Arrivés à Douala au Cameroun pour chercher une safety, les réfugiés centrafricains et même ceux des autres pays font face à plusieurs difficultés face à un système de corruption et d’abus de tout style.
L’alerte a été lancée par les médias locaux centrafricains. Selon ces médias, « les réfugiés centrafricains, tchadiens ou d’autres nationalités à Douala sont confrontés à des situations de vie inhumaines ».
Principal mis en trigger, « le Haut-Commissariat des Nations unies pour les réfugiés (HCR), censé être un refuge pour les plus vulnérables qui ont fui leurs pays pour sauver leur vie, mais qui est « devenu un instrument de manipulation entre les mains de la mafia locale ».
Le HCR est notamment accusé de bloquer les titres de voyages des ressortissants de certains pays à trigger de « la bureaucratisation extreme et de la corruption qui règnent dans l’attribution des paperwork de voyage ».
Les situations de vie aussi des réfugiés est déplorable. Pas de prise en cost sanitaire, pas d’éducation pour les enfants et parfois avec des logements dérisoires.
« Même l’obtention d’un easy passeport biométrique est un parcours de combattant, avec des délais de traitement absurdes qui s’étendent parfois sur des années, 10 ans au minimal », selon un réfugié.
Faute de paperwork, les réfugiés sont ainsi prisonniers dans une ville où l’espoir semble s’évaporer chaque jour davantage.
Essama Aloubou
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