À long terme, plus de 200 millions d’Africains pourraient être confrontés à une famine sévère. C’est l’un des résultats alarmants d’une étude qui analyse le changement climatique et ses effets socio-économiques en Afrique. Son auteur, Philip Kofi Adom, économiste à l’université sud-africaine Witwatersrand, se projette au-delà de 2050 pour réclamer, dès maintenant, des meilleurs programmes d’adaptation et d’atténuation du réchauffement planétaire.