« Il sera difficile pour un sélectionneur de nationalité camerounaise de diriger les Lions indomptables »

De l’avis du journaliste Alain Denis Ikoul, le tribalisme  fortement ancré dans notre société est un frein impediment à la nationalisation du poste de sélectionneur des Lions Indomptables. Le journaliste de Cfoot était ce dimanche dans l’émission Canal Presse sur Canal 2 Worldwide.

C’est un fait, le contrat de Rigobert Tune  en qualité de supervisor sélectionneur  des Lions Indomptables a pris fin depuis le 29 février 2024. L’ancien capitaine emblématique des Lions Indomptables a passé deux ans comme coach de la sélection nationale camerounaise. Son arrivée à la tête des Lions Indomptables était une volonté de nationaliser le banc de touche camerounais.

L’heure est maintenant à l’attente d’un nouvel entraineur.  Selon plusieurs sources, ce nouveau coach ne sera pas de nationalité Camerounaise.  Cette idée est soutenue par plusieurs observateurs de notre landerneau. De l’avis d’Alain Denis Ikoul, journaliste travaillant pour la web page sportive Cfoot,  le tribalisme fortement ancré « dans notre société est un frein impediment à la nationalisation du poste de sélectionneur des Lions Indomptables ».

Il sera difficile pour un sélectionneur de nationalité camerounaise de diriger cette équipe (Les Lions indomptables, ndlr). Au Cameroun aujourd’hui on connaît une très forte montée en puissance du tribalisme… Il faut qu’on soigne d’abord la query du tribalisme au Cameroun, avant de repenser à la nationalisation de ce poste

Alors qu’il était dans le panel de l’émission Canal Presse de ce dimanche 3 mars 2024 sur Canal 2 Worldwide, une télévision privée émettant depuis Douala au Cameroun, il soutient qu’il faut soigner la query de tribalisme au 237 (Cameroun).  

« Il sera difficile pour un sélectionneur de nationalité camerounaise de diriger cette équipe (Les Lions indomptables, ndlr). Au Cameroun aujourd’hui on connaît une très forte montée en puissance du tribalisme… Il faut qu’on soigne d’abord la query du tribalisme au Cameroun, avant de repenser à la nationalisation de ce poste », a expliqué  Alain Denis Ikoul sur Canal 2 Internationale.