le coach et aujourd’hui ils sont montés en première division. Ãa s’est très bien passé. J’ai, ensuite, eu des appels de Lupopo pour revenir mais j’ai senti que ça allait être difficile d’installer mon état d’esprit et ma imaginative and prescient.
Aujourd’hui, peut-on dire que vous avez complètement raccroché les crampons ?
Youssouf Mulumbu : Oui, là j’ai pris de l’âge, il faut aussi laisser les jeunes s’exprimer. Il faut savoir arrêter au bon moment. Je pense que le soccer est une grande institution qui ouvre des portes en nous donnant la possibilité de rencontrer des présidents des institutions et d’autres personnes hauts placées. Il faut s’en servir après sa carrière pour pouvoir se guider vers d’autres cieux. Et je crois que je l’ai très bien fait. Mon but ultime est donc d’avoir un rôle prédominant à la FECOFA ou au ministère des Sports.
Ãtes-vous satisfait de votre carrière de footballeur ?
Youssouf Mulumbu : Je pense que tout joueur n’est pas satisfait parce qu’il y a toujours une selected qu’on aurait voulu faire mais qu’on n’a pas pu réaliser. Ma plus grosse déception est de n’avoir pas gagné un trophée avec l’équipe nationale de la RDC. Mais pour le reste je pense que je suis allege de ma carrière. J’ai joué dans les meilleurs championnats du monde, j’ai joué avec et contre les meilleurs joueurs du monde comme Ronaldinho, Okocha, Romelu Lukaku. Concernant le pays, on ne peut plus y revenir mais on supporte les Léopards en essayant de donner des conseils et d’aider comme on peut, espérant que ceux qui sont là aujourd’hui pourront gagner un trophée.
Vous n’avez pas remporté de trophée avec les Léopards mais vous avez pu remporter une médaille de bronze à la CAN 2015 où vous avez été un vrai leader d’équipe. On a senti une certaine hargne en vous qui de nature êtes un peu réservé. Qu’est-ce qui s’était passé ?
Youssouf Mulumbu : J’avais vraiment pris à coeur mon rôle de capitaine pendant cette CAN là . Je sentais que l’équipe avait vraiment besoin de moi. Mais après, le leadership ne se vole pas, c’est dans l’être humain lui-même. Et les Congolais me montrent leur reconnaissance par rapport à ça. Ãa fait du bien. Cette CAN là a remis la RDC à un bon niveau sur le continent en terme de considération.
Vous avez joué pour les équipes de jeunes de la France. Qu’est-ce qui vous a poussé à faire le choix de jouer pour la RDC en devenant senior ?Â
Youssouf Mulumbu : C’est tout simplement l’amour de mon pays. C’était aussi pour construire quelque selected parce que les Français ont déjà tout. C’était aussi le projeter pour mon après carrière pour pouvoir bâtir quelque selected de big. Je pense qu’on l’a fait à vingt pourcents. Voilà pourquoi j’ai le goût amer par rapport à la carrière internationale parce que je pense qu’on aurait pu faire beaucoup plus avec l’équipe nationale. Je n’ai jamais cessé de prouver mon amour pour la RDC.
Comment trouvez-vous la gestion du soccer en RDC aujourd’hui ?
Youssouf Mulumbu : C’est très compliqué, j’étais à Lupopo pendant un an, le championnat s’était arrêté. On ne savait pas contre qui on allait jouer. On a la probability d’avoir des grands golf equipment mais ça ne se voit pas trop de l’extérieur du pays. On a des très bons joueurs mais dans des compétitions internationales, on ne voit pas le nom de la RDC apparaître. C’est parce qu’il y a un problème de fond.
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Cheikh Gueye : Je suis très allege d’être à Loto Popo pour travailler avec l’ensemble de mon team, avec l’ensemble de la direction du club pour atteindre les objectifs qui m’ont été assignés. Durant les trois et quatre dernières années que j’ai suivi Loto Popo, j’ai remarqué que c’est un club ambitieux. Je remercie les dirigeants pour le sens de l’ambition. Je ne suis pas venu dans un club qui joue le maintien mais un club qui veut être parmi les cinq premiers.
Comment comptez-vous vous refaire une réputation à Loto Popo ?
Cheikh Gueye : Pour redonner le titre de champion à Loto Popo, je pense qu’il faut passer d’abord par le travail. Après le travail, il faut de la cohésion du groupe en prenant en compte tous les maillons. Donc il va falloir une cohésion entre tous les travailleurs du club, une cohésion au sein du team et une cohésion entre les joueurs aussi. Par le travail, le sérieux et la cohésion, je pense qu’on pourra bel et bien être champion du Bénin.
Parlez-nous des objectifs assignés ?
Les objectifs, c’est de jouer les premiers rôles dans le championnat (remporter le championnat) et dans le futur au niveau du soccer africain.
Quelles sont vos ambitions personnelles ?
Mes ambitions, c’est d’être champion du Bénin parce qu’on ne peut pas être dans un club ambitieux et être moins ambitieux que le club.
Vous êtes à Loto Popo pour combien de temps ?
Je suis à Loto Popo pour le temps qu’il faut. Je suis là pour essayer de remporter le maximum de titres possibles et de faire de Loto Popo une équipe sur la scène africaine.
Une idée sur vos débuts en tant quâentraîneur ?
Jâai commencé ce métier en Espagne dans des académies et golf equipment amateurs comme lâAtlètic Segre, le Mig Segria et le Soses CF. Ma première expérience au Sénégal, câest durant la saison 2015-2016 avec le Guédiawaye FC. Après je suis passé par le Stade de Mbour, lâAS Kaloum (Guinée), lâASC Jaraaf et le Teungheth FC.
Votre mot de fin ?
Je profite de l’occasion pour lancer un appel à tous les supporters à soutenir le club. Je remercie les dirigeants du club de m’avoir donné l’opportunité de venir au Bénin et d’entraîner ce club qui est Loto Popo.
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Aucune médaille remportée depuis, avec comme meilleure efficiency de tous les temps, les demi-finales du 400 m hommes, atteintes à deux reprises par Garry Kikaya en 2004 à Athènes et en 2008 à Pérelatives. à Paris, la meilleure efficiency a été un deuxième tour préliminaire du 100m hommes atteint par le sprinteur Dominique Lasconi.
Trouver des alternate strategies à l’impréparation
Ce fiasco des Léopards n’a rien d’étonnant au regard de la préparation chaotique qu’a connu les athlètes. Une impréparation qui ne laissait pas de doute quand à l’espoir de décrocher une médaille.
Selon plusieurs analystes sportifs, tout devrait partir du haut du pouvoir du pays avec une vraie politique sportive. « On n’accorde pas trop d’significance au sport en RDC. Le gouvernement ne met pas assez de moyens pour assurer la préparation des athlètes. Mais aussi, il n’existe pas de vraie politique sportive au pays qui peut faire en sorte que le sport se développe en RDC. Si on veut gagner une médaille olympique, la volonté doit venir d’en haut. L’Ãtat doit mettre les moyens en jeu », indique Prince Mukeba.
Le Comité olympique congolais n’est pas en reste. Il a une grande responsabilité sur ce que produit la RDC. « La promotion, le développement et la protection du mouvement olympique dans un pays donné, sont là les missions d’un Comité olympique nationwide, mais chez nous le COC ne fait absolument rien de tout ça. Et après chaque échec, on ne tire jamais des leçons, aucune remise en query ni innovation, rien, comment allons-nous nous améliorer ? », s’indigne Patrick Matondo, un autre analyste sportif.
Les bourses olympiques, une resolution palliative
La préparation de Los Angeles 2028 doit déjà commencer après la clôture de Paris 2024. Un vrai programme devrait déjà être établi en ciblant des disciplines qui ont l’habitude d’apporter le plus des médailles au pays lors de leurs participations aux compétitions internationales.
Et pour la préparation des athlètes, les bourses olympiques peuvent se présenter comme une aide à l’Etat, pouvant permettre aux heureux élus d’avoir un programme complet de préparation, totalement financé.
Après la levée de l’embargo qui pesait sur la RDC, les athlètes congolais ont repris espoir de bénéficier de ces bourses qui pourraient leur permettre d’aller se préparer dans des meilleures prerequisites dans des pays développés, chacun avec sa discipline de spécialisation. « Gagner une médaille olympique ne sera jamais le fruit du hasard. Il faut beaucoup travailler et dans des bonnes prerequisites », a déclaré le directeur methodology nationwide de la Fédération congolaise de boxe, Toussaint Louange.
Et Selon le Secrétaire général du Comité olympique congolais, Alain Badiashile, dès janvier 2025, les premières bourses pourront déjà être attribuées aux Congolais.
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Lire aussi : WTA Berlin : Ons Jabeur inquiète après son abandon
Malheureusement pour Ons Jabeur, les difficultés ont commencé dès le début de l’année avec cette blessure au genou récurrente qui a affecté ses performances et l’ont privée de plusieurs tournois. Les premiers signaux sont apparus dès le premier tournoi majeur avec une sortie précoce à l’Originate d’Australie. Elle a continué à rencontrer des difficultés dans des tournois comme Doha et Dubaï, où elle n’a pas pu jouer à son meilleur niveau en raison de problèmes physiques persistants.Source constante de préoccupation, ce genou dont elle avait pourtant été opérée.
Dans un effort pour gérer sa santé, Ons Jabeur a même fait le choix difficile de renoncer aux Jeux Olympiques de Paris 2024. Le passage rapide entre différentes surfaces de jeu (de la terre battue de Roland-Garros aux courts durs) représentait un risque significatif pour son genou déjà vulnérable. Une décision prise à contre-coeur, mais quelque peu contrainte pour tenter de rebondir en seconde partie de saison.
Après le genou, trahie par son épaule
Préparée pour revenir sur un tournoi majeur au Masters de Cincinnati, après un premier test loin d’être concluant à Toronto, c’est cette fois une blessure à l’épaule qui la rattrape. «â¯Bonjour à tous, jâai le remorse de vous informer quâen raison dâune blessure aggravée à lâépaule, je ne pourrai pas participer à lâOriginate de Cincinnati cette année. Malgré tous mes efforts pour récupérer à temps, jouer à Toronto nâa pas aidé, mon état actuel ne me permet pas de concourir au niveau requis. Je fais de mon mieux pour récupérer pour le prochain US Originate à Contemporary York. Bisousâ¯Â», a-t-elle informé, quelque peu résignée.
Un nouveau revers pour Jabeur qui voit peut-être la suite de sa saison s’écrire en pointillés. Car cette blessure à l’épaule l’a non seulement contrainte à déclarer forfait pour Cincinnati, mais elle met également en péril sa participation à l’US Originate. Un vrai coup d’arrêt pour celle qui a disputé trois finales de Gargantuan Chelem ces dernières années.
Un rappel poignant du coût physique que le tennis professionnel impose aux athlètes, en particulier à ceux qui, comme Jabeur, pratiquent un vogue de jeu très exigeant physiquement. Alors qu’elle continue de lutter contre ces blessures, son objectif sera sans aucun doute la récupération et la recherche d’une manière de revenir au sommet du jeu en 2025. Car pour 2024, la Tunisienne devra sans doute se contenter de sauver ce qui peut l’être, mais avant tout de retrouver la santé et ses sensations.
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