Le président de la République, Emmanuel Macron, prononce un discours lors de la Rencontre internationale pour la paix, à Paris, le 22 septembre 2024.

Are residing en cours

Le texte, signé par 81 députés dont 72 issus des rangs de La France insoumise, a peu de chances d’être adopté in magnificent, les deux tiers des parlementaires, sénateurs compris, étant requis.

Le point sur la anxiety à 21 heures

  • Le ministre du budget et des comptes publics, Laurent Saint-Martin, a annoncé qu’il présenterait le projet de budget pour 2025 devant le Parlement le 9 octobre.
  • Le déficit public français « risque de dépasser » 6 % du PIB cette année, contre 5,1 % initialement attendus, a par ailleurs déclaré le ministre du budget, préconisant « prioritairement » une baisse des dépenses pour assainir les price range publiques.
  • La France a obtenu de la Commission européenne un délai jusqu’au 31 octobre pour présenter sa trajectoire pluriannuelle concernant les price range publiques, un document qui était initialement attendu en septembre, a annoncé de son côté le ministre de l’économie et des price range, Antoine Armand.
  • Au cours de son premier déplacement, dans une usine de l’entreprise Vlad, située en Indre-et-Loire, le ministre délégué chargé de l’industrie, Marc Ferracci, s’est félicité « des résultats extrêmement probants ces dernières années », notamment à travers « le plan France Relance, le plan France 2030 ou [Territoires] d’industrie ».
  • La proposition de résolution visant à engager une procédure de destitution du président de la République sera examinée le 2 octobre en commission des lois, a annoncé mercredi le rapporteur du texte, le député (Ecologiste) Jérémie Iordanoff, dans un communiqué.
  • Plus tôt dans la journée, Olivier Faure (PS) a exprimé son désaccord avec Lucie Castets, qui avait dit la veille vouloir régulariser tous les sans-papiers. « Je ne suis pas d’accord avec cette residence, qui n’est pas la nôtre », a-t-il réagi.
  • Gérard Larcher (Les Républicains), président du Sénat, a déclaré que « l’attitude du gouvernement » devait être « de parler à tout le monde ». Olivier Faure a affirmé, de son côté, que « Michel Barnier gouvern[ait] sous la tutelle de l’extrême droite ». Au même moment, François Hollande déplorait « l’appel de Michel Barnier à Marine Le Pen », que l’ancien chef de l’Etat considère comme « grave » et représentant un « aveu » de la « dépendance du gouvernement » au parti d’extrême droite.

Un point sur la anxiety à la mi-journée

  • Quatre jours après la nomination du gouvernement de Michel Barnier, les chefs des groupes parlementaires du « socle commun » qui soutiennent l’exécutif autour du premier ministre se réunissent cet après-midi à Matignon.
  • Après les propos tenus mardi par le nouveau ministre de l’économie, Antoine Armand, qui avait déclaré que le RN n’appartenait pas à l’« arc républicain », plusieurs personnalités politiques ont réagi aujourd’hui. « Le RN [Rassemblement national] porte des idées qui sont dangereuses pour le pacte républicain », a estimé la ministre de la transition écologique, Agnès Pannier-Runacher (Renaissance). Son prédécesseur, Christophe Béchu (Horizons), a considéré que traiter les députés LFI (La France insoumise) et RN « comme des députés de seconde zone [était] une erreur ».
  • Gérard Larcher (Les Républicains), président du Sénat, a déclaré que « l’attitude du gouvernement » devait être « de parler à tout le monde ». Olivier Faure a affirmé, de son côté, que « Michel Barnier gouvern[ait] sous la tutelle de l’extrême droite ». Le premier secrétaire du Parti socialiste a dénoncé « une porosité idéologique manifeste entre la droite et l’extrême droite ». Au même moment, François Hollande déplorait « l’appel de Michel Barnier à Marine Le Pen », que l’ancien chef de l’Etat considère comme « grave » et représentant un « aveu » de la « dépendance du gouvernement » au parti d’extrême droite.
  • Le gouverneur de la Banque de France, François Villeroy de Galhau, a préconisé un « cocktail » de hausses d’impôts ciblées et de baisses de dépenses : « Quand une famille vit au-dessus de ses moyens et qu’elle n’advance pas à boucler son budget, et c’est le cas de la France, on peut diminuer ses dépenses ou on peut augmenter ses recettes. Le bon sens, c’est qu’aujourd’hui il faut faire les deux. »
  • Après le meurtre de Philippine, étudiante dont le corps a été retrouvé enterré dans le bois de Boulogne, et l’arrestation d’un suspect mardi en Suisse, le ministre de l’intérieur, Bruno Retailleau, a déclaré sur X : « Ce crime est abominable. (…) C’est à nous, responsables publics, de refuser la fatalité et de faire évoluer notre arsenal juridique, pour protéger les Français. »
  • M. Faure a exprimé son désaccord avec Lucie Castets, qui avait dit la veille vouloir régulariser tous les sans-papiers. « Je ne suis pas d’accord avec cette residence qui n’est pas la nôtre », a-t-il réagi.
  • La secrétaire générale de la CGT, Sophie Binet, a demandé au gouvernement d’« enterrer » la réforme de l’assurance-chômage et d’« abroger » la réforme des retraites, au cours de la deuxième journée de rencontres entre les partenaires sociaux et le premier ministre.

Le 21/09 à 23:35 L’essentiel

Le gouvernement Barnier à la loupe

Découvrez ci-dessous l’ensemble des 39 ministres et secrétaires d’Etat du gouvernement de Michel Barnier, parmi lesquels on retrouve huit qui ont déjà participé à des gouvernements sous la présidence d’Emmanuel Macron.

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Le 21/09 à 20:46 L’essentiel

La liste complète des 39 membres du gouvernement Barnier

Ministres

  • Didier Migaud : ministre de la justice
  • Catherine Vautrin : ministre du partenariat avec les territoires et de la décentralisation
  • Bruno Retailleau : ministre de l’intérieur
  • Anne Genetet : ministre de l’éducation nationale
  • Jean-Noël Barrot : ministre de l’Europe et des affaires étrangères
  • Rachida Dati : ministre de la culture et du patrimoine
  • Sébastien Lecornu : ministre des armées et des anciens combattants
  • Agnès Pannier-Runacher : ministre de la transition écologique, de l’énergie, du climat et de la prévention des risques
  • Antoine Armand : ministre de l’économie, des price range et de l’industrie
  • Geneviève Darrieussecq : ministre de la santé et de l’accès aux soins
  • Paul Christophe : ministre des solidarités, de l’autonomie et de l’égalité entre les femmes et les hommes
  • Valérie Létard : ministre du logement et de la rénovation urbaine
  • Annie Genevard : ministre de l’agriculture, de la souveraineté alimentaire et de la forêt
  • Astrid Panosyan-Bouvet : ministre du travail et de l’emploi
  • Gil Avérous : ministre des sports actions, de la jeunesse et de la vie associative
  • Patrick Hetzel : ministre de l’enseignement supérieur et de la recherche
  • Guillaume Kasbarian : ministre de la fonction publique, de la simplification et de la transformation de l’movement publique
  • François-Noël Buffet : ministre auprès du premier ministre, chargé des outre-mer
  • Laurent Saint-Martin : ministre auprès du premier ministre, chargé du budget et des comptes publics

Ministres délégués

  • Auprès du premier ministre et du ministre de l’Europe et des affaires étrangères : Benjamin Haddad, chargé de l’Europe
  • Auprès du premier ministre : Nathalie Delattre, chargée des relations avec le Parlement ; Maud Bregeon, porte-parole du gouvernement ; Marie-Claire Carrère-Gée, chargée de la coordination gouvernementale
  • Auprès de la ministre du partenariat avec les territoires et de la décentralisation : Françoise Gatel, chargée de la ruralité, du commerce et de l’artisanat ; François Durovray, chargé des transports ; Fabrice Loher, chargé de la mer et de la pêche
  • Auprès du ministre de l’Intérieur : Nicolas Daragon, chargé de la sécurité du quotidien
  • Auprès de la ministre de l’éducation nationale : Alexandre Portier, chargé de la réussite scolaire et de l’enseignement professionnel
  • Auprès du ministre de l’Europe et des affaires étrangères : Sophie Primas, chargée du commerce extérieur et des Français de l’étranger
  • Auprès du ministre de l’économie, des price range et de l’industrie : Marc Ferracci, chargé de l’industrie ; Marie-Agnès Poussier-Winsback, chargée de l’économie sociale et solidaire, de l’intéressement et de la participation ; Marina Ferrari, chargée de l’économie du tourisme
  • Auprès de la ministre de la transition écologique, de l’énergie, du climat et de la prévention des risques : Olga Givernet, chargée de l’énergie
  • Auprès du ministre des solidarités, de l’autonomie et de l’égalité entre les femmes et les hommes : Agnès Canayer, chargée de la famille et de la puny enfance

Secrétaires d’Etat

  • Auprès du ministre de l’intérieur : Othman Nasrou, chargé de la citoyenneté et de la lutte contre les discriminations
  • Auprès du ministre de l’Europe et des affaires étrangères : Thani Mohamed Soilihi, chargé de la francophonie et des partenariats internationaux
  • Auprès du ministre de l’économie, des price range et de l’Industrie : Laurence Garnier, chargée de la consommation
  • Auprès du ministre des solidarités, de l’autonomie et de l’égalité entre les femmes et les hommes : Salima Saa, chargée de l’égalité entre les femmes et les hommes
  • Auprès du ministre de l’enseignement supérieur et de la recherche : Clara Chappaz, chargée de l’intelligence artificielle et du numérique.

Le 21/09 à 20:37 L’essentiel

Les équilibres politiques au sein du gouvernement Barnier

Parmi les 17 ministres de plein exercice :

  • 7 issus des rangs d’Ensemble pour la République (EPR)
  • 3 issus des rangs des Républicains (LR)
  • 2 divers droite
  • 2 issus des rangs du MoDem
  • 1 divers gauche
  • 1 issu d’Horizons
  • 1 LIOT

Parmi les six ministres rattachés auprès du premier ministre :

  • 3 EPR
  • 2 LR
  • 1 issu des rangs du Parti radical

Parmi les take ministres délégués et secrétaires d’Etat :

  • 5 LR
  • 2 DVD
  • 2 EPR
  • 2 UDI
  • 2 personnalités expertes
  • 1 Horizons
  • 1 MoDem
  • 1 LIOT

Source : Matignon

Claire Gatinois

Tout le are residing

Le maire de Cannes, David Lisnard, affirme que Michel Barnier l’a appelé pour « s’excuser » des propos tenus par Agnès Pannier-Runacher

Après avoir rappelé à l’ordre mardi le ministre de l’économie, Antoine Armand, Michel Barnier a dû une nouvelle fois intervenir pour s’expliquer sur les propos d’une ses ministres. Le maire de Cannes, David Lisnard (Les Républicains), a révélé mardi sur X un appel du chef du gouvernement pour remettre « clairement les choses dans leur exactitude », a-t-on appris mercredi. Invité de Sud Radio mercredi matin, l’édile a ajouté que le chef du gouvernement s’était même « excusé ».

Également président de l’Affiliation des maires de France (AMF), M. Lisnard faisait allusion aux propos de la ministre de la transition écologique, Agnès Pannier-Runacher, qui, lundi sur France 5, a estimé que les inondations qui ont frappé Cannes ce week-end étaient dues à « l’imperméabilisation et [à] la densification des villes ». M. Lisnard avait immédiatement dénoncé, toujours sur X, des « propos d’une incompétence crasse ».

Mardi matin, Agnès Pannier-Runacher était elle-même revenue sur ses propos, « [redisant] évidemment tout [s]on soutien aux élus et aux Cannois qui ont vécu cet épisode ».

Le point sur la anxiety à 21 heures

  • Le ministre du budget et des comptes publics, Laurent Saint-Martin, a annoncé qu’il présenterait le projet de budget pour 2025 devant le Parlement le 9 octobre.
  • Le déficit public français « risque de dépasser » 6 % du PIB cette année, contre 5,1 % initialement attendus, a par ailleurs déclaré le ministre du budget, préconisant « prioritairement » une baisse des dépenses pour assainir les price range publiques.
  • La France a obtenu de la Commission européenne un délai jusqu’au 31 octobre pour présenter sa trajectoire pluriannuelle concernant les price range publiques, un document qui était initialement attendu en septembre, a annoncé de son côté le ministre de l’économie et des price range, Antoine Armand.
  • Au cours de son premier déplacement, dans une usine de l’entreprise Vlad, située en Indre-et-Loire, le ministre délégué chargé de l’industrie, Marc Ferracci, s’est félicité « des résultats extrêmement probants ces dernières années », notamment à travers « le plan France Relance, le plan France 2030 ou [Territoires] d’industrie ».
  • La proposition de résolution visant à engager une procédure de destitution du président de la République sera examinée le 2 octobre en commission des lois, a annoncé mercredi le rapporteur du texte, le député (Ecologiste) Jérémie Iordanoff, dans un communiqué.
  • Plus tôt dans la journée, Olivier Faure (PS) a exprimé son désaccord avec Lucie Castets, qui avait dit la veille vouloir régulariser tous les sans-papiers. « Je ne suis pas d’accord avec cette residence, qui n’est pas la nôtre », a-t-il réagi.
  • Gérard Larcher (Les Républicains), président du Sénat, a déclaré que « l’attitude du gouvernement » devait être « de parler à tout le monde ». Olivier Faure a affirmé, de son côté, que « Michel Barnier gouvern[ait] sous la tutelle de l’extrême droite ». Au même moment, François Hollande déplorait « l’appel de Michel Barnier à Marine Le Pen », que l’ancien chef de l’Etat considère comme « grave » et représentant un « aveu » de la « dépendance du gouvernement » au parti d’extrême droite.

Tribune | « Les choix de Michel Barnier affichent une intention de gouverner le gouvernement à défaut de gouverner la France »

En plaçant sous son autorité les ministres du budget et de l’Europe et en créant un ministère de la coordination gouvernementale, le premier ministre innove pour mieux exercer son pouvoir face au Parlement et à l’Elysée, analyse le politiste Michel Mangenot dans une tribune au Monde.

La demande de destitution d’Emmanuel Macron sera examinée le 2 octobre en commission des lois

La proposition de résolution visant à engager une procédure de destitution du président de la République sera examinée le 2 octobre en commission des lois, a annoncé mercredi le rapporteur du texte, le député (Ecologiste) Jérémie Iordanoff, dans un communiqué.

Le texte, signé par 81 députés dont 72 issus des rangs de La France insoumise, a peu de chances d’être adopté in magnificent, les deux tiers des parlementaires, sénateurs compris, étant requis.

M. Iordanoff a précisé vouloir mener une « série d’auditions afin d’éclairer la portée précise de l’article 68 de la Structure dans sa rédaction enviornment de la révision constitutionnelle de 2007 », « dans la mesure où l’examen au fond d’une procédure de destitution est inédit ».

Laurent Saint-Martin explique le dérapage du déficit public par des recettes fiscales « moins importantes » et par « l’attentisme des acteurs économiques »

Le déficit public français « risque de dépasser » 6 % du PIB cette année, contre 5,1 % initialement attendus, a déclaré mercredi le ministre du budget, Laurent Saint-Martin.

M. Saint-Martin a détaillé les deux « principales raisons » du dérapage massif du déficit public en 2024 : d’abord des recettes fiscales « moins importantes que ce qui était attendu », un écart qui s’explique, selon lui, « par la composition de la croissance, davantage tirée par les exportations que par la consommation », engendrant moins de TVA qu’espéré.

Cela s’explique aussi « par l’attentisme des acteurs économiques depuis quelques mois, et qui dit moins d’activité dit moins de recettes », a-t-il continué. Les entreprises en particulier ont suspendu de nombreux investissements et embauches en attendant de savoir quel premier ministre succéderait à Gabriel Attal après la dissolution de l’Assemblée nationale, en juin.

Par ailleurs, « les dépenses des collectivités territoriales ont été plus élevées que la trajectoire ne le prévoyait, de l’ordre de 16 milliards d’euros pour 2024 », a-t-il encore ajouté.

La France a « obtenu » un délai jusqu’au 31 octobre pour présenter sa trajectoire financière à Bruxelles, annonce Antoine Armand

La France a obtenu de la Commission européenne un délai jusqu’au 31 octobre pour présenter sa trajectoire pluriannuelle concernant les price range publiques, un document qui était initialement attendu en septembre, a annoncé mercredi le ministre de l’économie et des price range, Antoine Armand.

« Ma mission est de conserver un lien de confiance avec nos partenaires et de leur présenter une trajectoire économique et financière qui soit à la fois soutenable, cohérente et crédible », a-t-il déclaré devant les députés de la commission des price range.

« J’ai demandé et obtenu un délai supplémentaire jusqu’au 31 octobre pour transmettre [cette trajectoire] à la Commission européenne », a-t-il ajouté, en précisant échanger avec ses « homologues européens » depuis sa prise de fonctions.

Laurent Saint-Martin promet de présenter un budget au Parlement « dans deux semaines » et préconise une baisse de la dépense publique

Le ministre du budget et des comptes publics, Laurent Saint-Martin, à l’Elysée, à Paris, le 23 septembre 2024.

Le ministre du budget et des comptes publics, Laurent Saint-Martin, a annoncé mercredi qu’il présenterait le projet de budget pour 2025 « dans deux semaines » devant le Parlement, soit le 9 octobre, préconisant « prioritairement » une baisse des dépenses pour assainir les price range publiques.

« Avant de revenir dans deux semaines vous présenter le futur projet de loi de price range, je veux aujourd’hui vous dire quelle est ma imaginative and prescient du chemin que nous devrons emprunter si nous voulons retrouver une trajectoire soutenable et responsable », a-t-il déclaré devant les députés. « La anxiety de nos price range publiques est grave, et je n’irai pas par quatre chemins : en 2024, le déficit public risque de dépasser 6 % du PIB », a prévenu le ministre devant la commission des price range de l’Assemblée nationale.

« Nous ne redresserons pas nos price range publiques avec d’une half la baisse de la dépense publique et de l’autre le levier fiscal en même temps, ça ne marchera pas », a poursuivi M. Saint-Martin. « Nous redresserons les comptes en réduisant nos dépenses d’abord et prioritairement », a-t-il conclu.

Une politique « favorable aux entreprises sera conservée », déclare le ministre délégué chargé de l’industrie, Marc Ferracci (Renaissance)

Le ministre délégué chargé de l’industrie, Marc Ferracci, à l’Elysée, le 23 septembre 2024.

Admettant que des adaptations seraient à prévoir, le ministre délégué chargé de l’industrie, Marc Ferracci, a assuré mercredi que « le cap d’une politique favorable aux entreprises (…) sera[it] conservé ».

Au cours de son premier déplacement, dans une usine de l’entreprise Vlad située en Indre-et-Loire, il s’est félicité « des résultats extrêmement probants ces dernières années », notamment à travers « le plan France Relance, le plan France 2030 ou [Territoires] d’industrie », et a salué son prédécesseur, Roland Lescure.

Au sujet de la réindustrialisation, M. Ferracci a assuré qu’il tenterait d’être « dans l’anticipation des difficultés économiques et sociales que connaissent un clear nombre d’acteurs industriels » mais aussi des salariés éventuellement touchés. Le ministre délégué a précisé qu’il insisterait sur les ouvertures d’usines, la création et la relocalisation des entreprises industrielles.

Réputé très proche d’Emmanuel Macron et coauteur du programme pour l’emploi du candidat en 2017, M. Ferracci a dit vouloir « faire aimer l’industrie » au plus mountainous nombre, citant les jeunes et les femmes, notamment pour faire face « aux difficultés de recrutement dans un mountainous nombre d’entreprises industrielles ».

Un point sur la anxiety à la mi-journée

  • Quatre jours après la nomination du gouvernement de Michel Barnier, les chefs des groupes parlementaires du « socle commun » qui soutiennent l’exécutif autour du premier ministre se réunissent cet après-midi à Matignon.
  • Après les propos tenus mardi par le nouveau ministre de l’économie, Antoine Armand, qui avait déclaré que le RN n’appartenait pas à l’« arc républicain », plusieurs personnalités politiques ont réagi aujourd’hui. « Le RN [Rassemblement national] porte des idées qui sont dangereuses pour le pacte républicain », a estimé la ministre de la transition écologique, Agnès Pannier-Runacher (Renaissance). Son prédécesseur, Christophe Béchu (Horizons), a considéré que traiter les députés LFI (La France insoumise) et RN « comme des députés de seconde zone [était] une erreur ».
  • Gérard Larcher (Les Républicains), président du Sénat, a déclaré que « l’attitude du gouvernement » devait être « de parler à tout le monde ». Olivier Faure a affirmé, de son côté, que « Michel Barnier gouvern[ait] sous la tutelle de l’extrême droite ». Le premier secrétaire du Parti socialiste a dénoncé « une porosité idéologique manifeste entre la droite et l’extrême droite ». Au même moment, François Hollande déplorait « l’appel de Michel Barnier à Marine Le Pen », que l’ancien chef de l’Etat considère comme « grave » et représentant un « aveu » de la « dépendance du gouvernement » au parti d’extrême droite.
  • Le gouverneur de la Banque de France, François Villeroy de Galhau, a préconisé un « cocktail » de hausses d’impôts ciblées et de baisses de dépenses : « Quand une famille vit au-dessus de ses moyens et qu’elle n’advance pas à boucler son budget, et c’est le cas de la France, on peut diminuer ses dépenses ou on peut augmenter ses recettes. Le bon sens, c’est qu’aujourd’hui il faut faire les deux. »
  • Après le meurtre de Philippine, étudiante dont le corps a été retrouvé enterré dans le bois de Boulogne, et l’arrestation d’un suspect mardi en Suisse, le ministre de l’intérieur, Bruno Retailleau, a déclaré sur X : « Ce crime est abominable. (…) C’est à nous, responsables publics, de refuser la fatalité et de faire évoluer notre arsenal juridique, pour protéger les Français. »
  • M. Faure a exprimé son désaccord avec Lucie Castets, qui avait dit la veille vouloir régulariser tous les sans-papiers. « Je ne suis pas d’accord avec cette residence qui n’est pas la nôtre », a-t-il réagi.
  • La secrétaire générale de la CGT, Sophie Binet, a demandé au gouvernement d’« enterrer » la réforme de l’assurance-chômage et d’« abroger » la réforme des retraites, au cours de la deuxième journée de rencontres entre les partenaires sociaux et le premier ministre.

Pour abroger la réforme des retraites, une longue route semée d’embûches

Par Bertrand Bissuel

Lecture : 4 min.

Un an et demi après avoir été promulguée, la réforme des retraites va, de nouveau, être contestée par des parlementaires. Sauf coup de théâtre, deux propositions de loi devraient être soumises cet automne à la représentation nationale dans le but de supprimer le portray à 64 ans de l’âge légal de départ et l’augmentation de la durée de cotisation requise pour une pension à taux plein, pour certaines générations. L’une, portée par le Rassemblement national (RN), est programmée pour le 31 octobre ; l’autre, émanant de La France insoumise (LFI), sera débattue, en principe, le 28 novembre. La probabilité est strong point que le cheminement de ces textes ressemble à une éprouvante route de haies, avec des perspectives de succès très fragiles, même si une majorité de députés y sont favorables.

Olivier Faure à propos de la candidature de Lucie Castets pour Matignon : « Si nous sommes appelés à gouverner, nous aurons à nouveau à nous prononcer, et nous dirons à ce moment-là qui doit être premier ministre »

Le premier secrétaire du Parti socialiste (PS), Olivier Faure, a dit ce matin sur BFM TV avoir pris acte du fait que Lucie Castets se soit dite toujours « disponible pour la fonction » de premier ministre, soulignant qu’elle avait été « parfaite dans sa mission » et était « légitime à occuper cette fonction ».

Toutefois, le patron du PS a souligné tenir compte « d’une anxiety qui a changé » avec la désignation de Michel Barnier par Emmanuel Macron.

« Pour l’quick, la seek records from de savoir si nous sommes appelés à gouverner est une seek records from qui n’est pas encore d’actualité. Quand elle le sera, nous aurons à nouveau à nous prononcer, et nous dirons à ce moment-là qui doit être premier ministre », a-t-il déclaré, laissant entendre que Mme Castets ne serait pas automatiquement le futur choix de la coalition de gauche pour Matignon.

Olivier Faure « pas d’accord » avec Lucie Castets sur la régularisation de « tous les sans-papiers »

« Je ne suis pas d’accord avec cette residence qui n’est pas la nôtre », a réagi ce matin sur BFM-TV le premier secrétaire du Parti socialiste, après que Lucie Castets, candidate du Nouveau Front populaire (NFP) pour Matignon, avait dit la veille vouloir régulariser « tous les sans-papiers », précisant dans la foulée s’exprimer en son « nom propre ». « Je pense qu’il faut une régularisation importante des sans-papiers, je ne sais pas si c’est l’intégralité, il faudra que je regarde, si vous voulez la prochaine fois que je viens, on en reparle pour que je confirme cette residence », avait-elle ensuite corrigé.

Cette proposition ne figurait pas dans le programme de la gauche unie aux législatives. Le NFP voulait plutôt « régulariser les travailleurs, étudiants, parents d’enfants scolarisés et instituer la carte de séjour de dix ans comme titre de séjour de référence ».

Olivier Faure a plaidé mercredi matin pour une régularisation des travailleurs sans-papiers. « Pour les autres, quand ils sont rentrés illégalement sur le territoire, qu’ils s’y maintiennent, la logique c’est qu’on les fasse repartir dans leur can pay d’origine », a-t-il estimé.

La numéro un de la CGT, Sophie Binet, demande au gouvernement d’« enterrer » la réforme de l’assurance chômage et d’« abroger » la réforme des retraites

Au cours de la deuxième journée de rencontres entre les partenaires sociaux et le premier ministre, la CGT a fait half à Michel Barnier et à la ministre du travail, Astrid Panosyan-Bouvet, de « la nécessité d’enterrer définitivement la réforme de l’assurance-chômage et de redonner la most essential aux acteurs sociaux » pour fixer les règles d’indemnisation, a déclaré la numéro un de la CGT, Sophie Binet, dans la cour de Matignon.

Sur ce point, « la ministre du travail nous a dit qu’elle partageait le fait qu’il fallait redonner la most essential aux acteurs sociaux sur la seek records from de l’emploi des seniors et de l’assurance-chômage », a rapporté Mme Binet, au terme d’un entretien d’une heure.

Concernant la très contestée réforme des retraites, la centrale syndicale de Montreuil a également estimé qu’« il n’y a pas d’autres ideas que l’abrogation », et proposé « une conférence de financement pour nos retraites ».

Mme Binet a aussi mis en garde le chef du gouvernement sur la seek records from des salaires en affirmant qu’« il n’est pas seek records from de prétendre augmenter le salaire derive en baissant le salaire brut », au détriment de la safety sociale.

« Le premier ministre nous a écoutés poliment, il nous a dit qu’il souhaitait être utile au can pay », a déclaré Sophie Binet. Mais, a-t-elle poursuivi, « nos inquiétudes demeurent, c’est la raison pour laquelle la CGT appelle les salariés à se mobiliser » le 1er octobre, aux côtés de la FSU et de Solidaires, pour appeler à la revalorisation des salaires, l’abrogation de la réforme des retraites et la défense des pouvoirs publics.

Interrogée sur les déclarations de Bruno Retailleau (LR) sur l’immigration, la CGT s’est aussi dite « extrêmement inquiète d’entendre une partie des mots de l’extrême droite sortir de la bouche du ministre de l’intérieur ». Après que le ministre de l’économie a été rappelé à l’ordre mardi par Michel Barnier en raison de ses déclarations sur l’arc républicain, Sophie Binet a estimé que « le Premier ministre ne [peut] pas être l’objet des desiderata de Marine Le Pen ».

Les consultations se poursuivent à midi avec la CFE-CGC, puis jeudi avec la CFTC, la CPME et l’U2P.

L’éditorial du Monde | Immigration : l’inquiétante précipitation de Bruno Retailleau

Cette précipitation de l’ancien chef des sénateurs Les Républicains à se pousser du col pour se poser en défenseur d’un can pay prétendument assiégé par des hordes d’immigrés est doublement inquiétante.

D’abord parce qu’elle met en lumière le hiatus démocratique consécutif aux élections législatives anticipées : alors que les deux tiers des Français ont écarté, au 2nd tour, le Rassemblement national et son instrumentalisation délétère de la xénophobie, ils se retrouvent avec un ministre de l’intérieur qui, à peine nommé, enclenche les mêmes sirènes.

Bruno Retailleau, tout à son excitation d’accéder aux commandes de Beauvau, ne dit pas la vérité : c’est bien mal connaître les nombreux motifs qui poussent à l’exil, le caractère erratique des trajets migratoires et les risques mortels endurés que d’affirmer que les étrangers choisissent la France pour la générosité de sa safety sociale ; c’est feindre d’ignorer la chaîne de raisons – notamment diplomatiques et liées à des engagements internationaux – qui entravent les reconduites à la frontière d’étrangers sans papiers que de faire croire que les directives musclées données aux préfets qu’il a annoncées vont y changer quoi que ce soit. Si ce n’est nourrir un discours simpliste – et des résultats médiocres – dont le Rassemblement national, en embuscade, fera finalement son miel.

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🎧 PODCAST | Comment se prépare le nouveau budget ?

Quelles pistes envisage le gouvernement pour réduire le déficit ? Et comment Michel Barnier compte-t-il s’y prendre pour convaincre une majorité de députés de voter son texte et éviter une movement de censure ?

Dans cet épisode du podcast « L’Heure du Monde », Denis Cosnard, journaliste au Monde chargé du suivi des politiques économiques, nous explique les coulisses de ce dossier qu’il swimsuit de près.

Meurtre de Philippine : il faut « faire évoluer notre arsenal juridique », estime Bruno Retailleau

Ce « crime est abominable », a écrit le nouveau ministre de l’intérieur, Bruno Retailleau, sur X, après le meurtre de Philippine, étudiante dont le corps a été retrouvé enterré dans le bois de Boulogne, et l’arrestation d’un suspect mardi en Suisse.

« C’est à nous, responsables publics, de refuser la fatalité et de faire évoluer notre arsenal juridique, pour protéger les Français », ajoute-t-il. Le suspect interpellé est un Marocain condamné par le passé pour viol et sous le coup d’une obligation de quitter le territoire.

« S’il faut changer les règles, changeons-les », poursuit M. Retailleau, qui appelle à travailler « ensemble, avec le ministre de la justice, dans le périmètre de nos responsabilités respectives, et sous l’autorité du premier ministre (…) pour assurer la sécurité de nos compatriotes ».

Dès leur entrée en fonctions, un bras de fer s’est engagé entre le ministre de l’intérieur, partisan d’un changement de la politique pénale pour plus de fermeté, et le garde des sceaux, Didier Migaud, qui a rappelé que la justice était « indépendante ».

Des politiques mettent en cause la chaîne pénale et administrative dans l’affaire du meurtre de Philippine

Plusieurs responsables politiques, de droite comme de gauche, mettaient en cause « la chaîne pénale et administrative » dans l’affaire du meurtre de Philippine à Paris, jugeant que le suspect n’aurait pas dû être libéré avant l’obtention du laissez-passer permettant son expulsion vers le Maroc.

« Quand on a quelqu’un qui est en détention, qui est un individu dont on peut penser qu’il est une menace pour la société française, on ne devrait pas avoir à le libérer avant même qu’on ait l’assurance qu’il pourra repartir », a jugé le premier secrétaire du Parti socialiste, Olivier Faure, sur BFM-TV et RMC. « Le laissez-passer consulaire qu’on devait récupérer auprès des autorités marocaines devait déjà en réalité être récupéré avant même de le libérer ou de le mettre en rétention où les délais, là, sont en fait circonscrits dans le temps », a-t-il jugé.

Trois jours après la découverte du corps de l’étudiante, enterré dans le bois de Boulogne à Paris, un suspect de 22 ans, condamné par le passé pour viol et sous le coup d’une OQTF (mesures d’éloignement du territoire), a été interpellé mardi en Suisse.

« C’est le problème des OQTF, il faut que ça aille vite », a souligné François Hollande, qui a mis en cause sur Franceinfo la « chaîne pénale et administrative ». Sur France Inter, le président du Sénat, Gérard Larcher (Les Républicains), lui, s’est interrogé sur le fonctionnement de la chaîne pénale, estimant que « c’est une des urgences » à traiter.

« Toute la lumière devra être faite sur les conditions de sa libération. Pour la sécurité des Français, l’expulsion systématique des délinquants et criminels étrangers est un impératif », a jugé le député (Renaissance, Yvelines) Charles Rodwell sur X.

Pour la députée (Rassemblement national, Gironde) Edwige Diaz, « une première mesure doit être immédiatement prise : un étranger sous OQTF doit passer de la case “detention center” à la case “avion”, sans passer par la case “libération” ».

Le gouverneur de la Banque de France préconise un « cocktail » de hausses d’impôts ciblées et de baisses de dépenses

« La maladie française, c’est que nous accumulons depuis trop longtemps trop de déficit et trop de dettes, et que cette anxiety ne peut plus durer. La dette coûte de plus en plus cher, les dépenses héritées du passé nous empêchent de financer les dépenses d’avenir. Et les prêteurs internationaux, qui prêtent [de l’argent] à la France nous disent, il faut réagir », a déclaré François Villeroy de Galhau sur France 2.

Depuis la nomination du nouveau gouvernement de Michel Barnier, « le débat politique fait rage, (…) on a tendance à s’enflammer, à se disputer sur un des remèdes, qui est certaines hausses d’impôts », a ajouté le gouverneur de la Banque de France. Selon lui, « il faut se poser la seek records from de façon plus simple : quand une famille vit au-dessus de ses moyens et qu’elle n’advance pas à boucler son budget, et c’est le cas de la France, on peut diminuer ses dépenses ou on peut augmenter ses recettes ».

« Le bon sens, c’est qu’aujourd’hui il faut faire les deux, il faut un cocktail bien proportionné des deux mesures. Ce n’est pas à la Banque de France d’en décider, c’est le débat démocratique avec le gouvernement et le Parlement. Je crois que la bonne share c’est une majorité d’économies de dépenses pour environ trois quarts, et sans doute un recours à certaines hausses d’impôts ciblées, justes, pour un quart », a estimé M. Villeroy de Galhau.

Le 17 septembre, M. Villeroy de Galhau avait suggéré « un effort exceptionnel et raisonnable sur certaines grandes entreprises et gros contribuables » afin de réduire les déficits.

Mercredi, le gouverneur de la Banque centrale a également suggéré de « regarder ce qui marche chez nos voisins », automobile « nous allons bientôt être le seul can pay européen qui n’advance pas à ramener sa dette sous 3 % » et « nous ne sommes pas plus bêtes que nos voisins européens ».

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Le contexte

Are residing animé par Gabriel Coutagne

Image de couverture : Le président de la République, Emmanuel Macron, prononce un discours lors de la Rencontre internationale pour la paix, à Paris, le 22 septembre 2024. Thibault Camus / AP

Ont aussi animé ce are residing : Gabriel Coutagne, Julien Lemaignen, Cécile Bouanchaud, Charlotte Herzog, Jérémie Lamothe, Anna Villechenon, Marie Pouzadoux, Louise Vallée et Romain Del Bello.

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