La Haute Cour constitutionnelle malgache doit se pencher cette semaine sur la castration sur les violeurs d’enfants. Depuis son adoption par le Parlement mercredi 7 février, la loi est largement relayée par la presse étrangère et des organisations de défense des droits humains élèvent la voix. Sur la scène nationale, le texte a créé un certain malaise parmi les associations, divisées sur le sujet.