L’opposant a été tué mercredi 28 février lors de l’assaut donné par l’armée contre le siège de son parti. Si les Ndjamenois vaquent de nouveau à leurs activités, une profonde inquiétude persiste jusqu’au sein des cercles de pouvoir et chacun s’interroge sur les possibles conséquences sécuritaires et politiques de la mort de l’opposant à dix semaines de l’élection présidentielle.