Neuf mineurs sont toujours piégés depuis mardi 13 février sous un amas de terre provenant d’une mine d’or de l’est de la Turquie. Les recherches se poursuivent, mais au-delà de ce drame humain, des ONG ont demandé, mercredi, la fermeture de la mine qui pourrait être à l’origine d’une pollution majeure de l’Euphrate, le grand fleuve qui traverse la Turquie, la Syrie et l’Irak.