« L’esprit des Nations unies est mort à Gaza. » Ce sont les mots, ce mercredi, du président turc, qui a laissé éclater sa colère après les frappes israéliennes sur des camps de déplacés palestiniens de Rafah, dans le sud de l’enclave. Recep Tayyip Erdogan s’est montré très critique à l’égard de l’Occident, mais aussi des pays musulmans, qu’il a appelés à « réagir ».