Une trentaine de personnes se sont rassemblées jeudi 25 janvier réunis pour rendre un hommage aux victimes de la répression sous Sékou Touré, notamment dans le Camp Boiro. Les proches des victimes réclament toujours justice, 40 ans après la disparition du despote : considéré comme un héros par beaucoup, le père de l’indépendance a aussi laissé derrière lui 50 000 morts et disparus, selon les organisations de défense des droits de l’Homme.