Après avoir mené une opération pour déposer cinq cercueils accompagnés d’inscriptions sur les « soldats français de l’Ukraine » au pied de la tour Eiffel, trois suspects ont été entendus par les autorités ce lundi. Au moins l’un d’eux est en lien avec l’affaire dite des « mains rouges » du Mémorial de la Shoah, donnant de l’épaisseur au spectre d’une ingérence étrangère.