Ce sont des élections qui d’ordinaire ne suscitent qu’un intérêt très limité sur la scène internationale, mais le scrutin qui s’est déroulé vendredi à Tuvalu, un archipel du Pacifique d’environ 11 000 habitants, est suivi de très près par Taïwan, la Chine, les États-Unis et l’Australie. Car ce micro État est l’un des douze derniers à entretenir des relations diplomatiques officielles avec Taïwan et le Premier ministre sortant, très favorable à Taipei, a perdu son siège.