Alors que le Nigeria célèbre aujourd’hui la Journée de l’enfance, le directeur général de l’Agence nationale de lutte contre le SIDA, le Dr TemitopeIlori, a appelé à mettre fin à la transmission mère-enfant du VIH, affirmant qu’aucun nouveau-né ne mérite de naître avec la maladie, en particulier à une époque marquée par la technologie avancée et les innovations.
Dans une déclaration signée lundi par le responsable des relations publiques et du protocole de l’agence, ToyinAderibigbe, en commémoration de la Journée de l’enfance 2024, elle a déclaré que cette journée sert à rappeler le trésor inestimable que représentent les enfants et l’immense responsabilité que porte le pays pour assurer leur santé, bonheur et bien-être.
Elle a souligné l’importance de s’attaquer à un problème de santé crucial qui touche les plus jeunes citoyens : la transmission du VIH de la mère à l’enfant.
Ilori a déclaré : « En ce jour spécial, nous réaffirmons notre engagement envers l’objectif selon lequel aucun enfant ne devrait naître avec le VIH.
« Alors que nous honorons nos enfants aujourd’hui, nous devons également nous engager à les protéger contre les maladies évitables, notamment le VIH. Aucun enfant ne devrait commencer sa vie avec le fardeau du VIH alors qu’il est en notre pouvoir de le prévenir. En renforçant les services de prévention de la transmission mère-enfant, nous pouvons garantir que chaque enfant ait la possibilité de grandir en bonne santé et fort.
Le patron de la NACA a noté que le Nigeria avait fait des progrès significatifs dans la réduction du taux de transmission mère-enfant du VIH, mais a reconnu qu’il restait encore beaucoup de travail à faire.
Elle a déclaré que l’agence s’engageait à garantir que chaque femme enceinte vivant avec le VIH reçoive les soins et le traitement nécessaires pour prévenir la transmission à son enfant.
« Notre objectif est clair : éliminer la transmission mère-enfant du VIH au Nigeria. Cela nécessite l’effort collectif des agences gouvernementales, des prestataires de soins de santé, des organisations de la société civile et des communautés.
« En fournissant un traitement antirétroviral aux femmes enceintes vivant avec le VIH, en promouvant des pratiques d’accouchement sans risque et en soutenant des méthodes d’allaitement appropriées, nous pouvons protéger nos enfants du VIH », a ajouté Ilori.
Source : healthuse.News
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