À Madagascar, trois jours après les élections législatives, les accusations de fraude électorale se multiplient de part et d’autre. Le jour du vote du 29 mai, l’opposition s’est empressée de dénoncer des irrégularités, selon elle perpétrées au sein-même des bureaux de vote. Désormais, c’est aux candidats de la coalition présidentielle Irmar d’accuser le camp adverse de fraudes. Des déclarations faites au moment où les premières tendances se dessinent districts par districts.