Après les États-Unis et le Royaume-Uni, la France adopte des sanctions à l’encontre « de vingt-huit colons israéliens extrémistes ». Paris les accuse d’avoir commis « des violences contre des civils palestiniens en Cisjordanie occupée ». À ce titre, ces ressortissants israéliens sont interdits d’entrer sur le territoire français. Les colons dénoncent une « ingérence » tandis que les Palestiniens déplorent « une demi-mesure sans réel impact ».